• Les références suivantes apportent quelques détails supplémentaires à ce dossier volumineux que de nombreuses compétences de la scène internationale dissèquent depuis des décennies, réfutant les vues et concepts propagés par les médias dominants, les sphères gouvernementales et académiques officielles.
    Un océan de publications, objectives authentiquement éducatives et caractérisées par l'intégrité politique de leurs auteurs, inonde le Net. Seuls les chercheurs souffrant de cécité aigue peuvent ignorer et omettre de mentionner ce trésor d'informations traitant du sujet des banques et de la finance au sens large. Nos "experts" économistes de la presse indépendante, à leur tête ceux d'El Watan, se qualifient, par leur infirmité, à l'aide des services sociaux du ministère d'Ould Abbés au vue de leur handicape physique causé par à une alexie irrémédiable (" Incapacité, liée à une lésion cérébrale localisée, de reconnaître le sens des mots à la lecture"). Leurs analyses confortent sans cesse les concepts et les préceptes des organismes internationaux officielles, et sont souvent des plaidoiries de l'intérêt du cartel financier juif-talmude (FMI, Banque Mondiale, groupes financiers étrangers), ce qui les placent dans le rôle de chevaux de Troie plutôt que d'ignorants, tant ils persistent à refuser de voir ou d'entendre la tempête contestataire qui déferle sur la scène mondiale clairement percevable sur le Net (d'un simple clic de souris.)
    Quand à nous, profitons du sursis offert à la disponibilité d'une multitude de sources autoritatives pour nous "éduquer", dont quelques extraits : 


    «Notre système de la monnaie n'est pas celui qu'on a fait croire. La création de la monnaie a été privatisée, ou accaparée par des bailleurs de fonds privés. Thomas Jefferson les qualifia " d'aventuriers ruinés et effrontés prétendant avoir de l'argent". A l'exception des pièces de monnaie, tout notre argent est maintenant émis sous forme de prêts fournis par des institutions bancaire privées, parmi lesquelles la Federal Reserve, un organisme privé. Les banques créent le principal mais pas l'intérêt,  frais du service de l'emprunt. Pour régler cet intérêt, de nouveaux emprunts doivent être contractés, l'offre monétaire s'amplifie, haussant les prix(inflation) et vous dérobant de la valeur de votre argent.»
    Ellen Brown (Lien : webofdebt.com) :
     «A travers un réseau de toiles d'araignée financières anonymes seuls une poignée Banquiers-Rois globalistes possèdent et contrôlent entièrement la monnaie. Tous, peuple, entreprises, État et nations étrangères sont devenus des esclaves enchainés au cordage de l'emprunt auprès des banquiers.»
    «Feu Dr.  Carrol Quigley, un écrivain et professeur d'Histoire à l'université de Georgetown, où il supervisa le président Bill Clinton, écrivit de part sa connaissance d'une clique de banquiers globalistes de l'élite s'évertuant à contrôler le Monde».  «Leur objectif, et pas des moindres, disait-il, est de créer un système mondial de contrôle financier aux mains du privé capable de dominer le système politique de chaque nation et de l'économie mondiale en général».   «Ce système devrait être contrôlé selon un modèle féodal par les banques centrales de tous les pays agissant en coordination, et être régi par des accords secrets. Il nomma cette clique simplement " banquiers internationaux".»
    «L'essence de ce projet n'est pas basée sur la race, religion , ou nationalité, mais essentiellement sur le désir de contrôle d'autres créatures humaines. La clé de leur réussite était qu'ils contrôleraient et manipuleraient le système monétaire d'une nation tout en le prétendant contrôlé par le gouvernement.» 
    Crise économique : le FMI persiste et signe  
    Par Damien Millet Secrétaire général du CADTM France (Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers Monde).
    Et   Eric Toussaint, Président du CADTM Belgique (Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers Monde).


    «Pourquoi changer une politique qui conduit à la faillite, lorsque les victimes sont les autres ? Telle est la question qui se pose au Fonds monétaire international et à laquelle il ne répondra pas. Au contraire, sous la houlette de Dominique Strauss-Kahn, le FMI entend utiliser la crise pour réduire. un peu la marge de manœuvre des États pauvres. Pour Damien Millet et Eric Toussaint, responsables du CADTM (Comité pour l’annulation de la dette du tiers-monde), il faut dissoudre sans attendre une institution internationale qui a conçu ses prêts comme un moyen de domination



    «Outil au service des grands créanciers, le FMI piétine les droits humains fondamentaux pour imposer ses politiques néolibérales au Nord comme au Sud.»

    «Les grandes puissances ont profité de la crise actuelle pour remettre le Fonds monétaire international (FMI), fortement délégitimé depuis des années, au centre du jeu politique. De concert avec l’Union Européenne, il impose sa politique de rigueur en Europe comme au Sud. Voulant passer en force, il poursuit imperturbablement la même politique néolibérale qu’il distille depuis les années 1980 aux pays en développement avec ses « plans d’ajustement structurel », baptisés au Nord « plans de rigueur » ou « mesures d’austérité ». En cas de refus ou d’insoumission, comme par exemple en Argentine en 2001, en Ukraine ou en Roumanie l’année dernière, le FMI accroît la pression en bloquant ses prêts, indépendamment des conséquences sociales. Pourtant, les échecs retentissants de ces politiques ont maintes fois été démontrés : partout les inégalités se creusent et la pauvreté gagne du terrain.»
    « Si l’on examine le FMI comme si son objectif était de servir les intérêts de la communauté financière, on trouve un sens à des actes qui, sans cela, paraîtraient contradictoires et intellectuellement incohérents. »
    Joseph Stiglitz, prix Nobel d’économie en 2001, La grande désillusion (2002).
    Les grandes puissances contrôlèrent le FMI dès sa création
    «Le FMI, tout comme son institution jumelle la Banque mondiale, est né à Bretton Woods (Etats-Unis) en juillet 1944. Aujourd’hui, 186 pays sont membres de ces deux organisations qui siègent à deux pas l’une de l’autre, près de la Maison Blanche à Washington. Mais le voisinage n’est pas uniquement géographique, il est aussi idéologique : elles promeuvent toutes les deux le fameux Consensus de Washington |1| dont les dix commandements sont prescrits aux pays surendettés à travers les plans d’ajustement structurel en contrepartie de nouveaux prêts. Le fonctionnent selon la règle « 1 dollar = 1 voix » permet aux pays riches de contrôler ces deux puissantes institutions, notamment les Etats-Unis qui à eux seuls disposent d’une minorité de blocage. En ce qui concerne le FMI, une règle tacite veut que le poste de directeur général élu pour cinq ans soit réservé à un Européen, tandis que celui de directeur général adjoint le soit à un Etats-Unien.»
    «Nombre de pays en développement qui étaient auto-suffisants en produits alimentaires (tel Haïti avec le riz) au début des années 1980 importent aujourd’hui les denrées nécessaires à leur population. L’agriculture subventionnée des pays occidentaux a inondé les pays du Sud, ruinant des dizaines de milliers de familles paysannes et les chassant de leurs terres vers les bidonvilles. Le Sénégal doit importer la totalité des ingrédients du plat national, le Yassa poulet, et Haïti importe le riz qu’il cultivait autrefois en quantité suffisante pour nourrir sa population… Lorsque les spéculateurs se ruent sur ces produits à la bourse de Chicago comme on l’a vu en 2008, les prix de ces produits explosent sur les marchés locaux et des dizaines de pays connaissent des situations dramatiques de famine.»
    La contestation n’a cessé de s’amplifier
    «Conséquence directe de l’abandon des subventions aux produits de première nécessité imposée par le FMI, les oppositions à ses experts ultralibéraux se sont multipliées depuis un quart de siècle. Les « émeutes FMI » éclatent à intervalles réguliers au Sud. Citons l’exemple du Pérou en 1991 où le prix du pain est multiplié par 12 en une nuit, ou celui du Caracazo (3 jours d’émeutes occasionnant de nombreux morts) au Venezuela en 1989 suite à l’application d’un plan d’ajustement structurel…
    Devant l’impopularité des conditions liées à ses prêts, plusieurs pays (Brésil, Argentine, Uruguay, Indonésie, Philippines, Turquie…) ont remboursé anticipativement leur dette envers le FMI au milieu des années 2000, afin de se débarrasser de sa tutelle encombrante. L’encours des crédits du FMI s’est effondré et, au printemps 2008, l’institution a été contrainte de se séparer de 380 de ses 2634 employés et de vendre une partie de son stock d’or. Par ailleurs, l’institution est confrontée à une grave crise de légitimité et les trois derniers directeurs du FMI ont démissionné avant la fin de leur mandat.»
    Le FMI et la crise
    «Suite au G20 de Londres du 2 avril 2009, le FMI a vu ses ressources tripler afin qu’il puisse multiplier ses prêts tous azimuts. Partout les conditions sont sévères : réduction ou gel des salaires de la fonction publique, réduction des pensions de retraite, privatisations des entreprises publiques, etc.
    Une dizaine de pays d’Europe de l’Est ont ouvert une ligne de crédit avec le FMI en moins d’un an, une délégation du Fonds est attendue en Ukraine à la fin du mois de mars. Si la Lettonie veut continuer à recevoir les financements du FMI et de l’Union européenne, elle doit décider une réduction de 20% des salaires des fonctionnaires et de 10% des pensions de retraite. Ces politiques suscitent des réactions de la population qui descend dans la rue : grève générales se succèdent en Grèce, manifestations d’enseignants en Lettonie, de fonctionnaires en Roumanie, plus de 90 % des Islandais refusent par référendum de rembourser une dette jugée illégale...
    John Lipsky, n°2 du FMI et ancien haut responsable de la banque JP Morgan, a prévenu les pays développés qu’ils doivent préparer leurs opinions publiques aux mesures d’austérité à venir, comme la baisse des allocations santé et retraite |2|. Si les peuples ne s’opposent pas farouchement et immédiatement aux exigences du FMI et des gouvernements du Nord au service des marchés financiers, d’importantes régressions sociales auront lieu et il est urgent de les empêcher.»


