• Le Druide Benchicou pourra dormir en paix, lorsqu'il quittera ce monde, ses dons occultes de clairvoyant ne seront pas exteints, mais se perpétueront à travers l'œuvre de ses  élèves et  adeptes du culte de diseurs de bonnes aventures et de cartomanciens.
    Son calvaire au Goulag d'El Harrach n'aura pas était vain, bien au contraire il aura  permis la fondation d'un rite mystique de l'auto-flagellation sado-masochique, et l'éclosion de nouveaux talents dans la science de la divination. Pour preuve, les articles que ses apprentis devins confectionnent quotidiennement sur le site du Prêtre en chef.
    Un de ses prêtres benjamins, de la dernière couvée, nous en a fait la démonstration dans une publication récente(Lien).
    Un vrai scoop extatique ! (Note: Extraits uniquement, vous laissant le plaisir de découvrir, par vous mêmes, les pouvoirs de ces adeptes chicouriens à travers les chicanes de leur exaltation spirituelle, de la lumière, de la Vérité tout nue, ou en bikini.)
    -«...le conflit qui opposerait le président Bouteflika au patron des services secrets algériens (DRS), le général de corps d'armée Mohamed Mediène (Toufik) a pris une tournure encore plus alarmante avec la décision du président de mettre en place une «Commission d’enquête autonome», composée de plusieurs magistrats et procureurs civils et militaires en vue de rouvrir certains dossiers et affaires d’assassinats qui ont marqué la décennie noire notamment ceux de feu Mohammed Boudiaf ou encore du Général Fodil Saidi.».
    Soulignons la modestie remarquable du jeune apprenti qui attribue cette révélation à «Selon des sources proches de la Présidence de la république algérienne et dont Le Matin-DZ a reçu les informations.», refusant pudiquement toute rétribution, mérite ou applaudissements pour ses facultés divinatoires.Tout celà étant sous le sceaux du secret, les incantations qui précédent ces séances médiatiques sont transmises oralement, de la bouche du Maître à ses disciples, sous sermon, et ne sont en aucun cas divulguées ou  révélées aux profanes (vous et moi), sous peine d'exécution capitale.
    Dans un sursaut d'extase, un second état,  telle la transe des chamans tibétains, l'apprenti sorcier nous confie:
    « Sur l'affaire Boudiaf, Bouteflika veut enquêter sur le rôle joué par les différents chefs de départements et organes affilié au DRS, comme le département du contre espionnage et de la sécurité intérieure , et le département de la sécurité de l'armée, en dressant une liste de quelques anciens cadres du DRS, et des services auxquels incombait la mission de protection du feu président Boudiaf, et qui se sont retrouvés cités dans la procédure d'enquête.
    A l'ordre du jour aussi le dossier de l'assassinat du général Fodil Saidi ancien patron de la DDSE (département de la sécurité extérieure), qui s'est vu limoger arbitrairement de la tête de la DDSE pour ensuite être nommé a un poste moindre, celui de chef de la quatrième région militaire, avant d’être victime d'un attentat qui lui avait coûté la vie et celle d'une dizaine de militaires qui l'accompagnaient, sur une route déserte de la région de Ourgla en 1996. Bouteflika pointe le doigt sur le DRS et son service d'action et infiltration (S.A.I). Dans ce dossier figurent les nom des agents  du DCE (département du contre espionnage) accusés d'avoir joué un rôle décisifs dans la disparition du général : Hassane B., Redouane M., Hakim B., Abderazak K., Yazid B., Badis B., El Hadj Ali O., Abdelmadjid B., entre autres. Cette liste a été établie sur la base de l'inventaire de leur ordres de missions et déplacements relatifs a la période précédant l'attentat ainsi que tous les éléments et informations complémentaires les concernant.»
    Epoustouflant! Divin tout cours! Remarquez la précision ! Appréciez le détail ! Et cette débauche d'information, si confidentielle et si authentique, qu'on croirait entendre le Président lui même, se confesser.
    Et pourtant, c'est de  la-bas-chez-lui
    la France, que notre divin "Aissat B.", caché derrière son clavier WIFI (qui lui permet encore mieux de se distancer de son PC, évitant d'être repéré), nous livre une autre vision :
    -«Des copies des deux dossiers d’enquête ont été adressées par la Présidence aux Services du DRS afin de les compléter dans le but de faciliter la mission de la Commission d’enquête mise en place par Bouteflika». «Bouteflika veut imposer cette Commission d’enquête au Patron du DRS qui n’apprécie pas vraiment la chose. »
    Pour ne pas gâcher le plaisir, je vous en dirais pas plus, faites un pèlerinage au Temple du Druide Benchicou, et découvrez par vous mêmes les miracles de ce nouveau culte qui, selon "4International Media & Newspapers", est tellement référencé par ses confrères démoncratiques, sur les sites de la confrérie judéo-talmude du net, qu'il a gagné énormément en prestige et se classe parmi les dix associations médianes d'Algérie. Au besoin équipez-vous d'une boule de cristal, au cas où l'apprentissage de l'art ésotérique vous tenterait.
    Je réserverais à un autre jour, une introduction aux dogmes libertains, Watanéens, Soiréens, et tant d'autres, qui se spécialisent dans la cartomancie, l'adulation des ancêtres puniques, l'esclavage-adoration du dieu Illuminati, etc...
    Et pour étoffer nos connaissances, nous pourrions jeter un bref regard sur les réactions que ces ballons sondes médiatiques provoquent parmi les naïfs et crédules de notre généreuse nation. Il est intéressant d'étudier les effets de ce travail d'ingénierie sociale sur la pensée de nos concitoyens et leur opinion,  eux qui apprennent les balbutiements de la liberté d'expression, lentement mais sûrement, sous le regard attentionné, maternel,  des prêtres aguerris de la presse indépendante.

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  • Episode 3

    "L'imposture" donne le ton: une attaque frontale contre le personnage Bouteflika, sujet de la biographie que notre oracle Benchicou a si minutieusement concoctée pour prétendre éteindre  le feu de ses rancunes, après soit disant "la mise en demeure et le fermeture de son quotidien".Quotidien dont les mérites se résumaient:

