• En introduction, un article d'Ellen Brown, August 17th, 2009 (www.webofdebt.com/), nous aidera à pénétrer dans le vif du sujet, car il aborde parfaitement la problématique du rôle dévastateur des banques sur toute économie subissant la pression de leur pouvoir coercitif de domination et de contrôle. Les banques centrales en particulier, disposent de prérogatives déléguées par les institutions politiques dirigeantes( sénat, assemblée, gouvernement). Ces autorités, par ignorance ou connivence, ont transféré aux banques privées  (Federal Reserve System aux USA) la fonction de création de la monnaie,  la fameuse "planche à billets". Le système financier du monde capitaliste occidental, pays après pays, est en fait contrôlé, exploité, drainé de son sang et  frustré du fruit de son labeur par les banques "centrales". Ces vampires insatiables qui, derrière le subterfuge de "nationale", "federal", "centrale",  sont toutes privées et monopolisées par quelques familles transnationales, à leur tête les Rothschild . Au grand étonnement peut être de la grande majorité des citoyens du "monde libre", qui découvrent ce paradoxe, la vérité est que les banquiers juifs sionistes dissimulent du grand public, avec la complicité des média et des autorités de l'éducation, des historiens "officiels" cette réalité. Cette fraude a fini par être mondialement dévoilée, et ses implications analysées et vulgarisées,  avec l'avènement de la toile, l'internet qui a permis à tant de chercheurs et d'économistes de publier leurs travaux, souvent encyclopédiques sur le paradigme du cartel privé des banques. Les organismes "administratifs", le Fond Monétaire International, la Banque of International Settlements, la Banque Mondiale, qui coordonnent les travaux et les activités communes, et régularisent les relations et les échanges entre les banques nationales à l'échelle planétaire, ont été conçus et fonctionnent selon les mêmes attributs que les entreprises commerciales. L'usurerie, pure et dure, dépouillée de toute considération humanitaire, sentimentale ou émotionnelle, est l'arme du pillage des nations et le meilleur agent destructeur des peuples, qui ouvre la voie vers la ruine et l'endettement. Endettement brandie comme moyen de chantage et de "saisie par huissier"de l'indépendance des états qui s'exposent au diktat impitoyable des banques. Dans ce contexte de l'endettement, les banques, à leur tête le FMI ("l'huissier"), prennent les rênes de la gouvernance et dictent les mesures économiques, financières, sociales, budgétaires, et imposent les changements politiques touchant toutes les centres d'intérêt administrés par les représentants du peuple. 
    La corruption et la complicité des gouvernants est une autre facette de ce phénomène complexe de pillage des nations et la littérature en fourni des études détaillées. La nébuleuse internationale dirigée par le tyran Rothschild est la source de tous les maux majeurs de l'humanité et des malheurs endurés par les peuples, à travers les ravages des crises économiques , des guerres régionales géographiquement limitées dans l'espace ou celles déclenchées à l'échelle mondiale.
    Heureux ceux qui parviennent à s'extirper des serres des banquiers-rapaces, et malheur à ceux qui prêtent leur flanc à leurs manigances. L'Histoire est riche d'exemples de nations ayant succombé à la voracité des prédateurs financiers, les  "shylock" qui depuis Venise du 15em-siècle ont tendu cet immense filet comme traquenard aux tentations financières des nations et des peuples qui optent pour ce mode de financement, usurier, de leur développement, mais s'enlisent dans le marécage de la dette.
    Dernièrement, la crise financière, crise du crédit, a mis à nu les dangers que les nations encourent une fois attelées au système fondé essentiellement sur l'usurerie bancaire. L'Islande, la Lettonie, la Grèce, l'Irlande, et sur leurs traces le Portugal, l'Espagne, l'Italie s'acheminent vers la catastrophe. Les autres grandes puissances économiques, ont depuis 2008
    enjambé la spirale meurtrière du chômage et de la récession économique. Quelques soient les explications apportées aux causes du crash (les multiples "bulles") le doigt dénonciateur n'est jamais pointé vers la cause principale: l'usurerie chère aux maîtres de l'intrigue, les éternels Shylock, les banquiers juifs, tirant toujours leur épingle du jeu et les marrons du feu.
    Une exception majeure semble être exemplifiée par le cas de la Chine. Comment et pourquoi ?
    L'article d'Ellen Brown, (www.webofdebt.com/), semble élucidé cette "énigme financière ", si le terme est exact, dont extrait ci-dessus :
      
    «Tandis que les États-Unis dépensent des trillions des dollars pour amortir l'impact des revers de son système bancaire, laissant son économie languir, la Chine est elle qualifiée « d'économie miracle » qui s'est distancée du reste du monde. Pendant que le reste du monde descend dans la pire récession depuis les années 30, la Chine a elle maintenu un taux de croissance annuel phénoménal de 8%. Tels sont les rapports, mais les commentateurs sont mitigés. Ils se demandent comment une telle croissance demeure possible, quand d'autres pays orientés fortement vers l'exportation ont souffert des réductions importantes, et stagnent dans le marasme .»
    «L'économiste Richard Wolff observe avec scepticisme :
    Nous avons maintenant une situation dans le monde nous avons une crise capitaliste globale. Partout, la consommation est en baisse. Partout, les gens achètent moins, y compris des produits de Chine. Comment est-il possible que dans cette société, tant dépendante de l'économie mondiale,  pourrait-on maintenant enregistrer une croissance explosive ? Leur marché boursier est maintenant 100 % supérieur à son seuil historique --aucun pays au monde n'espérerait même de loin approcher ces performances. Certainement pas les États-Unis ou  l'Europe. Comment est-ce possible ? Afin de croire ce que les Chinois disent, vous devriez convenir que dans un intervalle de quelques mois, tout au plus une année, ils ont pu transformer leur économie d'une puissance basée sur l'exportation, en un moteur industriel focalisé domestiquement . Ailleurs, ce recyclage aurait pris des décennies. »
     «Comment le plan de la Chine de relance économique peut-il fonctionner aussi bien, quand le nôtre fonctionne presque pas du tout ? La réponse est peut être simple : La Chine n'a pas laissé son système bancaire fonctionné au dépens de son économie physique productive. Les banques chinoises s'activent au service des particuliers, non l'inverse. Ce qu'a déclaré Samah EL-Shahat, une journaliste sur le site de la chaîne anglaise d'Al Jazeera. A propos, elle détient un doctorat en sciences économiques, de l'Université de Londres.»
      «Dans un article du 10 août intitulé " la Chine privilège les particuliers, avant les banques".»
    Elle écrit :
    « La Chine est une économie où  n'existe essentiellement pas de clivage - la dichotomie entre son secteur financier d'une part, et le monde du commun des particuliers, du peuple chinois  et de ses entreprises, d'autre part. Les deux secteurs sont en pleine croissance grâce à la manière dont le gouvernement a géré ses banques. La Chine n'a pas permis à son secteur bancaire de devenir puissant, influent, et gigantesque, au point qu'il contrôle ou détourne les budgets de la relance économique. En termes simples, le gouvernement a préféré répondre à ses citoyens et placer leurs intérêts en premier, avant ceux de tout autre acteur économique et financier concerné ou de quelconque groupe. Et c'est pourquoi les banques chinoises prêtent (crédit disponible) à un nombre record de particuliers et d'entreprise. »