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  • Scrutés en rétrospective: certains commentaires "d'experts" économiques prêtent à rire par leur naïveté ou soulèvent des questions sur la compétence de leur travaux ou l'honnêteté de leur avis sur des questions économiques importantes et souvent cruciales. Sans grands efforts et avec seulement un peu d'imagination, toute personne intéressée par l'information économique peut deviner où trouver ce genre d'écrit et ceux qui les diffusent: notre presse "indépendante" subversive, avec à leur tête El Watan. Sans jamais faire preuve de retenue ou de prudence le quotidien s'est spécialisé dans la divination économique et s'est converti en conseiller économique, défenseur de l'intérêt général dont l'expertise se résume à tenter d'induire en erreur le gouvernement et l'opinion publique sur des questions d'actualité et à le conduire dans des avenues hasardeuses et souvent catastrophiques pour ceux qui s'y hasarderaient. Tout le monde doit avoir en mémoire la campagne dirigée par El Watan et sa pléiade "d'experts" nationaux et internationaux qui accusèrent les autorités financières algériennes de négligence et d'incompétence dans la gestion des réserves excédentaires en devises accumulées (garantis par le gouvernement des États Unis) auprès du trésor américain. Nombre de conseilleurs algériens et étrangers suspects, «qui ne sont jamais les payeurs», chantaient d'une seule voix le refrain «de la nécessité de la diversification des placements des réserves en devise, dans la multitude de valeurs financières internationales négociées sur les marchés des bourses» de Londres, New York,, etc... Un piège que l'Algérie contourna par miracle (et grâce à la vigilance de surveillants avisés).
    La crise du crédit qui se profilait à l'horizon coïncidait par hasard avec cette effusion de recommandations "désintéressées" et de conseils gratuits. La campagne d'El Watan fut abrégée par l'impact de la crise qui dévoila toutes les horreurs des malversations et des combines frauduleuses régissant les marchés financiers, que les vrais experts dénonçaient (depuis longtemps) comme organismes gérés par une pègre (dominée par les "banksters" judéo-talmudes), selon les mêmes règles qui régissent les casinos de Las Vegas, sinon pires.  Périodiquement, les agents de propagande engagèrent des campagnes de désinformation enrobées d'arguments "économiques" (dogmatiques et superficiels) ciblant la crédulité ou l'ignorance du lecteur, et ayant uniquement pour but de créer la zizanie dans l'opinion qui réagirait par le mécontentement et par l'opposition au gouvernement. Citons l'exemple de la libéralisation de l'économie ou économie de marché, que nos diffuseurs d'utopie économico-financière vantaient sans relâche, en réponse (résonance) à la tendance mondiale véhiculée par les néo-conservatifs de G.Bush. Le criminel de guerre chargé de la défense des intérêts de ses maîtres, les banquiers juifs de New York et de Londres. Ajoutez à cette nébuleuse occulte les experts des organismes internationaux, FMI et Banque Mondiale.
    Localement, tous les "experts" d'El Watan s'accordaient à promouvoir les bienfaits de l'ouverture du marché algérien au partenariat étranger, dans le but de résoudre TOUS les problèmes macro-économiques (chômage, inflation, déficits en infrastructures, etc..) par la réalisation de projets gigantesques, donc par le biais d'investissements colossaux pour nous atteler au progrès économique mondial et nous sortir DÉFINITIVEMENT du sous développement. El Watan, désigné porte parole de la mondialisation (par ses sponsors de NY), inonda l'opinion de théories économiques toutes aussi convaincantes et alléchantes que celles propagées par les officines américaines et européennes. Toujours selon La Méthode: Intox véhiculée par un bombardement médiatique ininterrompu, servant la devise «plus le mensonge est réitéré, plus il aura de chance de devenir une vérité» (voir son site pour la profusion d'articles sur les bienfaits de la mondialisation et le libéralisme économique). Cet enthousiasme, débordant d'arguments proposés par les nombreux "doctors" et spécialistes, semblait cette fois réconforter la politique gouvernementale d'ouverture économique, pour adhérer à l'OMS, se conformer aux nouvelles règles du commerce international et peut être même éviter d'attirer l'attention des néo-cons juifs de NY, commanditaires de la politique belliqueuse de G. Bush, qualifiée de "nouvelle croissade contre le Mal" (traduire par "le monde musulman").
    L'expérience de l'ouverture du marché s'est avérée grossièrement désastreuse pour le pays. Le pillage effectué par nos "chers" partenaires au détriment de notre balance des paiements qui fut "saignée" un-scrupuleusement par des boucaniers internationaux spécialistes de l'incursion à court terme et au maximum de profits. Que dans le langage populaire on qualifie pertinemment de " Achrab oua Harab". D'autre part le désistement d'investisseurs potentiels et l'abandon de leur participation dans des projets importants, conduisirent à la conclusion et à l'arrêt de cette entreprise de libéralisation sauvage. Déconfiture politique ou économique, le Président Bouteflika en fit un bilan négatif et condamna publiquement ses imperfections et les dangers menaçant le pays qui en proviennent.  Il promit de corriger les erreurs commises en ré-orientant le pays vers l'auto suffisance et la réhabilitation du secteur publique. Une politique pragmatique doublée d'une réduction de la dépendance envers le secteur privé étranger, l'Algérie ayant les moyens de cette nouvelle politique. La loi complémentaire des finances 2009, la révision des dispositions fiscales et un réaménagement de tous les outils de politique économique, suivirent, dans une conjoncture mondiale critique. Les premières résistances à la loi 2009 eurent pour origine les parties directement touchés par les nouvelles mesures. Réaction logique et un bon indicateur de la justesse de ce changement de cap. Les réserves avancées par le FMI sont surprenantes et doivent être examinées attentivement, car inhabituelles, précipitées et abusant de ses prérogatives. Mais l'intrigante tournure qu'a pris l'événement se situe essentiellement dans un fait inattendu : la  levée de boucliers de la presse spécialisée indépendante dans la défense des sociétés et groupes financiers étrangers affectés par les mesures gouvernementales (souveraines) qui étaient dictées par la nécessité de  protéger l'économie nationale (car atténuant les abus et les dérives causés par des règles économiques et commerciales préjudiciables). Un droit d'intervention gouvernemental que tous les pays jouissant d'un minimum d'indépendance se réservent dans ce genre de situation, mêmes chez les états-champions du libéralisme sauvage.