    -à semer la fitna
    -la dissension interne, 
    -la provocation, la diffamation et l'injure, 
    -le mépris des valeurs morales et religieuses, 
    -la prescription et la contrainte du diktat d'une laïcité permissive, 
    -l'initiation à l'idéologie subversive du "modernisme" calqué sur l"occident,
    -l'exaspération de conflits mineures internes (la revendication Berbère, l'antagonisme Islam-laïcité, l'opposition politique dogmatique dénudée d'argumentation objective)
    -l'agression (quotidienne) d'une majorité silencieuse, par le verbe acerbe des tolérances laxistes, 
    -etc, etc...
    Remplissant parfaitement son rôle de provocateur dans une situation qui exigeait la réconciliation, Le Matin par la biais de son directeur accomplissait sa mission en accord avec les visées hostiles des ennemis de l'Algérie, qui impatiemment, à l'affût, guettaient le moment propice, la guerre civile et le chaos, pour s'ingérer
    directement, militairement, dans le pays. C'est donc dans ce rôle de cheval de Troie, sous couverture de journalisme, que Benchicou souhaitait abuser d'une liberté, qui ne dit pas son nom, le "désordre en prélude à l'ordre" maxime que les Néo conservateurs juifs du Nouvel Ordre Mondial ont si bien formulée.
    Ceci nous rappelle la situation des années 90, caractérisée par l'avancée des mercenaires financés par l'Arabie Saoudite et organisés avec le "know-how" de la CIA. Ceci, sur le plan de "l'action" ou "thèse". Quand à la "réaction" ou "antithèse", aussi perfide et virulente que son antinomie, elle était endossée par les oracles de la presse dite "indépendante". Ceux-ci, par coïncidence, s'avèrent  être gracieusement soutenus par des banques kosher:  BN Paribas des Rothschild ! 
    (Thèse <==versus==> Antithèse)=> Synthèse =>
    ==> Solution=Intervention( imposée par l'ONU, le bras légal des agressions juives !)
    Comme un voleur par effraction se glissant dans la maison "Algérie", tentative par la porte d'abord, ("Alger républicain") puis par la fenêtre ("le Matin"), et enfin en tant que fraudeur aux frontières («En juin 2004, Benchicou est incarcéré pour une peine de deux ans sur plainte du ministère des Finances pour infraction régissant le contrôle des changes et les mouvements des capitaux » « après avoir été interpellé en août 2003 à l’aéroport d'Alger en possession de "bons de caisse") (Wikipedia)
    Précisons: «d'une valeur importante».
    Benchicou, le Druide échange facilement sa robe pour la soutane du curé, lorsqu'il prêche la lutte contre la corruption, il ne fait pas la fine bouche devant les propositions de Khalifa Abdelmoumen qui le recrute (et Omar Belhouchet),  pour le lancement de "Khalifa TV". Les séjours à Paris et les va-et-viens entre Londres et Alger ne dérangent pas sa dérogation aux principes et scrupules. Le chef de la paroisse, dont l'affinité avec "l'escroc du siècle" ne se limite pas aux distractions du  Paris-by-night, mais est naturellement réconfortée et réaffirmée par la haine que les deux associés vouent à Bouteflika.
    Quand à la "biographie", rappelons la définition que le Portail Lexical nous en donne: «Relation écrite ou orale des événements particuliers de la vie d'une personne, d'un personnage.»
    Benchicou s'arrogeant la qualité d'historien nous déçoit par le mépris d'une règle élémentaire de l'écriture historique, l'objectivité, car dés le prologue, il déclare ses intentions: la diatribe, dont définition:
    "Écrit ou discours dans lequel on attaque, sur un ton violent et souvent injurieux, quelqu'un ou quelque chose".
    Critique violente et injurieuse, un avant goût de sa pompeuse œuvre historique. Comment peut-on dans ce cas homologuer du cachet d'authenticité le reste de ses vomissements haineux  aussi longtemps que "La discussion fait place aux diatribes et trop souvent, hélas, l'argument à l'insulte".
    Le Druide: «Enquêter sur la vie de Bouteflika n’est, cela dit, pas aisé».
    Malgré toutes ces appréhensions les mots, le cynisme, et rapidement les mensonges se déversent:
    «l’homme n’a inspiré aucun auteur». 
    Sur  Google, 612 000 références pour "Bouteflika"! Même l'aveugle, y trouverait son chemin et buterait sur quelque article, peut être en braille. Mais le but du Druide, tel qu'exposé dans (Episode1) n'est pas de nous informer sur un pan important de notre Histoire, mais de nous envoûter par ses prédictions et voyances et nous accompagner au cours d'un voyage initiatique dans le labyrinthe obscure de son simulacre de vendetta qu'il enguirlande de "scoops" historiques.
    -Ou est-ce vraiment une vendetta ?  
    -Catégoriquement non ! Mais c'est ce qu'il tente de nous faire croire.
    -Pourquoi ? Parce que ses desseins sont plus sophistiqués et leur raffinement de nature à surprendre même les plus avertis.
    Ses objectifs sont une partie intégrante d'un stratagème plus intrigant et plus ambitieux, ceux qui l'associent aux autres compartiments de la nébuleuse subversive que les éternels conspirateurs du Nouvel Ordre Mondial (NOM) ont préfiguré pour l'Algérie, selon le schéma classique désigné pour leur domination du Monde, qui passe par l'instauration du chaos.
    A chaque compartiment sont assignés, une mission précise, une méthodologie, sa documentation, ses affiliations, ses membres et associations. L'adhésion à la franc maçonnerie étant fort recommandée, mais pas  une nécessité car le pouvoir compromettant de l'argent , des privilèges, de "l'entraide",  et des honneurs rétribués, suffisent à garantir la subordination, le secret et la discipline dans les rangs des troupes.
    Les média juifs sont mobilisés en permanence pour défendre les agents et les dogmes du NOM ; les institutions internationales sont structurées et enrégimentées pour prétendre défendre les bonnes causes; les réseaux d'agents et de taupes dispatchés dans les pays ciblés pour les actions de déstabilisation sous couvert de "campagnes humanitaires", de "Défense des Droits de l'Homme", de "Droits des Minorités", etc.... Soit globalement tous les ferments potentiels de troubles et de dissension que les sionistes-juifs-talmudistes ont recensés comme armes silencieuses de destruction.
    L'administration étant assurée par les zombies et les pantins de la trempe des Tamzali, Benchicou, M'Henni, Saadi, Babes.
    (Pour une liste partielle consultez (http://www.manifeste.org/)).
    Ces militants et activistes sont la pire espèce humaine qui ait foulé le sol algérien, dissimulés derrière leur façade d'humaniste, de travailleur des droits de l'homme, d'intellectuels de terrasse, et autre euphémisme qu'ils agitent à la face de la masse des illettrés, qu'au fond d'eux-mêmes, ils méprisent et abusent par les slogans collés aux dogmes utopiques qu'ils colportent à fin de les séduire puis de les berner. Les harkis avaient troqué leurs bras pour une bouchée de pain, ces renégats leur âme et l'honneur de leur pays.
    «Égalité, Liberté, Fraternité» répètent-ils sans cesse. Chambres de résonance des chimères énoncées par les stratèges de la juiverie internationale dans leurs "Protocoles".
    Benchicou s'enorgueillit des liens et des appuis que lui accorde les suppots suivants:

    - Presse nationale (dominée par la laïcité, le régionalisme, les utopies dogmatiques et l'islamophobie) 
    - Presse internationale (tous les illusionnistes juifs et sionistes qui contrôlent 97% des organes de presse de la planète)
    - Syndicat des éditeurs (les commerçants de l'alphabet)
    - Ligues algériennes des droits de l’homme (la branche
    onusienne    locale de justice internationale sélective et orientée).
    - Fédération internationale des journalistes (la "queue de son  

    chien"de la presse internationale)
    - Pen club international (organisation en apparence neutre,  sauf lors de la remise du prix "Barbara Goldsmith award"**,  aux écrivains contestataires des pays de "l'Axe du Mal", en majorité musulmans).

     - Reporters sans frontières (financé par CIA, et bras des    campagnes  médiatiques juives ciblant les pays de "l'Axe du Mal")

    -Freedom House (l'arme "humanitaire" des Brejzinski-Kissinger).

    Dans l'épisode 4, je retournerais à "L'Imposture" pour en extraire les indices qui dévoileront les vrais motifs derrière sa publication.
    Ne croyez surtout pas que l'auteur ait voulu se venger, loin de lui cette déficience  morale, bien au contraire il poursuit son travail de haute gamme, la sape psychologique. Il aurait accompli sa tache avec ou sans Bouteflika ! Il la poursuit maintenant sur son site internet. (Voir à ce propos mon "interlude"(Lien))
    ----------------------------------------------------------------------------------
    (*)A propos de cet écrivain célèbre aux USA,  qui a fondé et financé le prix, elle est l'exemple de la réussite sous le parrainage du diktat juif  contrôlant l'ensemble de la culture de ce pays, en aval au niveau du contenu, en amont pour ce qui de la rapine commerciale. La sanctification du pillage financier juif et le blanchiment des opérations financières occultes, au détriment du peuple américain colonisé depuis 200 ans, s'opèrent sous cette diversion. La philanthropie est en réalité une fraude financière comptable au frais du Trésor (le fisc). En décrétant l'exonération fiscale des "Fundations-and-Trusts" philanthropiques les Rockfeller-Kissenger-Soros-Carnegie-Astor ont ingénieusement garé leurs richesses dans ce recel "légal": les organisations "humanitaires". 
    D'une pierre deux coups, les Juifs sionistes en ont faits des outils d'ingérence et de subversion visant les états récalcitrants et réfractaires au Nouvel Ordre Mondial Juif.
    Par ambition, naïveté ou cupidité,  des milliers "d'idiots utiles" rejoignent ces réseaux. Certains doivent leur allégeance à la franc maçonnerie qui les supervise, parraine, et oriente. D'autres, représentent des nostalgiques des idéaux et des idéologies qu'ils ont ingurgités sur les bancs des écoles de l'utopie mise bas par les sages de Sion (Laïcisme, féminisme, darwinisme, communisme, et même athéisme !).

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  • Benchicou serait-il un descendant en droite lignée des prêtres Celtes, les Druides ?
    (Episode 1)


    "Les tribus Celtes, sont connues pour avoir été présentes en Bretagne près de 2000 ans avant notre ère, elles étaient unifiées autour de prêtres appelés Druides. Les druides sont les personnes les plus anciennes dans l'histoire connues pour avoir utilisé les boules de cristal dans l'art de divination. La religion druidique a des similitudes avec la religion des pierres dressées, il est par ailleurs possible que le premier usage de ces boules eut été fait par eux." (Wikipedia)