    «Ce que Wolff appelle « la crise capitaliste globale » est réellement une crise du crédit ; et en Chine, à la différence des États-Unis, le crédit a circulé librement, pas simplement dans le secteur financier mais dans l'industrie et le gouvernement local. Les banques nationalisées ont massivement augmenté les prêts, avec les gouvernements locaux et les entreprises publiques empruntant à grande échelle. La Banque Populaire de Chine estime que les prêts totaux pour la première moitié de 2009 étaient de $1,08 trillions, 50% supérieur au volume des crédits des banques chinoises émis durant toute l'année 2008. La Federal Reserve aux États-Unis  s'est également engagée à émettre un niveau record de prêts, mais ses prêts sont allés principalement pour renflouer le secteur financier lui-même, laissant Main Street (les secteurs productifs et commerciaux) sèche et à quai .»
    « Au Royaume Uni et aux Etats-Unis, le secteur financier est en plein boom, alors que le monde des particuliers semble aller de pire en pire; le taux de chômage grimpe; les entreprises se rétrécissent et les saisies immobilières sont couramment effectuées. Wall Street et Main Street semblent être situées sur deux planètes différentes. Ceci est en grande partie dû au fait que les banques ne prêtent toujours pas aux particuliers . Dans ces deux pays, les banques ont saisi tout l'argent des contribuables et celui ,à bon marché, de soutien des banques centrales. Elles l'emploient pour apurer et assainir leurs bilans plutôt que de le prêter aux particuliers. L'argent a été détourné par les banques, et nos gouvernements ne font absolument rien pour y remédier. En fait, ils ont été complices, en permettant à ce détournement de se produire. »
     Dans cette comparaison Chine-Occident il est bon de retenir l'importance du secteur bancaire dans la politique de développement national aussi longtemps que l'état contrôle cet outil financier et le met au service de la communauté, et non le contraire. Pour une meilleure vision du contexte algérien il est clair que la politique adoptée par le gouvernement est judicieuse malgré ses revers au niveau des lourdeurs des mécanismes de gestion qui demeurent perfectibles, carence qui n'est pas insurmontable. Par contre l'intrusion des prédateurs réunis autour des banques françaises qui vantent les mérites de leur venue en Algérie et les sacrifices qu'elles acceptent à cause des imperfections du marché et du système bancaire, n'est qu'un conte imaginaire pour enfant. La vérité est que leur présence cible la razzia financière, prenant par surprise les consommateurs innocents et inexpérimentés. Le crédit d'achat par facilité de véhicules (biens périssables engendrant des coûts d'entretien supplémentaires) occulte les dangers menaçant le client. Souvent, l'endettement excessif dépassent ses moyens de remboursement, même lorsque ces opérations sont subventionnées par l'état (qui pire encore provoque une double hémorragies financière, au profit de la banque étrangère et du constructeur de voiture étranger) mais parce qu'il détourne au dépens d'autres secteurs de l'économie, des ressources précieuses, ce qui risque de freiner leur développement. Ainsi il en va de l'agriculture (qui est primordiale et prioritaire) mais aussi du bâtiment, des investissements dans les transport (biens d'équipement, réseaux ferroviaires et voies routières). L'arrêt des subventions de l'État à l'achat, a par conséquence ralentie l'importation de véhicules.  D'où le tollé général des "partenaires" économiques affectés par ces décisions, principalement la France par sa position prépondérante dans ce marché et son paternalisme chronique, qui a réagi violemment et mobilisé son appareil de désinformation, dont les média locaux (cf les réactions d'El Watan ci dessus), pour tenter d'annuler les mesures décrétées par la loi complémentaire des finances 2009.)
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    Il faut admettre que ses premières réactions, dans son éditorial quotidien ou son supplément économique hebdo sont mitigées et semblent traverser deux phases distinctes. La 1ère, réconforte les positions françaises en avançant les reproches du FMI comme argument  la justesse des doléances françaises exigeant presque un revirement de l'Algérie et l'abrogation de la loi des finances relative à l'arrêt des subventions d'achat de véhicules. Un extrait du 25.02.2010 (Lien), frôle le ridicule par son engagement au profit des Renault-Peugeot formulé par leur associé au FMI, le Français DSK,
    une icône médiatique adulée d'El Watan. Ou le cousin lointain d'un de ses rédacteurs ? El Watan criant au loup ? Illustration :
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    Crédit à la consommation : Le FMI demande à  l'Algérie de lever l'interdiction 
    Crédit à la consommation : Le FMI demande à l’Algérie de lever l’interdiction.
    Le Fonds monétaire international (FMI) a réagi, hier, à la décision du gouvernement algérien d’annuler les crédits à la consommation, comprise dans le texte de la loi de finances complémentaire 2009.
     Notez le regard menaçant de notre  Jacob Casanova du FMI.
    Terrifiant !
    El Watan est décidément passé maître dans l'art de la manipulation graphique. Il ne lui manque que l'audio, et les studios d'Hollywood déposeraient bilan !
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     Durant la 1ère phase, El Watan prend la tangente de la collaboration active avec les forces étrangères (ennemies d'hier). Une coutume que je ne cesse de dénoncer par mes modestes articles, qui j'espère finiront par trouver un jour un écho parmi les internautes avertis, ceux qui souhaitent s'éduquer et pas seulement tuer le temps en "navigant".
    Dans une deuxième phase EW semble se ressaisir, craignant de s'être trop engagé et avoir dévoilé son parti pris (passible de condamnation à mort pour haute trahison). Sa rédaction décide de tempérer son enthousiasme pour la défense des intérêts rothschildiens. Car il s'agit bien d'eux, par le biais de BNP ou Société Générale, les banques se sucrant dans l'opération de pillage "achat de véhicules".
    Et bien sûr, grâce à leurs ramifications dans l'automobile "made in France".
    A ce stade des événements, EW offre la parole à un économiste et universitaire, Salah Mouhoubi (Article à lire, très sobre et réconfortant) et  qui étonne par sa clairvoyance et sa perspicacité, qui  réfute la ligne éditoriale coutumière et suspecte . Le journaliste enregistrant l'interview doit avoir été sanctionné par l'amputation d'un mois de salaire au moins, pour la bévue qu'il a commise.
    Un extrait de l'interview de Monsieur Mihoubi :
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    Salah Mouhoubi. Économiste et universitaire : « L'Algérie n'a  pas à tenir compte de la suggestion du FMI sur les crédits à la  consommation »
    Salah Mouhoubi. Économiste et universitaire : « L’Algérie n’a pas à tenir compte de la suggestion du FMI sur les crédits à la consommation »