    La crise financière actuelle illustre parfaitement ce état de fait, nombreux sont les pays occidentaux dans lesquels une multitude de mesures protectionnistes sont introduites pour leurs  propres intérêts, au mépris d'accords multilatéraux souvent contraignant, tels ceux liant la communauté européenne, par exemple.
    Comment expliquer les déclarations faites par Nordin Grim, d'El Watan, (Lien) dans un article intitulé :
    « Loi de finances complémentaire : Des conséquences désastreuses pour l’économie du pays»
    «La loi de finances complémentaire pour l’année 2009 porte en elle de nombreuses dispositions visant à casser la dynamique d’ouverture économique et sociale lancée à la fin des années 1980.»
     -Quels arguments présente-t-il pour faire
    un tel pronostique :
    «Elle remet en cause des (1)principes fondamentaux de l’économie de marché comme l’autonomie de gestion des entreprises publiques économiques ayant le statut de société par actions (cas des banques auxquelles on interdit de pratiquer certaines formes de crédits), l’obligation de résultats (cas des EPE insolvables dissoutes que l’Etat a décidé de remettre sur selle) et la commercialité (cas de l’obligation de consommer en priorité des produits locaux sans référence au rapport qualité-prix). C’est toute la philosophie des réformes économiques(2) de 1988 qui est ainsi battue en brèche, déviant du coup le cap(3) de la transition à l’économie de marché.»
    -(1)«Principes fondamentaux»? Des lois divines immuables ? Ou les règles dictées par la pègre juive et livrées pour consommation aux goyim crédules et idiots utiles sous forme de théories utopiques emballées dans les manuels pour retardés mentaux se réclamant des sciences économiques? Ou complices sponsorisés par les dirigeants du Nouvel Ordre Mondial? Ou des renégats mercenaires de la plume, de la trempe de certains de nos journalistes qui demeurent aveugles ou ferment les yeux devant le pillage orchestré par les banques et leurs succursales industrielles, le pouvoir économique et financier occulte qui dirigent le Monde sous couvert d'organisations douteuses mobilisées pour des objectifs prétendus humanitaires, fictifs et frauduleux ?
    -(2)«Philosophie» ? Pourquoi pas dogme métaphysique préparant l'instauration de la dictature juive ? Ou doctrine religieuse prêchant la supériorité de la race juive et le droit de s'accaparer de la planète et de toutes ses richesses ?
    -(3)«déviant du coup le cap» ? Sortir du droit chemin? Celui régi par les lois Talmudiques au détriment des goyim, leur réservant le droit de souffrir en silence de l'abus et du vol de leurs biens, au profit du peuple élu pour qui la rapine du goyim est kosher (licite) ? Une version talmude du "Tarik al Mustakim" ?
    Notre "lumière éteinte" semble ignorer, ou intentionnellement occulter les méfaits de cette économie de marché, fondée sur un principe fondamental: la raison du plus fort et du plus puissant qui dicte aux faibles les règles du jeu, se réservant le privilège de les transgresser à volonté, selon ses caprices ou sa convenance personnel. Ce que nous recommande le traître est la soumission à cette tyrannie furtive et l'abandon de toute résistance ou initiative pour tenter d'éviter le traquenard que les prédateurs internationaux nous ont tendu. Soulignons pour rappel, la complicité des "réformateurs" de 1988 qui ont livré le pays aux FMI-Banque Mondiale !
    «L’immobilisme qui a déjà fait beaucoup de mal à notre économie est, par conséquent, appelé à sévir encore plus, avec pour résultats de nets reculs en matière d’investissement, de croissance industrielle et d’approvisionnement des usines et des chantiers de construction.»  
    Remarquez la technique d'ingénierie sociale, d'infusion de la crainte et d'injection de la panique, que notre scribouillard tente de transmettre au lecteur, manipulant ses émotions et omettant les arguments fiables qui l'informeraient. Vaine tentative de manipulation ! Qui dévoile la nature réelle des méthodes employées à travers ces analyses subjectives et irrationnelles vernies de "verbiage scientifique", pour s'introduire dans l'esprit du lecteur et y semer la peur et la confusion.  Consécutivement, pour le rendre émotionnellement vulnérable et apte au mécontentement, à la dissension et éventuellement à la révolte. Car il s'agit de créer le chaos social précédant l'ordre, le "Nouvel Ordre Mondial Juif" proclamé du haut des tribunes internationales par l'oligarchie qui dirige le Monde. (Lire la déclaration de D. Rockefeller,  ICI ou ICI ).
    Quelques jours plus tard (08 Août 2009),  le ministre des finances, Karim Djoudi, répondit clairement aux dénigrements de la presse indépendante et des groupes d'intérêts étrangers qui avaient exprimé leurs
    "préoccupations". (Consulter le lien).
    Ell Watan ne s'est point rétracté ou corrigé. L'intox continue. Elle abordera d'autres sujets et tentera d'autres astuces. Nous en avons dénoncée une, celle de la campagne lancée par El Watan au profit du FMI qui tentait  une ingérence  (Lien) et (Lien).
    Entre temps, la caravane passe. Et poursuivra son chemin, Incha Allah.