    Question apparemment  aberrante au premier abord pour quiconque connaît Benchicou et sa biographie.
    Auréolé de titre de martyr (vivant) du combat pour la liberté, le journaliste dont la modestie est légendaire semble avoir fait pudiquement  abstraction de ce faciès non publique, dissimulé  au fin fond de sa riche personnalité,  ses vertus morales et qualités professionnelles.
    La divination relevant des sciences occultes, l'observance de cette capacité spirituelle n'est pas évidente ni facilement  appréhendable par le profane.
    Personnellement néophyte dans ce domaine, mais ayant prospecté le domaine des sciences sociales maîtrisées et raffinées (jusqu'en laboratoire) par les théoriciens du Nouvel Ordre Mondial Juif, j'ai été confronté, grâce à l'internet,  à la découverte des écrits prolifiques d'auteurs  et historiens qui ont dévoilé les activités secrètes et subversives de la myriade de prêtres Rabbiniques  qui depuis Babylone ont fait avancé  jusqu'à un niveau sidérant de sophistication, les outils de contrôle et de domination sociale et dont ils font un usage intensif planétaire, sous forme d'arme de destruction massive silencieuse, qu'on désigne sous la dénomination  "ingénierie sociale".
      Quel lien avec Benchicou ?
    Il provient de la lecture et de la prospection de "l'œuvre" de ce personnage à travers "Le Matin", son site internet, et dernièrement par le dépouillement de son «Bouteflika: Une imposture Algérienne».
    Assertion 1:
    "L'imposture" un chef d'œuvre de la science occulte ésotérique de  Divination.
    -Pourquoi et comment?
    -Parce que dés le premier chapitre, après ce qui semble être un coup d'œil métallique dans sa boule de cristal, le prêtre nous "envoûte" par son acuité extra sensorielle,  indignement accompagnée d'une  gratuité  et profusion d'insultes, de sous entendus malveillants,  de qualificatifs péjoratifs aux dépens de sa cible et héro mal aimé, le président Bouteflika.
    Les premières pages donnent la nette sensation  qu'un "esprit" Benchicou , est toujours présent  sur les lieux des événements, dans les circonstances les plus dramatiques et mystérieuses. Il enregistre les moindres détails des discussions, l'humeur des protagonistes, leurs sentiments, leur état psychologique, pardon...psychanalytique. Et plus, distinctement les échanges téléphoniques (les satellites de surveillance de la CIA font piètre figure devant l'éventail des pouvoirs  extra sensoriels du journaliste), les va-et-vient des protagonistes, la chronologie micro-secondaire des événements, etc...
    Un aperçu de sa "clairvoyance magnétique":  (Pages 18-19)
    «Jeudi 15 avril 1999, 14 h. Abdelaziz Bouteflika pique une grosse colère. La scène se passe, en ce jour d’élection présidentielle, dans la somptueuse villa Aziza qui abrite la fondation Boudiaf, à
    El Biar. Le « candidat du consensus », à quelques heures d’être sacré président de la République, fulminant de rage, informe Mme Boudiaf, épouse de l’ancien président assassiné, qu’il pliait bagage pour partir le soir même pour Genève et qu’il ne voulait plus du fauteuil de chef de l’Etat. Motif de son gros chagrin : les « décideurs », venait-il d’apprendre, n’allaient le créditer que de 53 % des voix, et ce score, peu flatteur pour un postulant seul en course, allait être annoncé dans la soirée aux Algériens.« Pas question que j’accepte un chiffre inférieur à celui de Zeroual  ! Si c’est ainsi, qu’ils trouvent un autre président ! »s’étouffe le candidat Bouteflika.»
    (!!)
    Ou encore:
    «Mme Boudiaf, alarmée, alerte le général Mohamed « Toufik » Médiène, patron du Département recherche et sécurité (DRS), un des architectes de ces élections, un de ceux qui avaient arrêté ce taux « presque vrai » de 53 %, magique pourcentage censé être assez raisonnable pour s’assurer aux yeux de l’opinion d’une crédibilité largement entamée par le retrait brusque des six autres postulants à la présidentielle. Abdelaziz Bouteflika se sentait d’autant plus humilié qu’il avait refusé une semaine auparavant de se retirer à son tour de la course, renvoyant sèchement l’émissaire du pouvoir, Youcef Yousfi : « Allez dire à Zeroual que les autres sont libres de se retirer, moi je reste ! » A quoi aurait servi, en effet, de s’entêter à postuler en solitaire pour hériter d’un si faible score ?
    Toufik Médiène déboule chez Mme Boudiaf, très remonté contre le futur président, oubliant jusqu’à sa légendaire retenue. Il n'apprécie pas le soudain caprice du poulain Bouteflika, une fantaisie qui a toutes les allures d’un chantage doublé d’un camouflet pour l’institution militaire. Pour une fois l’affolement avait des raisons d’être général. La caste militaire connaissait, en effet, depuis 1994, l’aptitude de Bouteflika à se débiner à la dernière minute et le général Médiène n’ignorait pas que Bouteflika était allé jusqu’à exiger et obtenir sa tête en ce même janvier 1994.
    Le faire revenir à la raison semblait cette fois bien aléatoire.»
     Incroyable ! La précision, la concision et la netteté de ces "visions".
    Totalement submergé par cette alchimie de savoir et l'éventail des connaissances que l'auteur a, avec dextérité, réunies dans ce cocktail explosif concocté à travers ses randonnées nécromanciennes, je ne trouve pas encore d'épithète adéquat pour décrire mon excursion magique et irréelle dans le monde merveilleux de la clairvoyance Chicoumensienne .
    Gnosticisme? Spiritisme? Prophétie? Sorcellerie? Parapsychologie? Féerie? Dieu seul le sait.
    Assertion 2:
    Pour le commun des mortels, qui par persévérance et curiosité intellectuelle, souhaiteraient élucider le mystère sur le plan de l'approche scientifique, je leur suggérerais d'essayer d'inventorier les moyens humains et matériels qu'une entreprise littéraire de ce genre nécessite pour parvenir à réunir le genre d'information si pertinentes, sur des sujets si  confidentiels, que notre combattant de la liberté partage si généreusement avec ses lecteurs. Mon avis est qu'il existe une approche  et des explications pratiques qui nous aideraient à mieux déchiffrer le message prophétique que l'auteur tente de divulguer. Mais n'étant pas sûr, je souhaite les reporter à plus tard, priorité donnée à mon voyage initiatique par l'étude des écrits de notre Druide et réservant mes observations au fil  du temps et du  travail de recherche que l'œuvre majestueuse de notre oracle exige...... à coups de voyances.
    Sous un autre chapitre, des théories existent. Elles font appel aux sources disséminées à travers le web, qui analysent les moyens et outils que les militants des "droits de l'Homme", de la démocratie, des libertés emploient durant leurs campagnes "humanitaires".
    Ces sources, hélas pour Benchicou, pointent vers le copinage de ces organisations de "volontaires" et d'agents des ONG, avec l'autocratie planétaire des théoriciens et dirigeants du Nouvel Ordre Mondial Juif, ce qui nous amènerait à observer ce phénomène Benchicou sous un autre angle, nous privant des joies et de l'extase que les expériences ésotériques Benchicouènnes nous font vivre, particulièrement dans son fameux réquisitoire cabalistique de "l'Imposture".
    Cette approche est communément libellée "théorie conspirationniste", à mon avis réductionniste et indigne pour appréhender le phénomène Benchicou dont l'envergure  dépasse le terrain des mesquineries et des complots qu'on lui attribuerait.