    - Le Fonds monétaire international (FMI) a suggéré à l’Algérie de lever l’interdiction des crédits à la consommation, une décision comprise dans la loi de finances complémentaire 2009. Le FMI estime que cette interdiction constitue un obstacle potentiel au développement du secteur financier. Quel est votre avis à ce sujet ?
    «Je trouve que la sortie des administrateurs du FMI très surprenante car le crédit à la consommation n’a jamais porté préjudice aux banques algériennes à capitaux nationaux puisque celles-ci disposent de suffisamment de liquidités pour le financement des crédits à la consommation. Quant aux autres banques, dites algériennes à capitaux étrangers, ce sont, à mon avis, les établissements financiers qui ont profité le plus de ces crédits à la consommation. La décision du gouvernement algérien d’annuler cette grille de crédits est motivée par le souci de préserver l’équilibre de la balance commerciale. Ainsi, demander à l’Algérie de lever cette interdiction qui a pour objectif de préserver la balance commerciale serait donc contraire aux fondements de la charte du FMI. Cette institution devrait être la première à soutenir les décisions allant dans le sens de consolider l’économie de tel ou tel pays par, à titre d’exemple, la préservation de l’équilibre budgétaire de sa balance de paiement ou de la balance commerciale.»
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    Evidemment l'universitaire ne s'engage pas dans les avenues à risques intellectuels et médicaux des théories de la conspiration, mais donne une analyse cohérente et objective qui présente un argument justificatif appuyant les mesures préventives du gouvernement algérien , sur le plan de la logique économique et du bon calcul d'épicier.

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  • Le supplément Hebdomadaire "Economie" d'El Watan, est révélateur de la ligne éditoriale de sa rédaction: une caisse de résonance des campagnes envahissantes, menaçantes et toujours paternalistes des FMI-BM.  Inlassablement, le quotidien harcèle son lectorat en ventilant les doléances des organismes financiers cités. Ne passe un jour, une publication, un article "d'expert" complice, sans que soient reportées les déclarations de DS Kahn  (FMI) , de R.Zoellick (BM), ou quelque autre obscure employé de ces organismes, avec les photos et posters de ces prédateurs talmudiens, brandis pour nous narguer de leur arrogante chupatz
    L'attitude d'El Watan amalgame son  activité déclarée de journalisme "indépendant", avec celui de l'engagement doctrinaire au service du Nouvel Ordre Mondial. Cette posture soulève les questions capitales suivantes:
    Pourquoi cette obstination ? Est-elle purement conjoncturelle ou partie intégrante d'une stratégie permanente dirigée de New-York et Washington par les deux institutions ? El Watan joue-t-il localement un rôle et  remplie-t-il une mission, au service des intérêts de ces empires financiers mondiaux ?
    Les Algériens gardent le souvenir amer des politiques intolérables d'austérité qu'ils ont endurées sous l'inquisition financière de Michel Camdessus. Tous les experts indépendants dénoncent son œuvre destructrice de l'économie des pays endettés. Les études objectives et détaillées condamnent toutes, la cupidité et voracité insatiables des banquiers qui dirigent le pillage financier effectué sous la façade trompeuse "d'aide au développement", "coopération", ou autre euphémisme frauduleux. Administrateurs des relations monétaires  internationales et  des règles d'échange, les deux organisations sont motivées par le profit et le gain et aucuns scrupules ou éthiques ne les freinent dans la poursuite de leurs objectifs. 
    Le vernis officiel qui les agrémente est un leurre que peu de gens perçoivent , et quand les experts avertis le découvrent , peu ont le courage d'exposer sa vraie nature. Il est inconcevable de la part des journalistes algériens spécialistes de la question de couvrir les méfaits de cette pègre de l'argent  après que l'Algérie ait enduré ses sévices et  son ingérence prédatrice.
    Sans tarder examinons un exemple de la malveillance de plumes nocives qui s'évertuent à diffuser des concepts financiers erronés et frauduleux, gravement préjudiciables aux intérêts de ceux qui auraient l'imprudence de les assimiler ou de  les endosser.
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    De manière suspecte, EW fait  fi de l'avertissement  de Nadjia Bouaricha dans une édition plus ancienne, datée du Mardi 16 mars 2007, «Le poids pesant du sur-endettement des ménages algériens.»
    «Mais dans cette aubaine que constitue le crédit à la consommation, il y a le revers de la médaille, et c’est le sur-endettement. Les consommateurs se trouvent en proie à des charges de dépenses supplémentaires fragilisant leur capacité à faire face à différentes formes de dépenses quotidiennes. Pour l’achat d’une voiture ou d’un logement, le consommateur se voit tenu de rester endetté et son salaire partagé avec la banque prêteuse des années durant. La Banque d’Algérie estime à 40% le taux des crédits octroyés par les banques qui vont vers le crédit à la consommation. Plus de 200 milliards de dinars ont été injectés en 2006 dans le portefeuille des crédits au logement et à la consommation. Et dans ce magma de crédits, l’absence de mécanisme de protection des consommateurs risque de mettre les débiteurs dans une situation de surendettement, donc d’appauvrissement.»