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  • Episode 6, et Conclusion.

    Résumé de l'œuvre du rescapé du Goulag Algérien d'El Harrach.
    La promotion médiatique et le marketing par les maisons d'édition kosher ayant artificiellement gonflé le prestige de "L'Imposture" pour des raisons évidentes, celles de
    catalyser la dissension, publier la provocation et légaliser l'arnaque commerciale. Il est clair que la brochure pamphlétaire recèle en vérité deux  phénomènes: un défoulement thérapeutique et la tentative d'initier une tempête dans un verre d'eau. Bouteflika est accusé d'être un bon officier exécutant avec intelligence les ordres de ses supérieurs et un fin diplomate qui a su tiré son épingle du jeu des intrigues qui submergeaient la scène politique et que les hauts responsables de la révolution pratiquaient chacun selon ses talents. Ce fait n'est pas une révélation, mondialement connu il devrait faire l'objet  d'étude dans les manuels d'Histoire et les cours de perfectionnement des postulants à une carrière diplomatique. Les témoignages de protagonistes de la révolution démontrent par "lapalissade "que l'approche de l'indépendance avait provoqué des manœuvres pour la prise du pouvoir". La coalition ALN-FLN, à savoir HC-GPRA, avait commencé à se fissurer et à montrer des divergences. Ce que tout le monde sait. Il est important de se rappeler que la lutte armée de l'intérieur, sur le sol algérien même, avait été la principale cause de la défaite de la France et de sa suprématie militaire. La lutte avait cédé le terrain à la diplomatie lors des préparatifs-et-des-négociations de paix. Dés lors  ont afflué d'horizons diverses, des aspirants au pouvoir, civils et militaires, sincères ou intéressés. Parmi lesquels certains (inévitablement) avaient été plantés par les services secrets français, égyptiens, russes, américains et même Israéliens. Il est naïf de penser que tous les "militants" de la cause nationale, activant  sous différente mouvance politique étaient des anges (gardiens de la révolution) auréolés de sainteté et entièrement dépourvus de vices et d'imperfections.
    C'est l'opposé des faits et de la réalité que notre rescapé du goulag veut nous faire croire, singularisant Bouteflika comme l'ange déchu parmi toutes ces créatures divines pures, qui arpentaient les coulisses des alliances, qui se constituaient ouvertement ou secrètement.  Le capitaine de l'ALN était selon l'interprétation du Druide  un être surnaturel qui contrôlait tous les hommes et les événements, au détriment des causes justes et du droit !
    Une fable agrémentée de témoignages vivants, certes souvent véridiques, mais pris hors de leur contexte et qui par leur contenu (le fond et la forme) n'apportent aucun argument convaincant supportant la théorie énoncée dans le pamphlet. Pamphlet qui demeure l'instrument d'une vengeance  fictive dont les motifs déclarés demeurent étranges et surtout injustifiés, sinon  pour les raisons obscures que j'ai exposées dans les articles précédents (épisodes 1-5).
    Rejeton d'une Algérie dépositaire de carences mais surtout de richesses  humaines et matérielles, l'imposteur Benchicou,  balayé hors des frontières, endure une répudiation politique qui l'a poussé au désespoir et à l'infamie. Mais cette lecture  élucide qu'un niveau simple, apparent mais illusoire, du motif de sa campagne: l'alibi de la vendetta.
    Un second niveau, occulte et secret, dévoile des intentions pernicieuses et perfides d'agression contre l'Algérie, par ricochet, à travers la personne de Bouteflika. L'offensive subversive, furtive, qui nous cible tous, provient du fait que "nous ne sommes pas avec eux", donc "contre eux", "les éternels  comploteurs" qui nous rangent parmi les "forces du  Mal". Ce constat objectif devrait suffire à éveiller toute notre attention et nous prémunir du simulacre des campagnes  médiatiques dont la nature apparente (humanitaire, démocratique, etc..) dissimule le caractère  réel, qui est la subversion de l'État, comme préambule au chaos et au désordre. Le désordre, à l'image de celui orchestré pendant les années 90, est le milieu naturel dans lequel évoluent les prédateurs du sionisme-talmudisme, et leurs réseaux d'idiots utiles, vrais chevaux de Troie. 
    Lisez "l'imposture" dans vos moments perdus, armés de la certitude qu'il s'agit d'une tromperie commerciale et le paravent d'une tentative d'ingérence ennemie dans le pays. La publicité mensongère et la promotion tapageuse qui ont accompagné sa publication est la preuve de sa nocivité.Ceux qui s'imaginent que  la maffia  sioniste du livre verse dans l'amour de l'humanité et des droits de l'homme, sont malheureusement et tristement des naïfs, sous anesthésie générale ou dans un état comateux. 
    Grâce au Tout Puissant, l'Algérie alerte et vigilante, sait reconnaître ses amis et mater ses ennemis, d'hier et d'aujourd'hui.
    La lumière jaillit de la discussion et du dialogue, source d'unité et de concorde. La polémique et l'injure, véhiculées par les  maîtres de  l'intox,  sert    intentionnellement  à diviser et  à alimenter les conflits. 
    L'illusion que les maîtres de la discorde entretiennent (selon le manuel  pratique pour l'asservissement de l'humanité, "Les Protocoles de Sion") consiste à recruter autant de militants possible (idiots utiles) dans leurs circuits de défense des utopies et idéologies  encensées d'abstractions et d'idéalisme humanistes. Dans le monde réel, leurs méfaits planétaires sont en contradiction flagrante et permanente avec les idées qu'ils propagent. C'est le propre et la vraie nature des membres ce culte satanique talmudien. 

    Benchicou  a été façonné, depuis toujours, pour exclusivement remplir cette mission de leurre humanitaire et s'acquitter de sa besogne de désorientation de l'opinion. Son rôle  de militant de la démocratie sert d'alibi et d'habit à sa vocation d'agent opérationnel des média sionistes-talmudiens.
    Peut-on croire le Message, lorsque le Messager est un roublard et revanchard suspect ?
                                                                                          
    Episode 6, et FIN.

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  • Episode 5


    «Militaire dans sa tête--société civile qu’il méprisait--avec son souverain dédain--ambitionnait de ne partager le pouvoir avec personne--l’homme lige--agent détonateur...»
    (pratique de l'insulte que notre survivant du Goulag Harrachien maîtrise et élève au rang d'art oratoire).
    --------------------------------------------------
    En introduction donc, l'élève historien débite sans interruption son flot d'infamies, lance une attaque armée surprise, juge et condamne par contumace le président, et tente de nous arnaquer en nous extorquant quelques Euros pour ses ragots de commère, que les agences d'édition kosher qui le parrainent se promettaient d'en faire un bestseller.