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  • Les scandales qui défraient la chronique donne du pain sur la planche aux spécialistes de l'intox qui ont l'Algérie et ses institutions dans le collimateur. Ils ciblent plus précisément le président qui est le pilier qu'ils n'arrivent pas à démolir. Depuis dix ans, tous les moyens mobilisés à cette fin ont été utilisés, sans succès. La pression d'agents et organes internationaux et locaux ont harcelé l'état algérien pour différents motifs-prétextes.
    -Blâmant l'État pour sa faiblesse, et parfois de complicité, devant les crimes terroristes.Quand ? Lorsque les mercenaires "Islamistes" sévissaient et menaçaient de disparition la nation, par l'instauration du chaos et de l'anarchie.
    -dénigrant la lutte anti terroriste, accusée d'abus et de dépassement (torture, disparus, justice expéditive), de la militarisation du pays, de restriction des libertés, du maintien de l'état d'urgence. Quand ?  Lorsque l'état prit le dessus et commença à éradiquer les dernières poches de résistance des bandes armées qui rejetaient tout compromis ou repenti décrété par référendum "la Loi de la Concorde nationale", et tentaient de se revitaliser en rejoignant une "mythique Al Qaida", enfant illégitime des CIA-MI6.
    Les islamophobes d'hier se recyclent. Les uns s'auto-désignent d'office avocats du FIS (presse indépendante et ONG). Ali BelHadj le mégalomane en mal de publicité et de gloire découvre  l'hospitalité des plateaux de télévision et les interview des journalistes, à l'image d'Elisabeth Shemla, le fer de lance de la presse sioniste en France colonisée "hantée" par son amour pour l'Algérie, résume son entrevue avec Belhadj en prophétisant dans son article un retour du FIS (sic). "Wishful thinking", comme diraient les anglais, prendre ses désirs et ses souhaits pour des réalités. Le FIS ayant joué à sa manière, le rôle de cheval de Troie ou de Judas dans la crise qui avait secoué l'Algérie dans les années 90.
    Tous les prétextes sont bons pour harceler les états, selon la devise "si ce n'est pas toi, c'est ton frère!", ou "lorsqu'on veut noyer son chat...", donnant les
    stratégies criminelles génocidaires, alliées à l'injustice (la loi du plus fort) et à l'agression militaire. Suivent les sanctions et représailles  décrétées par les  pouvoirs judéo-talmudiens et leurs valets des tribunes onusiennes, 
    le venin du mensonge enrobé du chocolat de la défense des "droits et libertés", sélectifs bien sur.
    L'argument des "armes de destruction massive" ne trouvant pas champ d'application dans le cas de l'Algérie, il faudra inventer d'autre fable pour justifier l'ingérence étrangère.
    Peut être Al Qaida ? Les droits de l'homme ? Les partis dissouts ? Les droits des "gays" ? Dans tous les cas de figure, la presse nationale "indépendante"est vigilante et opérationelle pour lancer toute campagne d'harcelement contre le "système", lire l'Algérie tout court.
    La corruption ? Celle ci devenue endémique, fait l'objet de beaucoup d'attention médiatique et est l'occasion d'un vrai défoulement thérapeutique stigmatisé par la raillerie et le mépris. L'affaire SONATRACH par contre a déclenché une hystérie générale, qui tourne à la vindicte contre qui ?
    -"Par ricochet", contre Bouteflika.
    Le débat est détourné de l'objectif premier de dénoncer le mal, comprendre ses mécanismes, analyser les opérations frauduleuse et leurs auteurs, mobiliser l'opinion et la sphère politique, pour trouver des remèdes à cette calamité financière.
    Le tapage autour de SONATRACH occulte l'évidence: le controle de l'entreprise nationale et sa gestion ont été du ressort de la nomenklatura du socialisme spécifique, Mohamed Ben Ahmed Abdelghani, Abdelhamid Brahimi,  Belaid Abdessalam, Ahmed Ghozali, Mouloud Hamrouche, Redha Malek, Mokdad Sifi, Ahmed Benbitour (Ministre des finances pendant  5  ans !) pour ne citer que les plus en vue. Quand à Shakib Khellil, un "technocrate" dont le CV a peut être induit en erreur Bouteflika, il est fait l'objet d'enquête judiciaire et son sort sera connu. En quoi peut-on accuser Bouteflika de complicité ? Des rumeurs, seulement des rumeurs. Est-ce sa faute si la situation dont il a hérité est désastreuse,  et les hommes qu'il jugeait intègres s'avèrent corrompus ? Le tort revient à cette école du "Socialisme spécifique" qui a diffusé sa démagogie pendant 30 ans et a enfanté ces monstres, parmi lesquels beaucoup se métamorphosent en démocrates de circonstance et s'affublent de patriotisme douteux.
    Qu'en est-il de Boumedienne qui avait lui même signé le contrat gazier "El Paso", qu'il avait négocié et conclu au 1/6 du cours mondial, et que le gouvernement Chadli avait judicieusement résilié et obtenu par jugement 
    (du tribunal de La Haye), en reconnaissance d'irrégularités comptables et juridiques ?
    Qu'est devenu l'organisme Expansial, de Genève-Paris qui gérait les recettes des hydrocarbures comme une fondation philanthropique privée sous l'oeil bienveillant de Boumédienne-Abdessalam-Ghozali ?
    La Sonatrach, ce mastodonte harnaché par les stratèges économiques et financiers de l'école "industrie industrialisante", a marqué l'histoire  de l'Algérie de son pas pesant, qui a inévitablement  réveillé des convoitises et des infortunes au sein de l'entreprise. Que Bouteflika soit parvenu à dompter la bête, il n'y a aucun doute, et les réserves en devises sont là, pour l'attester et réfuter toutes accusations diffamatoires à son égard. Que la bête ait des sursauts  d'orgueil lorsque maltraitée par ses écuyers et garçons d'étable provoque des accidents et des dégâts. Ce personnel formé aux méthodes révolues de l'ancienne écurie est seul responsable de la catastrophe. Il doit être radié comme l'ont été leurs mauvais maîtres.
    Bouteflika, héritant de  40 ans de la gabegie de nos révolutionnaires de salon, est comme la  coutume le veut chez nos média "des droits de l'homme et de la femme", et les "forces subversives occultes", ciblé par la campagne.
    Le "tir par ricochet", une nouvelle arme de destruction massive à l'essai aux mains des militants "des libertés et de la société permissive décadente", montés sur leurs chevaux de Troie Rothschildien.(voir ci dessus la belle leçon de morale qu'on enseigne dans les écoles humanitaires kosher. Les Kissinger, Soros et Breijzensky en sont les majors de promo !)
    Entre-temps,.................. la caravane passe, toujours.

    Blog Sauve qui peut.
    «Lorsque j’ai lu cet article du 21 juillet sur l’arrestation de cinq rabbins orthodoxes de New York et du New Jersey, en compagnie d’une quantité de fonctionnaires du New Jersey, cela m’a fait penser à mon cousin Harry. A l’instar de Harry, une personne soignée, au visage rasé de près et laïc, ces dirigeants religieux, portant une longue barbe, un costume noir, et accompagnés d’un cercle de politiciens, étaient devenus des escrocs professionnels. Ils s’étaient engagés dans le blanchiment d’argent à grande échelle et les opérations illégales de commerce d’organes, en plus de la vente de faux sacs Gucci et Prada et toutes sortes de contrefaçons. Ce réseau de haute volée opérait avec des rabbins de Brooklyn et du New Jersey, qui blanchissaient des dizaines de millions de dollars par l’intermédiaire d’œuvres caritatives qu’ils contrôlaient.»
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    Etats-Unis-Samedi 25 juillet 2009.Corruption: le thriller du New Jersey.Une quarantaine de personnes dont de nombreuses personnalités ont déjà été arrêtées. (AFP)
    Maires, officiels, rabbins, un banquier suisse: le FBI vient de dévoiler une gigantesque affaire de corruption et de trafic d’organes.Echange d’enveloppes dans les parkings; maires corrompus; respectables synagogues servant à ­laver l’argent sale. Toutes les composantes d’un thriller politico-criminel sont réunies dans la gigantesque affaire de corruption que viennent de dévoiler les agents du FBI dans le New Jersey et à New York. Même un trafic d’organes s’étendant jusqu’en Israël. Et même l’intermédiaire d’un banquier suisse.Blog Sauve qui peut.
    Oubliez Chicago! Depuis des années, le formidable boom immobilier découlant de sa proximité avec New York a fait du New Jersey le royaume des corrompus. C’est de notoriété publique, et en dix ans le nombre d’arrestations se comptait déjà par dizaines. Mais pour attirer les gros poissons, il fallait aux agents fédéraux un appât plus conséquent.
    Jeudi, il a fallu apprêter des autobus, tant Dwek (36 ans) a montré de talent pour mettre ses interlocuteurs en confiance: 44 personnes arrêtées, dont des maires, des responsables municipaux, des inspecteurs publics et cinq rabbins. Plusieurs des hommes politiques épinglés, aussi bien démocrates que républicains, venaient à peine d’être élus. Et pratiquement tous avaient remporté leur course électorale avec un seul thème de campagne: la lutte contre la corruption.Blog Sauve qui peut.
    L’assurance d’obtenir un déclassement de zone pour construire un vaste projet immobilier? Acquise contre 5000 dollars offerts à Peter Cammarano, qui allait devenir maire de la petite ville de Hoboken, en face de Manhattan, en juillet dernier. «Vous pouvez avoir confiance en moi, lui a répondu l’officiel. Vous allez être traité comme un ami.» Besoin de «laver» des centaines de milliers de dollars provenant d’activités douteuses? Les rabbins de Brooklyn (un district de New York) ou de Deal, dans le New Jersey, ne posaient pas de questions: ils acceptaient le chèque au bénéfice de leurs œuvres de charité, puis ils rendaient l’argent cash, amputé de 10% de commission.
    Suivi pas à pas par une équipe d’enquêteurs, qui filmaient souvent la conclusion de ses marchés, Solomon Dwek a continué de pénétrer les méandres de cet Etat qui ont inspiré la fameuse série télévisée des Sopranos. Poussant plus loin sa mise en scène, le FBI a flanqué l’informateur d’une agente, censée être sa secrétaire. Son oncle était gravement malade, disait-elle, et avait besoin d’une transplantation de rein. Levy-Izhak Rosenbaum, un homme d’affaires de Brooklyn, s’est porté volontaire: il achèterait l’organe, a-t-il promis, pour 10 000 dollars à un Israélien nécessiteux. Et il était prêt à le revendre pour 160 000 dollars. Selon les documents des enquêteurs, l’homme a assuré qu’il procédait à ce genre de trafic d’organes «depuis des années».
    Il semble qu’une bonne partie du circuit mis en lumière par Solomon Dwek passait aussi par Israël. Le FBI a laissé également entendre qu’un «banquier suisse», dont l’identité n’a pas été révélée, se chargeait de faire transiter l’argent.
    «Tout cas de corruption est inacceptable, n’importe quand, n’importe où, et par n’importe qui», s’est exclamé le gouverneur démocrate du New Jersey Jon Corzine. Mais l’un de ses adjoints, également visé par l’enquête, s’est vu obligé de démissionner avec effet immédiat. Ironiquement, c’est l’ancien rival républicain du gouverneur, Chris Christie, qui avait mis sur les rails cette enquête au temps où il était encore procureur fédéral. Dépeignant un Etat corrompu jusqu’à la moelle, Christie n’avait pas réussi à convaincre les électeurs. Aujourd’hui, l’ampleur de cette affaire a, pour lui, comme un agréable goût de revanche.     