    «Le crédit à la consommation est l’attrape-nigaud de l’Algérien qui veut consommer in»

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    Notre chambre de résonance titrait récemment (Lien): «Crédit à la consommation : Le FMI demande à l’Algérie de lever l’interdiction.» Le débat stérile sur la décision souveraine de l'Algérie est conduit par EW,  qui en spécialiste de la méthode Delphi, collabore avec l'avocat FMI et les faux témoins à charge dans sa plaidoirie en faveur des victimes, les banquiers philanthropes.
    -Clore le débat, en soutenant l'abandon définitif des mesures gouvernementales de crédits à la consommation, volet  "véhicules particuliers" ? 
    -Non EW s'y refuse!  EW revient à la charge et relance la polémique par la voix de son spécialiste de l'intrigue économique, El Kadi Ihsane.
    (El Watan, 08Mars 2010) : «Comment, un jour, le crédit à la consommation sera rétabli ! » )
    -Une idée fixe de l'auteur ? L'obsession du chercheur à résoudre une question d'ordre théorique ou pratique dont l"importance est cruciale pour l'avenir de l'Algérie, sinon de l'humanité ?
    - Rien de tout celà ! L'auteur est un pantin actionné par la relance et l'insistance du FMI dans sa tentative d'écorcher une nouvelle victime au seul bénéfice des banques étrangères, avec qui le fond, partage les mêmes intérêts ! Les intérêts de qui ? De ceux qu'on nomment Banksters, un sobriquet dans le jargon anglophone, combinant,  "banker" et "gangster".
    Un titre révélateur et qui démontre l'acharnement des pouvoirs (occultes) bancaires  à  renverser la décision souveraine algérienne d'abroger les "crédits à la consommation"  ce que Salah Mouhoubi, (édition du l'édition du 27 Février 2010 d'EW), avait modestement élucidé et clairement réfuté,  car les arguments du FMI (publiés avec sympathie par EW). 
    étaient irrecevables. Selon lui : "Quant aux autres banques, dites algériennes à capitaux étrangers, ce sont, à mon avis, les établissements financiers qui ont profité le plus de ces crédits à la consommation." (Société Générale, BNP Paribas, etc...)
    Observons par ailleurs  quelques commentaires de  l'ancien Senior Vice Président et Économiste en Chef de la Banque Mondiale, Joseph Stiglitz (Prix Nobel). Il est connu pour sa vision critique de la gestion de la mondialisation, des économistes du libre marché (qu'il appelle des «fondamentalistes du marché libre") et certaines institutions internationales comme le Fonds monétaire international et la Banque mondiale.:«Pour une majorité dans le monde la mondialisation telle qu'elle a été gérée ressemble à un pacte avec le diable. Quelques pays sont devenus plus riches. Les statistiques du PIB, pour ce qu'elles valent, rehaussent les apparences mais les modes de vie et les valeurs fondamentales sont menacées .... Ce n'est pas la façon dont elles devraient être.»
    Ou : «Lors de sa réunion en Septembre à Singapour (2006), le FMI a reconnu les lacunes dans sa gouvernance (même si elle a sévèrement critiqué la gouvernance dans les pays en développement), et a donné plus de pouvoir de vote à quatre des plus sous-représentés des pays en développement.  Mais certains des défauts les plus importants existent toujours- les États-Unis reste le seul pays avec le droit de veto, la façon dont son directeur est choisi ne concorde pas avec les types de procédures démocratiques que nous tenons pour acquis dans nos propres démocraties, et il n'est toujours pas conformes aux principes de la transparence qui sont reconnus aux États-Unis, la Suède, et d'autres démocraties.»
    El Kadi dans son apologie burlesque du FMI flatte..... la bienfaisance du fond :
    «Le conseil d’administration du FMI est bienveillant avec l’Algérie. Il lui a recommandé très prudemment de rétablir le crédit à la consommation «lorsque la centrale des risques liée aux crédits aux particuliers deviendra opérationnelle ». 
    «Motif : l’interdiction des prêts à la consommation constitue un obstacle au développement du secteur financier.»(sic. Le pillage serait selon lui une bénédiction dont nous prive la loi complémentaire.)

    «L’argumentaire du ministre des Finances algérien aurait donc évoqué le risque de sur-endettement des ménages comme cause principale de l’interdiction. Tout le monde sait qu’il n’en est rien.»(Mensonge typique de l'analyse perfide qu'il distille. Les premiers à le savoir sont les consommateurs US qui sont tombés dans le traquenard du crédit attractif et démesuré. Leur famille règle la facture de leur folie.. Ils méditent leur malheurs dans les villes de toile (tentes) qu'ils occupent aux abords des mégapoles américaines !)