    Entre temps les stratèges de la dissension se  renversent sur le dos, raillant les goyim qui se soumettent si bêtement à leur plans machiavéliques.
    Le prologue est un levé de rideau sur la scène de ce théâtre où apparaît le druide, rassasié de ses rancunes, aigreur et amertume , qui s'engage dans un monologue d'ivrogne rongé par la haine et dans un état d'exaltation.
    Mépris du lecteur invité à un débat historique, dont la médiocrité du langage et le niveau de réflexion, sont une insulte à son intelligence. Les sources qu'il sollicite pour appuyer ses thèses nous éclairent sans cesse sur ses desseins inavoués et sur ses associations douteuses, à l'image de la fraude Benbitour ou des Professors-Doctors et témoins gaga de l'Histoire,  "écrans de fumée" (articles précédents de ce blog) qui majoritairement professent leur allégeance aux ONG, idéologies et dogmes du Nouvel Ordre mondial ( juif).
    Les mensonge publiés par la presse libre au service d'intérêts occultes, qui se fondent sur l'opinion "d'expert", est dans 90% des cas, l'outil d'une technique classique de manipulation de l'opinion. L'ingénierie sociale  par la déception est la phase intermédiaire de la stratégie permettant le contrôle d'une nation et diriger les changements sociaux et les tendances politiques.Les armées de mercenaires de la laïcité-acculturation-tolérance-égalité-liberté-fraternité, la nébuleuse média-ONG-Franc maçonnerie, sont les ennemis de cette nation.Ceux qui ne perçoivent pas ce danger risquent de sortir de leur torpeur et découvrir l'état de déchéance dans lequel le NWO tente aujourd'hui de les conduire: l'esclavage au service du judaïsme talmudique et de son règne satanique.   
    L'imposteur, notre Druide, cite deux témoins à charge: 
    -l’avocat Ali-Yahia Abdenour(*), président de la Ligue   algérienne de défense des droits de l’Homme.
    -Elisabeth Schemla(**) (A qui Bouteflika fait des "aveux"(sic)).
      Selon elle: « Je voulais être en effet le candidat de l’Armée. Uniquement de l’Armée. Je ne voulais avoir de fil à la patte ni avec la société civile ni avec la mouvance islamiste. En tant que candidat de l’Armée, je me présentais en réconciliateur. »
    ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
     (*) Ali-Yahia Abdenour,
    (wikipedia)«Ali Yahia Abdennour est le Président de la Ligue Algérienne de Défense des Droits de l’Homme (LADDH) dont il est l'un des membres fondateurs avec Saïd Saadi et Arezki Ait Larbi. Il a été très actif dans le milieu nationaliste algérien à l'époque de l'Algérie française et dans le milieu Berbériste plus tard. Ali Yahia Abdennour est notamment connu pour s'être opposé à l'interruption du processus électoral de 1991 et pour avoir défendu certains des dirigeants du FIS
    La LADDH (Lien) présente son programme politique en guise de "manuel du militant".Un vrai manuel de l'agent subversif ! Des principes égalitaires qui font rêver.Pourquoi ne pas créer un parti et militer pour ses idées.La force des arguments devrait convaincre le peuple et déclencher des changements. La loi le permet, avec réticence parfois, mais en gardant la porte ouverte au dialogue, duquel jaillit la lumière.
    Pas question  ! Car celà priverait le mouvement de son ancrage international, le "parapluie nucléaire" des ONG, le bras de l'ingérence extérieure. 
    Repère Historique:Après l'indépendance, en 1963, Ali-Yahia rejoint les maquis de TiziOuzou, sous la tutelle du FFS (Front Des Forces Socialistes)
    et les ordres de Dal'Hocine.L'incitation à la  guerre civile est son premier fait d'arme glorieux, il y dévoile son caractère extrémiste et irresponsable, celui du sectarisme-régionalisme. Opportunisme et conjoncture aidant, il se recycle sans complexes dans le gouvernement, Ben-Bella puis Boumédienne.
    Son humanisme cohabitant sans heurt avec le dogme socialiste-communiste, il embarque dans l'aventure révolutionnaire.
    Temporisation ou repenti ?
    Jusqu'à là notre avocat se nourrit de la main du "système".Main qu'il va mordre, avec sa passion naissante pour les droits de l'homme, toujours au moment propice, à savoir lorsque Chadli, politiquement plus clément, offre le flanc pour le forcing "humanitaire".Calculateur ?
    La chasse en bande, technique des hyènes, est lancée contre le "système" et le harcèlement commence.Y prennent part les prédateurs de l'ombre, les ONG internationales, le soutien médiatique sioniste-juif.La LADDH obtient son agrément par arrêté du ministre de l'intérieur du 26 juillet 1989 bien que sa création remonte à 1985. La "Déclaration des droits de l'homme de 1789", définit les canons chimériques de la religion, du dogme et du rituel mondialiste,  pour lesquels tous les moyens sont mobilisés pour "simuler" leur défense ."Simulation de défense" justifiant toutes les agression (réelles), que Kissinger et Brejzinsky ont si ingénieusement conçu pour l'avènement de la "démocratie mondiale" de ce 3em millénaire. Notre gratitude allant à Rothschild de Frankfurt, pour avoir fomenté la Révolution Française et nous avoir légué la charte (de subversion sociale) qui depuis ce jour a fait régner la paix virtuelle et la justice imaginaire sur les 5 continents. 
    Abdenour agit en concert avec ses complices tapis dans les coulisses, et qui le soutiennent secrétement ou ouvertement
    "Hamrouche, Sid Ahmed Ghozali, Mokdad Sifi, Ahmed Benbitour, d’anciens ministres, Abdelaziz Rehabi et Saïd Bendakir. Il y avait également Abdelhamid Mehri, Mohamed Saïd", en un mot quelque membres de la "nébuleuse", adepte du culte universel judéo maçonnique, NOM. Le pouvoir de l'ombre, que les Média indépendants associent maintenant à leur combat pour la démon-crassie, et qui viennent le féliciter lorsqu'on lui attribue le Prix Alkarama pour "services rendus".« Il a été honoré dans le monde entier, aux USA, au Mexique, en France, en Suisse, à Londres sauf en Algérie », s’est indigné M. Bouchachi, l'idiot utile de service qui le remplace à la LADDH.
    Abdenour lors de la remise du prix alKarama, à Genève, aire même message
    rabâché par les adeptes du laïcisme version ONU, et attaque contre Bouteflika.
    Après rappel des principes "religieux" du culte du Nouvel Ordre Mondial, 
    la tolérance sélective et la justice "élastique" (pratiquée par ses parrains onusiens depuis 1945) il déclare:
    « 8- La liberté religieuse.
     Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion. Ce droit implique la liberté d’avoir une religion ou n’importe quelle conviction de son choix, ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction, individuellement ou en commun, tant en public qu’en privé, par le culte et l’accomplissement des rites, les pratiques et l’enseignement. » 
    Un peu orthodoxe sa définition de la tolérance. Au vu de son âge, il doit apparaître un peu "vieux jeu". Ses amis des ONG internationales, à Genève, n'ont sans doute pas apprécié son omission des droits des homosexuels (gays), et leurs "droits conjugaux". Un vide   que son successeur à la LADDH Bouchachi, entreprendra de combler, étant lui signataire  du "manifeste des libertés" qui préconise une liberté indivisible et la reconnaissance des droits de ces créatures hybrides désaxées, victimes de leur dépravation bestiale .
    Plus loin, il détourne l'attention de son auditoire loin de l'Algérie, en défendant la construction de mosquées en Suisse ! Humoresque !
    Clin d'œil à Abbassi Madani ?
    Il ne dénonce pas l'offensive des Églises Protestantes US (d'obédience sioniste-chrétienne) qui à coup de $ milliards  agressent les musulmans en Algérie, corrompant les nécessiteux et marchandant l'âme des ignorants intéressés.
    Il vilipende les forces de sécurité:«12- La charte pour la paix et la réconciliation nationale:
    La réconciliation nationale qui devait être un grand projet politique a été réduite à sa dimension sécuritaire. Elle vise à disculper, à innocenter et à consacrer l’impunité des agents de l’Etat : les militaires, les gendarmes, les policiers, de tous grades, car au regard des faits et en termes de droit, rien ne s’oppose à leur comparution devant la justice, pour violations massives des droits de l’homme et crimes contre l’humanité.»«La paix sans la vérité et la justice n’est qu’impunité, qui est un déni de justice.
    »  
    Et simultanément défend les revendications qui ravivent les plaies  :
    «11- Les disparitions forcées: Que sont devenus les disparus ? Telle est la véritable question ! Des morts sans sépulture ou des vivants sans existence ? Leurs familles lancent un cri d’alarme et un appel pressant au pouvoir : « Qu’avez-vous faits des disparus. Vous les avez pris vivants, rendez les nous vivants ! » Démagogie !
    Il s'insurge contre les violations des droits et les crimes contre l'humanité en Algérie, qu'il impute à l'état.(sic)
    Récupération de l'islamisme armé ? 
    Ou une répétition du "qui tue qui " ?
    Il rappel du bout des lèvres les atrocités dans le monde.Une lapalissade que les écoliers connectés à l'internet récitent par cœur.
    Décevant, ce couronnement , qui se résume à la sanctification d'un militant qui dans l'habit de président de la LADDH persiste aveuglément dans son langage diviseur et incitateur de conflit, perché sur une tribune étrangère connue pour sa justice sélective.
    Les "rétributions et les honneurs": la fibre sensible que les sages de Sion savent si bien faire vibrer dans l'âme de leurs esclaves.
    "..un film documentaire retraçant le parcours du militant, depuis son adhésion au PPA-MTLD, vers la fin des années 1930 a été projeté. Le film réalisé par la fondation Alkarama, basée à Genève"(cité par le cheval de Troie Rothschildien, El Watan, 1er février 2010 ).
    Longue Carrière politique et une vie pleine, mais certainement pas couronnée du mérite de servir l'Algérie.Les bonnes intentions, si il y en a, ne sont pas gage de justesse et de bon sens. Sa complicité active tacite avec les ONG, l'adhésion (consciente, n'en appréhendant pas les dessous) au culte laïque, à l'acculturation (contredisant son régionalisme), et aux dogmes ONG,  en font un bon serviteur du NOM.
    Quel gâchis ! Une fin de carrière triste pour ce militant de la cause nationale, qui s'était surtout fait remarquer pour sa ferveur communiste au service des syndicats ouvriers! Clairement, son témoignage, ses jugements personnels et ses vues partisanes sur Bouteflika ne peuvent servir la thèse défendue dans le pamphlet-brochure de notre imposteur-druide. 
    "Comment sacraliser le  messager, si le message  est un mensonge ?"