    Gilad Atzmon sur l'affaire des rabbins trafiquants d'organes

    «Certes sur les 44 personnes arrêtées, il n'y a que 5 rabbins, mais vantards, et pas le moins du monde gêné  si l'on pense aux propos de Rosenbaum. Intéressant d'avoir l'avis de Gilad Atzmon qui combat ce qu'il qualifie de pathologie israélienne depuis un bon moment, rejoignant en cela Avraham Burg lorsque celui-ci décrit les israéliens comme des brutes.»

    Gilad Atzmon - Time to Talk about the Rise of Jewish Crime?


    ISRAËL USA - UNE AFFAIRE DE CORRUPTION TOUCHE PLUS DE 40 PERSONNES, DONT DE NOMBREUX RABBINS, AUX NEW -JERSEY ET ISRAËL
    Une quarantaine  de personnes dont de nombreuses personnalités ont déjà été arrêtées.  (AFP)


    1 commentaire
  • La visite de sites juifs qui se spécialisent dans l'exaltation nostalgique et plaintive de l'origine algérienne de leur communauté, est rafraîchissante, tant elle permet d'actualiser la perception de l'humeur politique des communautés séfarades.
    "Harrissa" et Zlabia" ont des consonances  gastronomiques qui ne devraient cependant pas tromper le visiteur sur l'objectif de tels outils médiatiques, qui demeurent des instruments subtils d'ingénierie sociale.
    Le but annoncé est "d'offrir un lieu de rencontre" aux membres de cette communauté juive originaire d'Algérie.Minorité qui a, selon ses avocats, enduré un "exil forcé", survenu après 1962, date de l'indépendance.
    Selon leur déclaration: «principalement par peur de représailles des "hordes" du FLN qui mettaient en péril la vie même de ces Français de confession juive
    Ce résumé condensé des réalités historiques reflète la pensée de la communauté juive, qui après 50 ans et les revers endurés sous le régime sioniste en Israël, ou ailleurs, redécouvre ses origines nord africaines. Cette article est destiné à exposer une partie de la malhonnêteté intellectuelle des écrivains qui traitent de l'histoire de leurs coreligionnaires en Algérie. Ces historiens sont avant tout les "gardiens d'enceinte" du mythe de "l'oppression du juif".Ce concept fallacieux est défendu avec acharnement par les imposteurs sionistes car c'est le vernis qui dissimule leur  idéologie réelle. Une toison d'agneau dont se couvrirait le loup  prédateur impitoyable, pour duper ses victimes. Mais je préfère l'analogie du serpent, sournois et silencieux, camouflé par la végétation (le milieu social) qui peut dévorer une proie dix fois son poids.Capacité démontrée dans l'Histoire contemporaine par cette minorité  qui littéralement "phagocyte", socialement, économiquement, et politiquement, la majorité goyim.Telle est la fonction essentielle des juifs-sionistes dans le Monde.
    Pour ce qui concerne l'agitation que les séfarades orchestrent à travers des sursauts de revendications, de réclamations, d'accusations, ou de protestations, canalisées par leurs puissants média, il est intéressant d'en connaître les motifs non avoués, cachés. Ceux-ci peuvent être observés à travers les chroniques de leurs historiens,  à l'image de Benjamin Stora, un "spécialiste" de l'histoire contemporaine d'Algérie.Le "cœur ayant sa raison", il est naturel que l'historien abandonne, dés son approche  de  l'Algérie, son impartialité, qui fait place à son parti pris chauvin, qui est sans concessions. De  toute manière le Talmud lui interdit formellement de témoigner contre ses coreligionnaires, au risque qu'encourir la peine de mort ! 
    Marxiste révolutionnaire et Trotskyste, impliqué activement dans les groupes subversifs néo-conservateurs de la "gauche", de défense des droits (sélectifs) de l'homme (Human Watch,), , sympathisant des partis sectaires algériens à consonance culturelle mais à "résonance" séparatiste et "dissensioniste", FFS, RCD, et  même MAK.
    L'homme est le modèle parfait du "Gardien d'enceinte" et a été investi de la mission consistant à gérer, canaliser, censurer, influencer, moduler, le cours des événements, mais surtout leur interprétation. Toujours selon la tendance que "l'éternel conspirateur" a désignée pour préserver son quadrillage de l'opinion et raffermir sa tyrannie de la pensée libre et des idées indépendantes. Technique et stratégie pour un contrôle progressif de la planète.
    Il est intéressant de voir combien les vues subjectives de ces  marchands d'Histoire dissimulent leur rôle partisan dans l'aiguillage des événements et le modelage de leur interprétation. Car sous le masque  de ces historiens et observateurs, sommeille un militantisme politique  et religieux, étroit et incontournable, qui indiscutablement les dépouille du critère d'objectivité scientifique, qui est la qualité du témoin neutre lors de l'observation et description des faits. Notre Benjamin arpente la scène historique, en dissimulant ses croyances politiques et religieuses sous sa tenue professionnelle, la pompeuse  "expertise" . Sa stratégie consiste à gagner la confiance aveugle de ses victimes par l'étalage de ses connaissances sur l'Algérie, gage de sa compassion pour le pays et son peuple.Une fois réconforté par la confiance et la naïveté de ses amis et dupes, il commence à distiller le "poison" du mensonge et de la diversion dans le "miel" du thème qu'il traite.Comme lorsqu'il aborde le chapitre  "juifs en Algérie", dans lequel il démontre une indulgence indécente pour la communauté auquel il appartient, et dont il tente de blanchir les crimes et les malversations.Déculotté, et dénoncé pour ses opinions politiques excessives, qui avaient pris l'allure d'activisme menaçant l'ordre publique, il s'est replié vers la France.De là l'enfant du sionisme-talmudisme s'est recyclé, ouvertement, dans le militantisme anti-algérien, mettant à nu ses vrais convictions.   Récemment, Stora le "spécialiste" de l'histoire d'Algérie, a carrément déposé sa plume de scribe de l'histoire officielle (des éditeurs  juifs), et rejoint les rangs de la nébuleuse qui depuis 10 ans s'éreinte inutilement  à vouloir entraver la mission de Bouteflika. Président dérangeant le système de gouvernance frauduleux, le pouvoir de l'utopie révolutionnaire.Ce même dogmatisme auquel Benyamin Stora prétend vouer de la passion: la démagogie populiste et l'utopie du marxisme-trotskisme.
    La gestion pragmatique adoptée par Bouteflika, qui s'est distancé des "ismes" , est la cible de cette tempête médiatique contre l'Algérie. Orchestrée bien sûr par le cartel mondial occulte du sionisme-talmudisme  (voir les articles, Lien1, Lien2).Les fables mensongères et  les analyses orientées de l'histoire ne pouvaient trouver meilleure terrain de confusion  que lorsqu'elles abordent le passé des juifs en Algérie. Ces pieds noirs drapés de nostalgie culturelle et de fanatisme religieux, 
    refusent toujours d'assumer leur participation et leur responsabilité dans les crimes commis contre la majorité musulmane. Cette communauté séfarade, étrangère à l'Algérie, tente le blanchiment des actes criminels de leurs aïeux et contemporains, et n'a jamais abandonné sa haine de l'islam, d'où les intrigues instiguées subtilement sous le couvert de "publications historiques". Le stratagème est classique: reporter le tort sur l'adversaire, le FLN et combattants armés, et se posturer comme victime, en occultant de manière grossière les opérations belligérantes personnelles, dont
    -La colonisation  provoquée par les malversations financières des banquiers et marchands juifs;
    -Le ralliement des juifs de France à leurs coreligionnaires algériens avec un soutien illimité 
    matériel, moral et légal;
    -La collaboration collective active avec la France dans sa campagne de génocide et plus tard avec Israël pour concrétiser le transfert du nucléaire au prix d'essais criminels, opérés et supervisés par les Juifs Français et Israéliens à Reggane, au détriment des populations musulmanes qui endureront éternellement les séquelles des expériences nucléaires; 
    -L'implication des politiciens les plus virulents, ceux qui ont défendu "l'Algérie française" et engagé les actions les plus meurtrières contre la population musulmane (Mittérand, Messmer, Soustelle, Debré et autres juifs).
    -Puis l'OAS:  (WikiPedia) «Les juifs pieds-noirs et l'OAS»
    «Pendant cette période, la communauté juive s'oriente d'une manière générale vers une attitude neutre. (sic).Les organisations communautaires font preuve d'une extrême modération et refusent de prendre politiquement position, car elles considèrent que cela ne les concerne pas, pourtant certains s'engagent au sein de l'OAS, de manière individuelle comme Jean Ghenassia qui deviendra le lieutenant de Joseph Ortiz (selon Emmanuel Ratier), ou collectivement comme à Alger et à Oran où ils seront particulièrement actifs. Regroupés au sein des « Commandos Colline », ces groupes sont liés aux réseaux France Insurrection conduits par Elie Azoulai et Ben Attar. Ils assassineront certains élus musulmans, essaieront de mettre le feu à la prison où sont détenus des hommes du FLN et abattent des officiers français, comme le Lieutenant-Colonel Pierre Rançon, chef du 2e Bureau d'Oran, chargé de la lutte anti-OAS.»
    A propos d'OAS, observons les faits d'armes de cette pègre de généraux  dont la bravoure défaillante et l'ingénuité chancelante, dans la jungle Indochinoise, s'étaient métamorphosées en héroïsme et  génie militaire, dans.....les ruelles d'Alger.
    sur les murs d'Alger - mars 1962
    «L'OAS, Organisation Armée Secrète, fut constituée en 1961, à l'instigation des généraux Salan et Jouhaud et d'hommes politiques comme Jean-Jacques Susini ; elle tenta par tous les moyens - attentats en Algérie et en France - de s'opposer à la politique algérienne du général de Gaulle. Quand il fut clair que l'indépendance de l'Algérie était inexorable, l'OAS pratiqua la politique de la terre brûlée. Le terrorisme aveugle de l'OAS contribua au départ d'Algérie de la grande majorité des pieds-noirs.»
    «Jean-Marie BASTIEN-THIRY - né en 1927 - lieutenant-colonel, ingénieur de l'armement - organisateur des attentats de Pont sur Seine et du Petit-Clamart contre de Gaulle. Condamné à mort et fusillé au fort d'Ivry, le 11 mars 1963.
    Roger DEGUELDRE - né en 1925;Le lieutenant Roger Degueldre a été fusillé le 5 juillet 1962 au fort d'Ivry. Ancien maquisard F.T.P. engagé dans l'armée à la Libération et passé à la Légion, il gagna ses galons en Indochine puis en Algérie. Déserteur le 22 avril 1961 lors du putsch des généraux à Alger, il devient le responsable des "commandos Delta" de l'OAS qui exécutent assassinats et actes de terrorisme. Degueldre fut condamné à mort par la Cour militaire de justice le 28 juin 1962.
    Albert DOVECAR et Claude PIEGTS, qui avaient sous les ordres de Degueldre participé à l'assassinat du commissaire Gavoury, ont été fusillés le 7 juin 1962.
    Edmond JOUHAUD - général - né à Bou Sfer (Algérie) en 1905 - il fut la cheville ouvrière du putsch d'avril 1961, puis chef de l'OAS en Oranie. Arrêté le 25 mars 1962, il est condamné à mort le 13 avril 1962 ; sa peine est commuée le 28 novembre 1962, en prison à vie, et il est libéré en décembre 1967. Il est décédé en septembre 1995.
    Raoul SALAN - général -  né en 1899, décédé le 3 juillet 1984 à Paris. Général de division sous de Lattre pendant la campagne de 1944/1945, il fut nommé commandant en chef en Indochine (1952/1953) puis en Algérie (1956/1958). Il se rallia au général de Gaulle lors des événements de mai 1958, mais, partisan de l'Algérie française, il rompit avec lui. Il fut l'un des organisateurs du putsch des généraux (avril 1961) ; puis il fonda l'OAS. Condamné à mort par contumace (11 juillet 1961), puis arrêté à Alger (20 avril 1962) ; sa peine est commuée en détention à vie (23 mai 1962). Amnistié en 1968, il fut réhabilité en novembre 1982.»
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    Rappel historique