    Les taux de recouvrement des banques en Algérie pour ce type de crédit sont les meilleurs en Méditerranée. (Raison supplémentaire qui aiguise l'appétit des banquiers, ceux qui commanditent notre scribouillard louche).
    La vraie raison de l’interdiction du crédit à la consommation est irrationnelle. Comme la peur. La peur des déficits externes, par gonflement des importations en temps de reflux des recettes énergétiques. Une peur saisonnière.
    (Très juste, car "qui a peur, vit en paix ". Notez l'incursion freudienne subversive  qui tente de défier l'orgueil des décideurs et provoquer un sursaut de courage ou de.....témérité. Enfantin ! Prudence et sagesse conviendraient mieux comme attributs. Qui devant le gouffre financier engloutissant récemment  les puissances financières de la planète ne serait pas appréhensif des risques  encourus par la poursuite de mesures hasardeuses ?)


    «Qui va passer, avec le retour du baril à 100 dollars »( prévision ou  prophétie ? )

    «La plupart des décisions de politiques économiques sont prises sur ce modèle univoque. Un risque, une riposte. Dans le cas des prêts à l’importation, les effets collatéraux n’ont jamais été examinés. Ils sont très certainement de plus d’impact que du seul effet restrictif sur les seules importations. Un exemple, l’arrêt du développement des réseaux bancaires (les prédateurs) à cause d’un plan d’affaires sabré. Un autre exemple, la sanction contre les producteurs locaux de biens électroniques et électroménagers, de meubles et de toutes sortes de produits dont la commercialisation a bénéficié ces dernières années du coup de pouce du crédit à la consommation. Un troisième exemple, le sentiment d’appauvrissement des couches moyennes qui ont commencé à s’équiper à crédit, notamment en voitures, et qui subitement réalisent qu’elles ne peuvent plus anticiper l’amélioration prévue de leurs revenus. La détermination des enseignants, mais aussi des médecins, à voir immédiatement des rattrapages conséquents sur leurs fiches de paie, pourrait bien illustrer les effets inattendus de la décision hystérique du mois d’août 2009. Comme cela est de coutume, les effets indésirables imposent leurs nuisances. Et le gouvernement recule. Plutôt tard que tôt. Scénario en lice déjà. Le ministre des Finances a admis, après la recommandation du FMI, que l’Algérie "aura à apprécier cette demande " de revoir sa décision au sujet des crédits à la consommation. »
    «Mais quel est donc ce développement du secteur financier que veut préserver le FMI à travers sa recommandation ?»
    «Ce n’est plus une priorité du gouvernement. Ni même d’ailleurs de la banque d’Algérie qui met en moyenne plus de six mois pour délivrer l’agrément d’une nouvelle agence bancaire après visite des locaux, comme si les extensions de réseau – notamment des banques privées – lui donnait plus de tracas.» 
     (la juste mesure, serait qu'elle mette 60 ans avant de la délivrer. 
    Ce naif El Kadi serait-il victime du FMI, le maître chanteur institutionnalisé de la planète ?  Ou lui verse-t-il des primes pour ces exercices de voltige  intellectuelle et ses débordements lacrymaux   ?)

    L’agence d’El Koléa de Société Générale Algérie a attendu de janvier 2009 à janvier 2010 son agrément bancaire. Tout était prêt, les locaux et les équipements bien sûr, mais aussi, les équipes et les produits. Un an de jachère pour cause administratif. Et c’est ainsi partout. (Arrêtez le, il vas nous faire chialer !)

    «L’Algérie était, en 2009, classée au 135e rang planétaire par la Banque mondiale en matière d’attribution des crédits. Cela ne s’améliorera pas en 2010. Même si le crédit immobilier à taux 1% déboule dans le paysage.»( Mais c'est le plus important, aveugle ! La construction est stimulée et l'économie tourne à plein rendement
    Ce qui n'est pas le cas pour les voitures, un produit fini. Dont le commerce de bazar génère peu ou presque pas d'emplois et n'est pas un investissement physique productif. Les usines de montage, le vrai investissement, la France les a réservées à ses....colonies.)

    «Pourquoi ? Parce que le Premier ministre n’est pas intimement convaincu qu’il doit soutenir la demande solvable par le crédit. Pourquoi ? Parce qu’il ne sait pas très bien ou va aller l’argent qu’il va prêter aux Algériens. L’offre de produits locaux ne décolle pas. Ce sont les importations qui vont en profiter. Eternel cycle malthusien.» (Erreur ! C'est la fin du pillage camouflé et du détournement de ressources au dépens de l'économie nationale,  vers l'étranger via les importation et les profits exorbitants de l'usurerie !)

     «Nous ne savons pas élargir l’offre de produit, mais nous savons réduire les importations.»( parce que nous sommes maîtres chez nous et avons nos priorités  !)

    «Le crédit à la consommation sera rétabli un jour.» (Non ! Et qu'ils cessent de nous harasser , lui et son employeur de l'ombre. L'opportunité pour monter nos véhicules ici, n'a jamais été aussi propice).

     «Avant même que la centrale des risques ne soit mise en place. Inutile d’en chercher la raison. Elle sera tout aussi irrationnelle.» (Irrationnelle ? Oui, après la vague de désinformation  qui a ciblé l'opinion, heureusement sans résultat.  Mais pas plus dangereuse que la campagne d'intox des idiots de service, du FMI, qui en d'autres lieux seraient  passible d'exécution, pour.....haute trahison. Pour preuve la
    Définition: Crime consistant à entretenir des relations coupables avec une puissance étrangère ou ennemie;  Action de trahir en trompant la confiance de quelqu'un, en manquant à la foi donnée à quelqu'un, à la solidarité envers quelqu'un; résultat de cette action.  Action de trahir en livrant ou en abandonnant une personne, une collectivité. Action de ne pas traduire fidèlement, de déformer, de dénaturer quelque chose. )
      Rappel solennel , en ce 19 mars 2010, de l'ère des Harkis, tenant leur fusil aux poings. Ceux brandissant une plume empoisonnée ouvre un nouveau cycle de trahison au service d'intérêts douteux.
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    Dans Supplément-Economie d'El-Watan du15 Mars 2010:
    «Lutte anti-corruption en Afrique : le FMI propose son aide».
    L'effronterie et la ruse dans la poursuite du pillage. Qui peut croire en leur bénévolence, sauf les naifs qui ont perdu la raison ?