    ---------------------------------------------------------------------------------------
    (**)(Elisabeth Schemla,Mon journal d’Algérie, novembre 1999)
    Elisabeth Schemla. Vous reconnaîtrez immédiatement le patronyme juif  nord africain.Soyons cependant tolérants et faisons fi de l'association qu'on lui prêterait naturellement avec ses coreligionnaires, les éternels conspirateurs.
    Google nous offrent 81000 résultats ce qui est bon signe, car disponibilité de données suffisantes pour une appréciation de  ce monstre de la presse.A propos de monstre, y en aurait-il un seul, "goy" ?

     
    -(wikipedia)"née à Alger, est une journaliste et écrivain française spécialiste du Moyen-Orient."
    -"elle quitte L'Express et entre au Nouvel Observateur où elle restera près de vingt ans, grand reporter puis rédactrice en chef"."Très sensible à la cause des femmes"."le sida ou les débats sur le voile"."Très sensible également aux questions de l'antisémitisme et de la Shoah".
     

    Mes appréhensions ressurgissent. Remise de la tolérance au tiroir et  réveil de l'esprit en alerte .
    "Elle se définit comme une « républicaine, laïque, citoyenne attachée aux valeurs humanistes»"
    (raison pour laquelle notre Druide s'en ait  épris).
    Le profilage commence à nous dessiner un CV, d'où les associations, les organes, la ligne de rédaction, l'idéologie, la mission.
    Nous continuons, un autre lien,"fondatrice du journal en ligne Proche-orient.info. Elle est considérée comme étant une spécialiste du conflit israélo-palestinien."
    -Allons directement voir et écouter notre journaliste chez elle, à la source de la perfidie.
    -Hélas !Site fermé pour pénurie de mensonges.
    Puis,  un article:(Lien).
    Extrait de son apologie du Sionisme et son offensive islamophobe raciste: «Toutefois, la critique d’Israël se déploie au nom de l’anti-sionisme. Or, c’est une chose de combattre une politique d’annexion territoriale ou de séparation, mais c’en est une autre de dénoncer comme coupable l’essence même du pays qui la mène. Le sionisme étant un mouvement de libération nationale qui a en partie abouti, se déclarer anti sioniste aujourd’hui revient en effet à se prononcer contre l’existence de l’État qui en est le fruit.La critique d’Israël mêlée à l’anti-sionisme est un mélange propre à la rhétorique de l’antisémitisme arabo-musulman. Cette rhétorique se développe en France sous l’impulsion du Conseil français du culte musulman, un groupe qui veut « islamiser la France » et développer le communautarisme, ce que la République ne doit pas laisser faire.»
    Avocat d'Israël, pleine de complaisance envers le sionisme, ennemi acharné des militants (Dieudonné et ses alliés) qui combattent l'autocratie-dictature juive en France colonisée, islamophobe et raciste anti arabe.
    Résumé: Agent traditionnel de l'éternel prédateur judéo-talmudique: islamophobe, raciste, sioniste.Indigne de confiance, tout court.
    "Une louve affublée d'une toison d'agneau".
    Beaucoup d'attention pour l'Algérie (comme beaucoup de ses coreligionnaires), "par amour" du pays, ou comme chez les loups, garder le coin de l'œil sur la bergerie.Elle y cible les voix contestataires qui remuent l'opinion, et accroient les divisions.Elle accroche à son tableau de chasse Khalida Messaoudi dans "Une Algérienne debout", qu'elle exploite adroitement par des questions orientées et la pousse dans le gouffre du blasphème et des opinions excessifs.  Erreurs de jeunesse que la passion, et la sincérité, provoquent souvent. Aventure médiatique malheureuse. Que la ministre actuelle regrette après avoir découvert sa maladresse, abusée par cette spécialiste de "l'interrogatoire" politique. Quel meilleur exemple de réconciliation agissante que sa participation à la reconstruction de l'Algérie, et de grandeur d'âme chez l'homme qui lui a tendu une main fraternelle et présenté les arguments qui l'ont convaincue de la justesse du cri de ralliement:"Algérie avant tout".
    Depuis lors, Khalida Messaoudi désavouée par ses anciens associés,  endure des accusations  imprononçables qui pleuvent des cercles des "droits de l'homme" dont elle était une figure de proue.
    Consultez le lien, pour un résumé des positions "humanistes" du monstre médiatique Schemla, ce Frankeinstein de la presse juive en France colonisée.
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    Conclusion : A travers ses témoignages, Benchicou manipule ses justifications tout au long de son invective citant les opinions de "célébrités" et les libellant "preuves judiciaires" dans son réquisitoire, une défaillance méthodologique impardonnable. Tentative d'arnaque commerciale et fraude littéraire.