     (Lien):"les juifs de l’Algérie coloniale", extraits de «La guerre d’Algérie, de la mémoire à l’histoire», Hassan Remaoun et Gilles Manceron.
    -1- «Avec la conquête de l’Algérie, en 1830, les Juifs algériens, dont quelques-uns connaissaient le français, avaient accueilli assez favorablement l’arrivée des nouveaux arrivants et étaient devenus des sortes d’intermédiaires(lire collaborateurs, traîtres envers l'Algérie, leur "chère" patrie)  entre colonisateurs et autochtones. Étant vite entrés en contact avec les représentants des Juifs de France, émancipés depuis la Révolution française (puisque la destruction de la Royauté, par les agents de Rothschild est qualifiée "d'émancipation" au lieu de coup d'état), c’est-à-dire devenus des citoyens français relevant individuellement de la loi française (une farce fabriquée par les juifs contrôlant  toute la hiérarchie gouvernementale, dont symboliquement le Ministère de la Justice, Mr Crémieux!)  au prix de la perte de leur "statut personnel" juif antérieur (juridiction des tribunaux rabbiniques sur les mariages, les divorces et les successions), les Juifs d’Algérie avaient subi leur influence et aspiré à la même condition.»
    -2- «L’administration militaire française avait supprimé peu à peu l’autonomie interne des communautés juives     d’Algérie.» «A partir de 1845-1850, les Juifs d’Algérie, soutenus par les libéraux et des notables musulmans, avaient commencé à revendiquer la citoyenneté française. Elle leur avait été accordée d’abord par Napoléon III, par le sénatus-consulte de mars 1870, puis, après la proclamation de la République, par le décret connu sous le nom de décret Crémieux, précisé en octobre 1871 par l’Assemblée nationale.»
    Le rejet massif de la citoyenneté algérienne par les juifs qui ont rallié leurs coreligionnaires français par leur adoption  de la citoyenneté française après le décret Crémieux(1870)(du nom de leur coreligionnaire Adolphe Crémieux, ministre de la justice de la France, France déjà sous domination juive).
    -3-«....le 7 octobre 1940, le gouvernement de Vichy abrogea le décret Crémieux, retirant aux Juifs tous leurs droits à la citoyenneté française et refaisant d’eux des "indigènes" au même titre que les Musulmans, ce n’était pas uniquement le résultat de la politique décidée en métropole mais aussi la conséquence de cet antisémitisme persistant au sein de la société européenne d’Algérie.»«La mémoire française a préféré retenir l’idée d’une cohabitation difficile entre les Juifs et les Musulmans d’Algérie, projetant rétrospectivement les conflits venant après la Seconde Guerre mondiale, alors que les incidents furent rares entre ces deux communautés et souvent suscités par des antisémites européens à la recherche de troupes pour commettre des violences».
    -4- «Ce ne fut que le 20 octobre 1943, soit près d’un an après le débarquement allié en Afrique du Nord - le Service des questions juives d’Alger étant resté ouvert jusqu’en mars 1943 -, que le Comité français de libération nationale accéda à la demande des Juifs d’Algérie de recouvrer leurs droits politiques de citoyens, demande à laquelle les notables musulmans, qui formulaient la même pour tous les Algériens, étaient loin d’être hostiles. Quant aux responsables européens de la répression anti­-juive, ils ne firent, pour la plupart, l’objet d’aucune poursuite.»
    -5-Acte final (1956), le FLN demande à la communauté juive de se positionner par rapport au conflit, la guerre d'indépendance:
    «La dernière étape du processus d’intégration des Juifs d’Algérie à la communauté européenne correspondit à la guerre d’Algérie. En 1956, un appel du FLN les incitait à soutenir le mouvement pour l’indépendance, ce que firent un petit nombre d’entre eux, mais la grande partie était déchirée entre ses racines algériennes et son attachement à la France, où se mêlaient, selon les cas, un attachement au statut de citoyenneté qu’elle leur avait finalement assuré et une nostalgie de la société coloniale, où ils occupaient, malgré tout, pour beaucoup d’entre eux, une situation privilégiée par rapport à la masse de la population. [...] Les Juifs d’Algérie avaient peur que la France ne se soucie que des Français ou des Européens "de souche" et que leur citoyenneté française, rétablie moins de vingt ans plus tôt, ne soit de nouveau remise en cause. A leur demande, les accords d’Évian précisèrent que les Juifs d’Algérie seraient considérés comme européens et la France prit même, en 1961, à la veille de l’indépendance, une mesure donnant la citoyenneté française aux quelques Juifs habitant, hors des limites des départements d’Algérie, les territoires du Sud conquis en 1870, qui n’étaient pas citoyens français et conservaient leur statut personnel.»
    -6-Confortable dans son statut d'Européen, le français  juif d'Algérie souhaite garder "le beurre et l'argent du beurre", et son opportunisme ancestral et sa perspicacité légendaire lui dictent la prudence qu'impose la règle  "ne pas placer tous ses œufs dans un même panier".Ainsi les défenseurs de "l'Algérie Française", puis de l'OAS génocidaire pourront s'enorgueillir de posséder en leur sein les meilleurs représentants de la communauté juive, les ministres des gouvernements français, les gouverneurs d'Alger, les officiers de l'armée régulière et les "chefs" de l'OAS. (A savoir, les bras de la déesse Shiva, analogie sioniste du..sionisme dans les "protocoles")
     Ces faits révoltants, les historiens et les nostalgiques juifs de l'Algérie ne les mentionnent jamais, car préférant les occulter pour perpétuer le mythe de victimes éternelles aux mains des injustices du goyim(non juif). La shoah étant un autre stratagème à grande échelle, mondiale,  justifiant leur contrôle planétaire, des crimes génocidaires contre l'humanité :
    -les deux guerres mondiales dont ils ont été les instigateurs,
    -les massacres  et punitions collectives infligés aux Arabes-Musulmans (Liban, Irak, Afghanistan, Syrie, etc...).Occultant leurs crimes et se lamentant interminablement,  grâce à l'artifice  médiatique, toujours au banc des victimes, jamais à celui des accusés.