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  • Manœuvre du FMI veut puiser dans les réserves de change des pays jouissant d'excédents : Chine,  Russie, Inde, Brésil, Mexique, Vénézuela, Libye et Algérie sont ciblés. Qu'annonce cette campagne de marketing menée par le FMI prétextant sa préoccupation pour la situation catastrophique des pays pauvres et de ceux affectés de plein fouet par la crise du crédit ?
    L'œuvre du Fond, via ses opérations-interventions effectuées depuis 1945 , similaires à celles effectuées par la Banque Mondiale, ont été minutieusement décortiquées et analysées par des centaines d'experts à travers des milliers de publications, beaucoup en avocat du mondialisme, et une multitude d'autres (majoritairement altermondialistes) en opposants à ses activités .
    Il est juste d'affirmer que l'examen critique des charte-fondements-fonctions-mécanismes-philosophie articulant l'activité de l'institution est abondamment disponible pour qui veut s'instruire en ciblant les sources authentiques de savoir et non celles illusoires des agences de propagande officielle ou des média dominants mobilisés pour confondre le public sur la nature réelle des organismes "internationaux". Soulignons par ailleurs l'incapacité de l'intellectuel "suiviste" en général et de l'universitaire conformiste en particulier, à repérer les subtilités de la finance et déchiffrer l'information "cryptée" transmise par les manuels académiques qui demeurent le meilleur moyen de perpétuation des abstractions erronées qui servent ceux qui dirigent secrètement le Monde, les éternels conspirateurs.
    Évitons une dépense d'énergie inutile à vouloir  ré-inventer  la roue, et contentons nous de cueillir quelques fleurs de cet immense jardin de la connaissance, le web.  
    Tout ce qui touche aux mécanismes et fonctions de cette pieuvre de la finance dont les tentacules étreignent la planète, est résumé concisement sur "Lien" , "Lien", "Lien", "Lien", "Lien". (En Anglais, mais des extraits seront traduits dans ce qui suit, là où leur contenu est jugé utile, ).
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     Quelques nouvelles pertinentes de la scène économique internationale, en préparation du document :

    Photo  pleine d'enseignements et symbolique de l'inconscience de certains leaders du G20 menés par les stars et les clowns de la scène politique mondiale. Un vrai spectacle de marionnettes, et tout le monde s'amuse en pleine crise mondiale!
     
     



    Le directeur général du Fonds monétaire international Dominique Strauss-Kahn (L'agent du Pouvoir Absolu de l'ombre)
    Les ministres des Finances se sont dit satisfaits des divers plans de relance et ont jugé d'un commun accord samedi 25 avril, au cours de la réunion du Conseil monétaire et financier du FMI, que la reprise dépendait de "la nécessité absolue d'assainir le système financier", selon le patron du FMI, le Français Dominique Strauss-Kahn. Le communiqué publié par le FMI à l'issue de cette réunion précise que les 185 Etats membres étaient "déterminés à prendre des mesures supplémentaires pour assurer la reprise économique".Emission d'obligations
    Le Conseil, instance politique dirigeante du Fonds monétaire international, réuni pour le week-end, a décidé d'accroître de 250 milliards de dollars les ressources disponibles, en augmentant et rendant "plus flexible" la ligne de crédit connue sous le nom de "NAE" (Nouveaux accords d'emprunt).
    Victoire pour les puissances émergentes comme la Chine et le Brésil, qui souhaitaient cette mesure, comme alternative aux prêts à long terme, Dominique Strauss-Kahn a annoncé que le FMI émettrait des obligations afin de lever des fonds destinés à aider les pays en difficulté. Le FMI n'avait jamais émis d'obligations auparavant.
    «Un an après la faillite de Lehman Brothers, le G20 et les experts pointent leur regard sur le seul bonus des banquiers. Rien n’a changé, claironnent-ils en chœur