    De manière cynique il poursuit sa croisade  tout azimut contre Bouteflika et l'Algérie par tous les moyens et avec les complicités de toujours. Neutralisé par l'interdiction de son quotidien en Algérie, il vit en France et poursuit son œuvre de subversion, prétextant un combat pour la démocratie. Ses alliances le culpabilisent car couvrant l'éventail des ennemis de l'Algérie, visibles ou occultes, conjuguant leurs efforts pour uniquement lui nuire. Ils sont regroupés sous la tutelle d'organismes internationaux, principalement ONG qui cherchent des prétextes justifiant une ingérence, et les réseaux médiatiques majoritairement juifs et sionistes qui inondent l'opinion de mythes, propagande et perversion de la vérité.Technique de harassement, conditionnement par 
    le refrain du mensonge et de la calomie.Synchronisé sur leur longueur d'onde , "Matin.com" est devenu la plate forme de toutes les aigreurs et amertumes des traîtres à leur patrie, d'agents dociles au service des  maîtres judéo-talmudiens. Ils ont perdu espoir de toute reconnaissance populaire et sombrent dans le dépit et le regret des mauvais choix, pendant que.....
    ...... la caravane passe !
    Le sionisme du MAK ("pas-m'henni"), et les transfuges de notre presse que les média sionistes récupèrent, sont des mésaventures humaines dont l'Histoire de l'Algérie fera abstraction.La démocratie en Algérie, le développement social et économique, se construisent selon un modèle local en concordance avec nos valeurs, et non celui qu'on nous imposerait par le biais de canaux internationaux, ONG et leurs mercenaires. Tous complices des injustices permanentes et des crimes qui affligent l'humanité. Géré par "l'éternel conspirateur", le Nouveau Désordre Planétaire est une déception à grand  échelle, servant uniquement les intérêts des sages de Sion .
    Référons plutôt  aux militants et patriotes, qui exposent les ONG et leur rôle d'ingénierie sociale aux mains du talmudisme-judaïsme. Dans tous les pays , ils se mobilisent et luttent  pour divulguer la vérité et dénoncer les plans occultes de cette dictature planétaire.
    Benchicou et ses complices, les ONG et la presse prétendue indépendante, n'abordent jamais ce péril, parce qu'ils sont  ses chevaux de Troie.
    La démocratie, les libertés, les droits, Bouteflika, ne sont que des prétextes !

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  • Episode4


    "L'imposture" selon Benchicou.

    D'emblée entrons dans le vif du sujet et notons les épithètes que le Druide Benchicou dédie à son héro, Bouteflika:

    ------------------------------------------------------------------------------

    «dictature à la sud-américaine--Cupidité, soif maladive du pouvoir-- abus sexuels--tyrans--l’homme n’a inspiré aucun auteur---butiné dans le champ politique algérien--science de l’intrigue--ruse bien algérienne--par laquelle nous avons collectionné nos grandes infortunes nationales--l’enfant adultérin d’un système grabataire et d’une démocratie violée--L'imposture--carrière sans relief--une figurine--fabriqué la gloire--auxiliaire militaire--autodidacte inaccompli--maquisard occasionnel--noceur avéré--dignitaire--diviseur--revanchard narcissique--vie si falsifiée--président défaillant et sans envergure--intrigant--coupé de son époque--inapte à l’écoute--dépassé par ses charges--L’homme n’était pas préparé--plus qu’une imposture--une page du désespoir algérien--fatuité de ses créatures--terrible aveu d’impuissance--inauthenticité--accumulation de basses vanités»
    -----------------------------------------------------------------------------
     Ouf ! Un entracte s'impose pour nous donner le temps de digérer l'invective. Notez que nous avons franchi que 3 pages du "prologue".
    L'auteur, "l'œil étincelant et cynique, la lèvre tordue par le quolibet et l'invective" nous prévient:
    ---------------------------------------------------------------------------
    «Ce livre serait plutôt une chronique d’un temps perdu».
    ---------------------------------------------------------------------------
    Le temps perdu par l'auteur ? Nous prendrons le risque de
    gaspiller le notre, mais retenons notre souffle, car la suite nous réserve des surprises.
    ----------------------------------------------------------------------------
    «Ce livre n’est cependant pas un portrait à charge(sic)»
    --------------------------------------------------
    La vierge se rebiffe, après cette débauche de grossièretés, elle nous fait le sermon de sa pureté et de sa continence au service de la divinité-vérité.
    Simultanément le texte dévoile une chose, le caractère et l'état d'âme de l'auteur, violent, impulsif, haineux et revanchard.
    Coupable, probablement de tous les pêchés capitaux, l'auteur nous 
    surprend et soulève quelques doutes sur l'objectivité de ses écrits.
    Ne dit-on pas que la colère aveugle ?
    Ou serait-ce l'occasion d'effectuer un diagnostique de son psychisme, ce qui est du ressort de la psychiatrie clinique qui n'est pas de mes compétences. Y aurait-il un psychologue aux alentours ?
    ---------------------------------------------------
    «Parce qu’il se situe dans ce débat, bouillonnant, sur la nature du système et sur l’urgence d’en finir, ce livre s’interdit toute prétention à l’opinion définitive.»(sic)
    ---------------------------------------------------------------
    Soulignons la modestie du scribe gêné par sa pudeur, à devoir aborder ce sujet tabou, presque "osé".
    ------------------------------------------------------------------
    «Il n’est qu’un regard, parmi d’autres, sur nos impasses. Il attend d’être complété, contredit ou appuyé par d'autres enquêtes sur cette inauthenticité qu’on se plaît à nous infliger.»
    ----------------------------------------------------
    Merci Sainte Marie, d'avoir lever votre voile et nous faire l'honneur
    de découvrir vos yeux bleus. Ils reflètent les secrets de ce monde que seul votre vision prophétique peut appréhender.
      D'autre part si tous les attributs collés à Bouteflika non toujours pas circonscrit sa nature réelle, il est évident que nous avons affaire à une créature monstrueuse extra terrestre , légendaire, mythique, dont le corps est composé d'éléments disparates empruntés à différents êtres réels, et qui est remarquable par la terreur qu'elle inspire. Les Centaures, la Chimère, le Minotaure, les Cyclopes étaient des monstres. Bouteflika serait-il un Galigula-Néron réunis ?
    Impatients nous le supplions: qui est donc Bouteflika ? 

    Benchicou nous le dira plus loin, mais avant écoutant le juge et bourreau faire son auto critique, pour ne pas dire autodafé.
    ------------------------------------------------------ 
    «Ce livre peut paraître inachevé. Il l’est sans doute : l’impératif de le boucler avant l’échéance de l’élection présidentielle de 2004 a relégué au secondaire un surcroît d’élaboration dans l’écriture ainsi que des compléments de recherche qui auraient aboli certaines imprécisions»
    «Ce livre peut paraître partial, ce n’en était pas l’objectif. Ses adversaires parlent plus volontiers de Bouteflika que de ses alliés.Il peut sembler inclément envers l’homme, et il l’est
    souvent. Sciemment.»
    «Je n’ai ressenti aucun devoir d’indulgence à l’endroit d’un personnage qui s’est plu à ce point dans la parodie du pouvoir qu’il en a obligé une nation à abdiquer entre ses mains une dignité pourtant acquise dans le sang.»
    «L’ambition de Bouteflika — accumulation de basses vanités — ne se situe pas très haut dans l’échelle des exigences humaines.»

    ---------------------------------------------------------
    Retournons à l'ignominie que le journaliste distille tout au long de son factum, nous faisant découvrir "Mr Hide et Dr Jekkil"

    alias Bouteflika:
    ------------------------------------------------------
    «Aigri--capricieux--égocentrique---érigé la vengeance en style de gestion--l’encensement en système politique--son tempérament en mode de gouvernance--L’Algérie, sous sa direction, aura constamment frôlé le pire--la marotte--jaser les marionnettistes---activant islamisme--fragilisant le pays par d’infinies flagorneries--brimé le résistant et réhabilité l’assassin--Méditer Bouteflika est vital pour les ultimes diagnostics de nos illusions»
    -------------------------------------------------------
    Fin du prologue(3 pages), le reste du livre (224 pages) nous réserve des surprises. Ma sympathie allant à ceux qui auraient payé pour ce livre après la promotion qu'il a reçu espérant découvrir un Soljenistin algérien rescapé du goulag d'El Harrach, mais se sont sentis dupés par les éditeurs.
    Lien ici pour qui souhaiterait le télécharger et économisez la somme due pour vous acheter en échange des gants aseptiques 

    (par prudence, suivant les recommandations OMS).
    Quand à ce que nous concocte le journaliste, concentrons nous sur la lecture, la personne à travers ses pouvoirs de divination et dons d'astrologue, nous livrent en exclusivité les mystères du passé, du présent et bien sur du futur, mettant en scène son héro.
    --------------------------------------------------------
    «Le civil:Jeudi 15 avril 1999, 14 h.
    Abdelaziz Bouteflika pique une grosse colère.»