    Par peur de trop m'étendre sur le sujet, je me limiterais à mentionner un de leurs grands accomplissements humanitaires, la liquidation de quelques 60 millions de tubes digestifs inutiles (l'expression est de Rockefeller et Kissinger) en Union Soviétique, de la main du politburo communiste juif!
    (sujet à "piocher" sur le web pour une révision des vérités  historiques officielles "tamisées".Sans quoi ,elles heurteraient les yeux).
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    Ces ex-Juifs d'Algérie encadrés par leur patronat sioniste adhèrent entièrement à l'idéologie talmudienne de suprématie religieuse expansionniste.I ls ne contestent nullement l'apanage du privilège divin, leur  permis religieux de violation des droits  des goyim, le pillage de leurs biens et la dégradation de  leurs valeurs. Sachez que leur attachements et affinités géographiques servent qu'un objectif: la tentative d'ingérence.
    Au nom de faits historiques travestis, d'interprétation subjectives, ils ont traqué  et capturé une fraction d'Algériens et les ont dressés jusqu'à leur adoption du sionisme politique (sans le judaïsme religieux que les Rabbins de Tel-Aviv se refusent à partager. Voir dans ce contexte le contenu des dogmes  chimériques occasionnés d'intérêts matériels, du groupe de renégats à leur patrie, les malfrats recrutés  par le MAK de Ferhat M'henni). A ce jeu d'ingérence les juifs ont réussi, rendant cependant service à l'Algérie, en balayant de sa porte les brebis galeuses dissimulées parmi nous.
    La spéculation juive sur les origines des peuples d'Afrique du Nord ne sert pas plus à étancher leur soif de savoir qu'à fabriquer des arguments leur permettant de créer ou d'entretenir des différences internes mêmes marginales et en faire une source de conflits. Beaucoup de Berbères ont été hellénisés, puis certains esclaves judaïses, ont fondé Carthage et la Numidie, sont devenus Romains et Chrétiens et, enfin Musulmans.Nombreux parmi ces derniers, païens et barbares d'hier conquirent l'Espagne, y établirent la civilisation d'Andalousie qui rayonna par son incomparable développement culturel, scientifique et religieux. Motivés par des convictions sincères,  ils sont les bâtisseurs d'une révolution humaine authentique et d'une métamorphose immuables de leur patrie tout au long d'une  transition historique, que les chuchotements maléfiques du sionisme tentent de leur faire renier. Offre envenimée  d'une vision corrompue et raciste de l'histoire qui dénature arbitrairement un pan entier de leur héritage, celui de 15 siècles d'Islam. Troquant leur statut d'homme universel à celui  mythique, dévalorisé par "L'éternel conspirateur", d'esclave judaïsé !
    A cette fraude historique déceptive s'allient tous les porte-paroles séfarades qui se spécialisent dans l'écriture de fables sur l'Algérie, tous occultant les crimes commis périodiquement contre les Musulmans.
     L'un d'entre eux, est Jacques Attali, pas le moins vil ni le moins subtil, mais un monstre médiatique affublé de mérites intellectuels que lui prêtent ses acolytes des média juifs. Et dont le palmarès éloquent se résume à la fourberie politicienne et mercantile, le mensonge enrobé de scientisme, et la raillerie au dépens du goyim crédule.
    A la question de "zlabia.com" (Lien):
    Qui est Attali l’Algérien ?»
    -Il répond : 
    «Mon père, qui est né en Algérie. Sa famille était ancrée depuis des siècles dans ce pays porteur d’un judaïsme très fort. Un judaïsme algérien extrêmement cultivé et intense. Un judaïsme qui a des origines profondément berbères. Une grande partie d’entre eux ont été convertis avec la Kahina, cette grande femme de pouvoir berbère et juive, qui a tenu tête aux musulmans d’Orient lors de leur arrivée au Maghreb.»
    Entrant d'emblée dans le rôle que le scenario de "zlabia.com"  lui a réservé : le prédateur averti, qui de ses crocs, mord dans la chair de sa victime, l'Algérien berbère, pauvre victime innocente, naïve et crédule, flatté par les propos de ce géant (enflé par la publicité mensongère) qui propose de partager (en guise d'appât bien sûr) son orgueil racial(orgueil que le Tout puissant a damné dans tous Ses livres saints et de la parole de Ses Prophètes, Moise en tête).
    Attali lance une fleur: le qualificatif «cette grande femme», à propos de la mythologique «Kahina», brise dans l'âme du Berbère, toutes les barrières qu'ont érigées dans son subconscient, les défenses naturelles ancestrales. Anesthésié par le parfum de la fleur, il baisse les bras et offre sa nuque à la bête.
    Zlabia: «Vous vous sentez pleinement Algérien donc ?»
    Après un grognement bestial et une accolade, il étreint sa proie, lui susurrant la réponse:
    «Je suis Algérien. Je suis né en novembre 1943 à Alger et j’ai quitté mon pays en 1956. La langue maternelle de la famille de mon père et de ma mère était l’arabe. Nous ne sommes pas des pieds-noirs. Reste que j’ai vécu l’histoire de ma présence en Algérie comme un apartheid. Nous n’avions aucun contact avec les Arabes. Et les seuls mots d’arabe que je connaissais, c’était des insultes ! Le mot « yaouled », en arabe, veut dire « un enfant ». Pour moi, il signifiait le porteur de commission au marché. Et « yaouled » pour moi signifiait la soumission. J’ai gardé ce mot gravé dans ma mémoire. Je garde d’Alger, que j’ai quittée à l’âge de 13 ans, des souvenirs désordonnés : la parfumerie de mes parents, rue Michelet, la synagogue de Saint-Eugène.»
    Les larmes aux yeux (de plaisir) de tenir enfin sa proie, il dévie l'attention du Berbère naïf et confiant,
    du doigt désigne l'Arabe, l'ennemi commun. La tête de l'agneau pivote, ses yeux se figent sur l'Arabe. Le carnassier, d'un coup lui sectionne la glotte.
    Zlabia:«Et pourtant, vous ne pouvez pas y retourner… »
    Le prédateur toujours larmoyant et endurant la "souffrance de l'exil ", achève sa victime.
    Mais toujours pas repu, il tente de pénétrer dans la bergerie et poursuivre son carnage: 
    «Je fais partie de ces rares personnes dans le monde qui n’ont pas droit d’aller se recueillir sur la tombe de leurs grands-parents. Les juifs d’Algérie ont été coupés totalement de leurs racines à partir de l’indépendance en 1962. Je ressens ça avec de la tristesse, parfois de l’amertume et parfois de la rage. Mon père a été très tôt convaincu que l’Algérie serait indépendante. Mais il était aussi sûr, tristement, que les juifs n’y auraient pas leur place. Il a donc décidé dès novembre 1954 de partir pour Paris. Tristement. Quand je vais dans une synagogue de Paris, je cherche toujours un lieu où je me sens comme à Alger.»
    Subjugué par les émotions il marque le pas et préfère une virée vers l'étable, ciblant les vaux assoupis sur son œuvre romantique, le «Dictionnaire amoureux du judaïsme».
    Zlabia: «Revenons sur votre ouvrage, pourquoi un livre sur le judaïsme ? »
    -«Bla, bla, bla,...»
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    Merci à "zlabia,com" d'esquisser un portrait du monstre:
    «Sacré. Le gourou de la finance public (pillage privé des biens étatiques avec consentement des citoyens Goyim) un Dictionnaire amoureux du judaïsme (chez Plon) et revisite son passé algérien (ingérence).»
    Et plus loin, le couronnement de sa carrière professionnelle:
    ««2001. Il est mis en examen dans l’affaire Angolagate pour recel, d’abus de biens sociaux et trafic d’influence. Le jugement sera rendu en octobre 2009.»
    Le péché mignon du sioniste-talmudien, le vol (licite) des biens Goyim.
    Car le vol est recommandé et béni par le Talmud, aussi longtemps que la victime n'est pas juive !
    A qui se fier ? Quelle est la réponse raisonnable, optimale, adéquate et  objective à  opposer à ce ras de marée nostalgique qui submerge l'Algérie ?
    -La méfiance  et la prudence !
    Pourquoi ?
    Une brève rétrospective historique des forfaits à enregistrer dans le dossier "Juif d'Algérie" nous le dira:
    L'incident dit de "l'éventail"---les actions subversives des agents internes commandités par la trahison juive  durant la colonisation (qui a causé le génocide de millions d'Algériens)---la guerre de libération (d'autres millions)---l'OAS exterminationiste ---les crimes perpétrés par les ministres juifs français qui dirigèrent les essais nucléaires (sous la supervision des ingénieurs du Mossad)*, sont l'exemple d'événements qui s'inscrivent sur la longue liste millénaire des agressions meurtrières contre les Algériens et sont l'évidence et la preuve flagrante de la haine et de l'animosité qu'entretient à notre égard la gente judéo-sioniste.
    Par équité, faisons exception des Juifs qui courageusement, se distancent du sionisme et se déclarent eux mêmes victimes de la manipulation des "maîtres de la subversion" (les banquiers et idéologues juifs-sionistes de Paris-Londres-New York).
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    Au manque de pudeur qu'affichent ces nostalgiques (certains réclamant une indemnisation de leurs possessions en Algérie), nous répondons avec fermeté: Où est votre repentance pour les crimes et génocides commis contre nous, vous, qui avez exigé  du Pape sa prosternation devant la déesse Shoah et son repenti publique pour les crimes commis par la chrétienté (souvent en réponse à votre malveillance),  depuis Jules César !
    L'effronté sans honte exposé, à la Foule dénudé et raillé  .
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    (*)Dans un document inédit (téléchargeable au Lien
    Page1:« Dans les années 50, le destin de l’Etat hébreu était l’une des priorités du pouvoir français. Une politique d’aide militaire, secrètement élaborée au ministère de la Défense, aboutit à un accord nucléaire jamais avoué […] Haut fonctionnaire et personnage très influent de la politique française de défense de l’après 1945, Abel Thomas est l’homme qui a livré le programme nucléaire français à Israël. Dans les années cinquante, il était le chef de cabinet du ministre de la Défense, Maurice Bourgès-Maunoury […] De nombreux politiques et militaires français, socialistes pour la plupart, entretenaient alors avec Israël une véritable passion romantique, et Abel Thomas joua le rôle le plus décisif dans la participation de la France à l’option nucléaire de David Ben Gourion. “C’est l’oeuvre de ma vie. Pour moi, le destin d’Israël fut vital dès sa création.” »
    «Le même article explique que le ministère de la Défense, Abel Thomas étant en première ligne, commença par livrer secrètement, à la fin de 1955, neuf Mirage… qui furent effacés des effectifs officiels, sans même en informer le ministère des Affaires étrangères dirigé par Christian Pinault, considéré, ainsi que la plupart des diplomates, comme « pro-arabe». 
    «En 1956, Thomas joua un rôle majeur dans l’opération de Suez, après la nationalisation du canal par
    Nasser, étant le contact privilégié de Shimon Peres, alors ministre israélien de la Défense. Mieux, Peres «Le Yediot Aharonot de Tel Aviv publiait fin septembre (1) un article révélant un accord nucléaire jamais révélé entre la France et Israël, ou comment la France a livré à l’Etat hébreu l’arme nucléaire. A la tête de cette fantastique trahison étatique, un Français, Abel Thomas, aujourd’hui âgé de 80 ans.»
    Page 2:
    «.....il disposera même d’un bureau à Matignon, à côté de celui du Premier ministre! Puis, Abel Thomas, François Perrin, le directeur du Commissariat à l’énergie atomique, et Shimon Peres firent fléchir le Premier ministre Guy Mollet sur la question du nucléaire. Dès octobre 1957, Israël et la France signaient un accord diplomatique  avec des clauses secrètes sur le nucléaire. La France s’engageait à fournir une pile atomique qui devait être installée à Dimona, dans le désert du Néguev, l’uranium enrichi (mais Thomas a refusé de le confirmer) et le matériel nécessaire à la fission du plutonium.»
    «Bref, on parlait de nucléaire civil et on pensait nucléaire militaire. Comme devait le déclarer le journaliste d’investigation Pierre Péan, auteur de Les Deux Bombes (Fayard, 1982) : « Le plus étonnant est que les Français aient aussi rapidement livré un programme nucléaire à peine sorti des fonts baptismaux. » Il y eu en fait, en sous-main, comme le révèle Dominique Lorentz, dans Affaires atomiques (Les Arènes, 2001), aval secret des services américains : « C’est la France naturellement qui fut choisie pour aider Israël afin de ne pas mécontenter le Congrès. »
    «Ce, d’autant qu’en 1956 la France ne détenait même pas encore un savoir-faire qu’elle n’a acquis en 1960 et que la France ne disposait pas encore de la bombe… qui intéressait Israël. Pour Lorentz, il y aurait eu en fait complémentarité entre les deux pays, la France apportant sa puissance industrielle et Israël les procédés américains. Ce qui explique que ce sont des Israéliens qui dirigeront le démarrage de la centrale de Marcouleet des physiciens israéliens seront présents, le 13 février 1960, à Reggane (Sahara), pour l’explosion de la première bombe A. Qui connaît pourtant Abel Thomas? Pratiquement personne et son nom n’apparaît même qu’épisodiquement dans les deux ouvrages précités, les seuls pratiquement sur la question. Né à Fontenay-leComte (Vendée) le 18 juillet 1920, il est le fils d’un officier portant le même prénom et de France Chauveau. Passé par le lycée de Beauvais et l’Ecole polytechnique, cet ingénieur général du génie civil maritime, il participera à la Résistance (son frère mourra en déportation à Dora et sa mère sera décorée de la Croix de guerre par le général Koenig, (fervent sioniste) et combattra, comme officier de chars, dans la division Leclerc (1942-1944). Il sera décoré de la Légion d’honneur et de la Croix de guerre.»