    La finance et l'activité professionnelle qui lui est associée ne peuvent être intelligemment appréhendée et assimilée, sans au préalable, l'étude de la nature et du processus de création de la monnaie. 
      Le rôle des institutions et organismes impliqués dans le monde de la finance et la multitude d'agents impliqués dans cette "industrie" ne peuvent être véritablement circonscris que si la création de l'argent est clairement cernée. 
    C'est l'étude de ce phénomène qui est au centre des controverses économiques, politiques et sociales qui agitent la planète depuis les temps modernes, ou précisément depuis que l'argent est devenu ce véhicule d'échange qui permet à toute société de fonctionner dans le cadre des échanges de biens et de services, localement et mondialement.
    Dépassant l'examen chronologique de la transformation et de l'évolution de cet instrument de paiement vers son état actuel, il est plus que adéquat de se restreindre à l'étude des vues et opinions d'historiens et experts qui ont affinés au détail près ce sujet. Un fait marquant commun à la majorité d'entre eux, la remarque pointant vers l'illusion déceptive créée par les banquiers, dans le but de confondre le public dans sa perception de la nature réelle de cet instrument de paiement. La réalité de la finance est loin de correspondre  aux concepts assimilés par la majorité de l'opinion et mêmes ceux ingurgités par les plus éduqués, universitaires et spécialistes. C'est l'objet de la plus grande manipulation frauduleuse enregistrée dans l'histoire de l'humanité, dans son volet économique, politique et social. La monnaie  est le catalyseur et le moteur de toutes les injustices majeures et des malheurs interminables de l'humanité depuis l'émergence des temps modernes (de 1492 à 1789), et de l'époque contemporaine (de la Révolution française à nos jours). L'impact et le rôle de la monnaie sur l'évolution de la civilisation humaine est partiellement perçu à travers son influence sur le commerce, l'industrie, les sciences et les échanges entre les peuples et la multitude de nations. La monnaie s'est malheureusement transformée en calamité depuis l'introduction de l'usurerie comme moyen de fructifier la richesse accumulée par une élite financière au dépend de celle engagée dans  l'activité de production. Les gouvernants, les entrepreneurs, les particuliers nécessitant des fonds pour financer  les projets d'investissement publiques ou privés, se sont tournés vers le banquier qui en échange fixe le coût d'emprunt du capital par un taux d'intérêt et garantie son prêt en l'assurant ou en exigeant un hypothèque . L'intérêt est une trappe, une astuce, qui mathématiquement semble négligeable, mais dont le cumul étalé sur le temps, "explose" au nez du créditeur selon une progression numérique exponentielle, qui n'est pas apparente à première vue, mais dont le résultat finie inexorablement par ruiner l'inconscient qui n'aura pas su ou pu fructifier le crédit contracté et est sous la menace d'une saisie de l'hypothèque. La disponibilité de l'argent offert par le banquier et la facilité d'en disposer est un appât, un piège. Combien de nations, d'états, de particuliers ou d'entreprise sont tombés victimes de ce traquenard. Le calcul du coût n'est pas toujours évident mais s'avère à terme souvent astronomique et le risque de perdre le capital physique de la garantie est également sous estimé. Le banquier juif est le premier à avoir compris le pouvoir subtile (destructif) de ce mécanisme financier, commercial en apparence,  et en a maîtrisé la pratique, depuis les temps reculés de la captivité des Pharisiens à Babylone, où l'usure était pratiquée, 18 siècles avant  JC. La distinction intérêt-usurerie a été de tout temps un sujet de débat théologique ou parfois  philosophique et d'éthique, alors que sa condamnation dans les livres saints est unanime. Sous les assauts répétés des Rabbins, les résistances religieuses (chrétiennes) se dissipèrent graduellement jusqu'à atteindre le consensus actuel de la légalisation de cette pratique blasphématoire et illicite, pilier du système démoniaque qui domine le Monde et le dirige vers sa perte. De Venise, au 15em siècle, Shylock avait lancé son invasion de l'Europe. Grâce à Rothschild , le maître et stratège de la finance en Europe puis dans le Monde, enregistra ses conquêtes financières, les plus importantes  celles d'Amsterdam, Londres et ultérieurement des organismes financiers des États-Unis d'Amérique (consultez les chroniques de ses opérations machiavéliques dirigées de Francfort; information disponible sur le web).
    Par l'infiltration d'agents et de proches, la collaboration des sociétés occultes secrètes que les banquiers avaient subjuguées, et le contrôle sans partage des média, le travail de sape des institutions par les révolutions et les conflits fut effectué avec patience et constance . Orchestrant l'abolition ou l'infiltration des royautés, corrompant  les gouvernements et assassinant les opposants (jusqu'à 4 présidents assassinés aux USA; le Tzar et toute sa famille, en Russie), le banquier juif construisit  progressivement son pouvoir totalitaire de l'ombre, celui d'un tyran absolu impitoyable. 
    La création du Federal Reserve System (= la banque centrale privée des USA) et l'autorisation d'émettre le billet vert (la "planche à billets") est la culmination du processus de domination de la finance internationale ! Ce coup d'état silencieux  est une étape cruciale pour l'établissement furtif et discret de la dictature du Nouvel Ordre Mondial.
    La déclaration de M.A Rothschild : «Accordez-moi le pouvoir d'émettre la monnaie, qu'importe qui vote les Lois !» en est le leitmotiv.
    Entendre par ça, que quelque soit la tendance politique du législateur ou dirigeant enchaîné par les mimiques droite-gauche, républicaine-démocratique, communiste-capitaliste, etc..., la création de la monnaie est la clé de tous les pouvoirs, et la puissance destructrice des banquiers.  
    Le plus vaste pillage à l'échelle planétaire se déroule devant nous. Toutes les ressources et richesses que la Terre peut offrir ou les hommes produire, sont  
    raflées au prix  du papier-Dollar, unité monétaire internationale imposée depuis la suppression de l'étalon-or. Levier du pillage et arme de  manipulation et de coercition du Monde: la monnaie de singe que les Rothschild-Rockefeller crachent à la face du Monde !
    La documentation  cette conspiration gigantesque et  le cheminement historique des événements couvrant cette incroyable opération de conquête et de domination est, miraculeusement, largement accessible sur le Net. Un site
    spécialisé dans l'analyse détaillée des mécanismes et organisation de ce monde
    étourdissant et effrayant des banques est consultable (ici). Pour l'aspect historique identifiant la chronologie des événements les plus significatifs de l'Histoire de l'humanité, qui élucident les mystères de ce paradigme de l'argent,
    paradigme dissimulé derrière le brouillard de la propagande et du mensonge, consultez impérativement Andrew Hitchcock et son  "The History of the "Money Changers" Didactique et édifiant !