    --------------------------------------------------------
    Prière d'accéder à "l'épisode 1" (lien), pour un aperçu des pouvoirs occultes du Druide Benchicou, celà épicera votre périple au côté de l'apprenti écrivain-historien. Pardon,
    devrais dire "sur les pas du Maître" .
    ---------------------------------------------------------
    «fulminant de rage--son gros chagrin--poulain Bouteflika--
    Quitte à faire truquer, autant truquer complètement
    pour ma petite personne, semblait dire Bouteflika--
    l’acolyte de la hiérarchie militaire-le président
    traîne toutefois un douloureux malaise du « mal-élu»--
    Bouteflika est un faux civil--Une créature du pouvoir militaire--monarque galonné--un auxiliaire militaire soigneusement camouflé sous une apparence civile--Cette nature bicéphale--Bouteflika cumulait dans une même performance les tares du militaire et du civil--Il a oublié d’avoir du militaire,n’en ayant pas accompli les sujétions, le sens de la subordination aux devoirs majeurs, une certaine grandeur dans l'humilité et l’attachement à la discipline. Il a soigneusement hérité du reste:l’arrogance--le mépris--la tentation totalitaire--le penchant monarchiste--et le goût des règlements de comptes--s’octroyer par la force un pouvoir absolu--en bon putschiste de carrière--asseoir un pouvoir personnel--changer la Constitution».
    (*)
    -----------------------------------------------------
    (*) Où est l'intrigue que le Druide observe dans sa boule de cristal? Bouteflika avait déclaré souhaiter changer la constitution,

    pas pour les raisons que lui prête notre Druide, mais pour réparer la confusion qui y régnait, en particulier dans la dichotomie des responsabilités "président--premier ministre".
    Chacun présentant un programme et se rejetant le tort de toute panne dans son application. Bouteflika propose de faire endosser aux candidats à la présidence un programme, pas des promesses démagogiques, héritant des responsabilités les obligeant à établir un bilan comptable de leur mandat à présenter aux électeurs, et au peuple en général. Ce qu'on nomme: démocratie responsable.
    A ce propos, demandons des comptes à Bouteflika, ou tout autre président, et exigeons de lui des chiffres, à savoir le taux de réalisation des programmes économiques, financiers, sociaux, et même politiques. C'est d'autre part créer une tradition qui se diffusera jusqu'aux niveaux inférieurs de la hiérarchie gouvernementale et des administrations locales. Le pouvoir de l'ombre n'en veut pas, car lui est l'antinomie de la démocratie,  il actionne ses réseaux qui, par le biais des Benchicou feignent d'être les victimes de despotisme et d'abus, jetant le tort sur l'initiateur sincère du changement démocratique.
    Et la technique d'ingénierie sociale est déclenchée sous forme de répétition du mensonge, jusqu'à ce qu'il devienne une vérité "admise"(conditionnement pavlovien).
    A force de répéter que les "choses ne marchent pas bien", la rumeur et le "téléphone arabe" aidant, finissent par prendre possession de l'opinion et le malaise fictif est inévitablement perçu comme étant réel.
    C'est dans ce cadre, que la presse "indépendante" est modulée et affinée pour propager, quotidiennement, l'intox sur  la "mal vie", l'insécurité, les scandales financiers.Ne manquant jamais d'associer Bouteflika à toutes les incriminations et supputations, parce qu'il est le trouble fête de l'ordre qui dominait jusqu'à 1999 !
    Les amendements à la constitution dérangent ceux nageant en eau trouble , car ce n'est pas le genre de terrain que le (vrai) pouvoir de l'ombre, (déchu après l'élection de 1999) affectionne, il dérange sa gestion politique antérieure opaque, de leurres et d'utopies , des discours creux des "réformateurs", ou des "industries industrialisantes", ou des "révolutions de parti unique" !
    L'armée n'est
    pas ciblée uniquement pour ses carences, car il vrai qu'elle en possède, mais pour son succès dans la défense de l'État lorsque le pays se dirigeait vers le chaos et l'anarchie.
    Anarchie à laquelle Notre Druide et ses acolytes de la presse "libre", avaient contribué par leur verbe acerbe et provocateur, dans leur rôle de catalyseur, de "réaction" qui envenime les conflits et les divisions.
    --------------------------------------------------------
    «Ahmed Benbitour(**), qui fut, en tant que Chef de gouvernement, victime de ces velléités autocratiques du président, est sans nuance dans son jugement : « Nous vivons sous un totalitarisme d'une autre ère, s'appuyant sur le culte de la personnalité, le mépris du peuple et la profanation permanente de la Constitution et de ses institutions. »
    ---------------------------------------------------------
    (**)L'employé-agent des FMI-Banque Mondiale ! L'homme qui  reçoit les gratifications du Nouvel Ordre Mondial (Google, pour découvrir les fréquentations du cheval de Troie Rothschildien). Armé de son PhD, qu'il brandit comme une bombe lacrymogène aveuglant l'opinion, il a tenté de duper puis de doubler Bouteflika en abusant de ses prérogatives. Sur le plan de la politique économique et financière, qu'il enrobe d'abstractions et de terminologie keynésienne ou monétariste, il a annoncé ses priorités:
    -relance de l'économie par la "dépense publique"= lire la   dilapidation des ressources, dans les circuits de l'administration et des groupes d'intérêts.
    -"investissement par l'emprunt"= lire "dette extérieure". La dette que ses employeurs du FMI confectionnent pour la consommation des esclaves  qui pataugent dans la fosse des crédits, prêts et "aides" financières internationales.
    Bouteflika économe et perspicace, et surtout soucieux de nous libérer de l'hégémonie des banquiers kosher, découvre vite les manœuvres subversives et se débarrasse du félon.
    A propos de la dette, Bouteflika : «Jamais, plus jamais !».
    C'est la source de toutes les discordes et la raison de l'offensive médiatique acharnée contre lui! Organisée et coordonnée par l'éternel conspirateur, la dictature des banquiers juifs qui contrôlent le Monde. Le menu fretin, qui s'agite et s'exhibe sur le plateau de la scène médiatique , Benchicou et la perfide nébuleuse presse-ONG, ne sont que des exécutants de basse besogne, les décideurs eux sont tapis dans leurs officines de New York, Paris ou Londres !
    --------------------------------------------------------------------------
    Avertissement:Quiconque verrait en ces analyses, de la fiction, le fruit de l'imagination ou l'expression de délire, est excusé et  gentillement prié d'économiser son temps, et retourner à sa digestion de l'intox servie par les média "d'opposition", le web en est convenablement submergé.Merci.
    ---------------------------------------------------------------------------
    "Opposition" dont tous les acteurs , je dis bien tous, jouissent de liens étroits et intimes avec la pléiade d'agents juifs-sionistes-talmudiens, à New York, Paris, Londres, Genève, Rome. C'est le cartel des David et Cohen  qui les entretient, les rétribue, et sponsorise leurs "œuvres" littéraires, à l'image de cette brochure satirique dégoulinante de lâcheté, bassesse et couardise que Bentchikovsky tente de nous faire avaler.

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