     Complément, ajouté le 07 Avril 2010: Extrait de "jeuneafrique.com/Article/LIN24127histoenneil0/Histoire-secrete-de-la-bombe-israelienne.html" :

    «Cependant, en France, la IVe République s'efface devant la Ve. Cela ne va pas sans causer quelque inquiétude parmi les dirigeants israéliens. On note toutefois que l'ancien gouverneur général de l'Algérie, Jacques Soustelle, qui compte parmi les amis affichés d'Israël, comme de nombreux gaullistes, est ministre de l'Information dans le gouvernement de Gaulle de 1958, et ministre chargé du Sahara et des Affaires atomiques - cela ne peut pas mieux tomber… - dans le gouvernement Debré en 1959. En face, un personnage étonnant va devenir l'antenne à Paris de Pérès, qui est promu, en 1960, ministre adjoint de la Défense. Ce nouveau venu, Shalhevet Freier, a le statut d'attaché scientifique à l'ambassade d'Israël. C'est un savant et un maître espion, humaniste et militant antinucléaire aux côtés d'Albert Einstein et de Bertrand Russel en même temps que décidé à aider son pays à acquérir des armes nucléaires(Notez le double langage militant antinucléaire, pour les Goyim-naifs et sioniste pour la cause talmude)
    Bref, la coopération militaire entre Paris et Tel-Aviv, nouée autour de la guerre de Suez, va perdre de l'intensité, car de Gaulle juge inadmissible l'étroitesse des rapports entre états-majors, mais conserver son efficacité. Ce qui freine quelque peu la mise au point de l'armement nucléaire israélien est plutôt, directement et indirectement, son coût. Parce que les fonds secrets à la dispo­sition du Premier ministre représentent des sommes importantes, mais pas illimitées, et parce que les cadres supérieurs de l'armée, à l'exception notable du général Ezer Weizman, commandant de l'armée de l'air, ont tendance à trouver utopique l'idée d'une arme atomique, et à juger prioritaire que l'on porte remède aux graves difficultés d'approvisionnement des troupes en vivres et en munitions. »
    «Comment Israël, en dépit de toute cette activité, de tous les contacts entre diplomates et chercheurs israéliens et français, entre politiciens israéliens et membres de premier plan de la diaspora juive, en dépit de l'intérêt croissant des services de renseignements des puissances, singulièrement des États-Unis, au Proche-Orient, a-t-il pu garder le secret sur son projet nucléaire ? L'explication tient surtout en ce qu'il n'est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
    Dès le mois d'avril 1959, a découvert Karpin, l'ambassadeur du Royaume-Uni à Tel-Aviv avait obtenu des extraits d'un discours de Pérès devant des hauts fonctionnaires, évoquant « le développement d'armements secrets ». Il avait transmis l'information à l'attaché naval américain. La CIA avait vainement essayé d'obtenir une confirmation, et l'affaire en était restée là. Au mois de juillet suivant, le département d'État et l'AEC (Commission de l'énergie atomi­que) avaient appris que la Norvège avait signé un contrat de fourniture d'eau lourde à Israël, alors que les États-Unis, d'abord sollicités, avaient refusé, mais l'information avait été classée sans suite.

    Le 13 février 1960, le premier essai nucléaire français, à Reggane au Sahara, est tout sauf secret : « Hourra pour la France ! » télégraphie de Gaulle. On imagine mal que la présence de deux scientifiques israéliens soit passée inaperçue des « grandes oreilles » de Washington.»

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