    Parallèlement depuis Gutenberg, la complicité des média dominants a été primordiale et indispensable à la diffusion de concepts erronés, d'abstractions incohérentes   et de théories utopiques créant la confusion dans les esprits et dissimulant les complots élaborés par l'oligarchie bancaire. La nature réelle et le fonctionnement du système bancaire sont des objets ayant reçu le plus d'attention dans ce travail de manipulation et de propagande médiatique. Écoutons ce que David Rockefeller en pense et  déclare lors d'une réunion de la Trilateral Commission, en  1991:
    « Nous sommes reconnaissants à Washington Post, à Time Magazine du New York Times, et à d'autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et ont respecté les promesses de la discrétion pendant plus de quarante années. Il aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été exposés aux projecteurs lumineux de la publicité pendant toutes ces années. Mais, le monde est maintenant plus sophistiqué et est préparé pour marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d'une élite d'intellectuels et de banquiers du monde est sûrement préférable à l'auto-détermination nationale pratiquée ces siècles derniers. »
     La leçon essentielle à tirer de cette recherche, est que la personne consciente de cette fraude aux conséquences désastreuses, doit entièrement réviser sa perception et compréhension de l'Histoire moderne de l'humanité, celle "officielle" que propagent les média et que les manuels scolaires falsifient. 
    Il devra également se préparer à remettre en question ses acquis culturels traditionnels  et s'armer de discernement en prévision des traumatismes  qu'il risque d'éprouver face à la découverte de vérités choquantes, particulièrement celles relatives aux sacrifices (à caractère rituel) d'au moins 100 Millions de vies humaines durant les guerres mondiales et les révolutions communistes du 20 ièm siècle. Toutes fomentées, exécutées et administrées par  l'éternel conspirateur, le maudit, satanique, prédateur de la race humaine, le banquier juif "Shylock", le prédateur allégrement assisté de ses proxies:  les compagnons de l'occulte (sociétés secrètes), les mercenaires, les collaborateurs et les "idiots utiles" de service, naufragés de l'illusion des ismes et autres utopies, vainement qualifiés "d'intellectuels" et  tenus en bride  par les récompenses, distinctions et "prix internationaux".
    C'est à la lumière d'un modèle d'observation réfutant les idées acquises et les mythes populaires entourant l'Histoire publiée en tant que propagande officielle, qu'on peut comprendre les dessous des manigances perpétrées par les banquiers et les atrocités commises par ces monstres exterminateurs de l'humanité. Par gratitude, reconnaissons le mérite de militants de la vérité qui dédient leur temps et énergie à confondre les banquiers et leur plan subversif pour l'établissement d'un Nouvel Ordre Mondial, instauré au prix de génocides de masse et de  crimes économiques inégalés durant toute l'Histoire de l'humanité.  L'Histoire authentique, entièrement  bâtie sur les méfaits et intrigues des banquiers kosher, est opposée et en contradiction avec celle diffusée et façonnée par les média et les historiens complices de l'illusion, intellectuels complices gratifiés par l'éternel conspirateur. 
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    La création de la monnaie est la pierre angulaire de la fraude perpétrée par les banquiers. Elle s'effectue selon deux procédés: 
    1- la fabrication ou l'imprimerie de la monnaie physique, les billets et les pièces, opération relevant de la banque centrale, que le public assimile faussement à un organisme d'état national et publique  contrairement à son statut réel et légal d'institution privée. De cet euphémisme, les propriétaires de la banque (tous juifs) tirent le privilège de créer de la richesse d'absolument rien, sans la contre partie ou garantie de convertibilité en or-argent que le système de régulation bancaire préconisé à ses débuts.
    Si la monnaie est crée à partir d'aucune réserve interne, le prêt est fictif et artificiel, et l'intérêt qui y est lié une escroquerie. La pratique dans le monde réel est tout autre. La procédure courante de crédit est en fait un subterfuge ou plan ponzi de dimension ahurissante, révoltante lorsque confronté au bon sens et à l'équité. La création de la monnaie par les banques centrales est simplement une opération arithmétique d'écriture comptable non parrainée par l'existence de valeurs physiques réelles ! C'est un pur tour de main, de la prestidigitation !
    2- L’effet multiplicateur du crédit. Sans trop nous étendre sur les détails de la nature et du fonctionnement de ce paramètre de gestion du crédit, car disponible et amplement discuté par les spécialistes ( en exemple, Lien, Lien, ou Lien), soulignons seulement le caractère cumulatif abusif de ce procédé comptable au dépend  de la confiance accordée par la réglementation financière de toute société, réglementation supposée défendre l'intérêt général mais habilement détournée de son objectif. Dés le départ, les banquiers n'ont jamais abandonné leur intentions illégales de ce saisir de la mine d'or du commerce et de l'industrie en créant le crédit pour les financer. Saisir l'économie par l'offre du crédit, et s'approprier pas seulement un, ou deux, ou trois pays, mais les continents et le Monde !  Beaucoup d'observateurs sont mystifiés par le comportement arrogant et les paroles abusives des personnalités juives de la scène publique et n'arrivent pas à saisir le motif de leur comportement provocateur. La politique Israélienne (Netanyahu et compagnie) en est l'exemple. Les Juifs connaissent l'astuce qui leur a légué le Monde, la monnaie de singe (et sa maîtrise), qu'ils refilent aux autres (les Goyim) pendant qu'eux accumulent l'or, le diamant, et les valeurs matérielles sures. Ils rient à se décrocher la mâchoire (renversés sur le dos) de la crédulité  du Goyim, qui  a été convaincu d'adopter l'usage du crédit fictif et des produits associés (aider par nos "intellectuels" et leurs profondes théories-chimères).

    Du rôle initial du crédit ont jailli et se sont également répandues divers pratiques plus sophistiquées les unes que les autres, mais toujours plus gloutonnes et insatiables,  à l'image de la titrisation des avoirs bancaires, et des assurances liées à toutes les activités commerciales imaginables. Par l'exploitation de modèles mathématiques paramétrés sur le calcul des probabilités, la " nouvelle" finance a prit l'allure d'un casino-des-horreurs géré par une tribu de Frankeinstein.
    «La déréglementation a ouvert les portes à de nouvelles pratiques ou innovations, dont la plus importante est la titrisation. Au lieu de tenir registre de leurs créances, les banques les groupent en paquets et les convertissent en titres négociables sur le marché.»(Lien)
    Propos révélateur du journal Le Monde citant Michel Rocard, ancien Premier ministre de la France: « Des professeurs de maths enseignent à leurs étudiants comment faire des coups boursiers. Ce qu’il font relève, sans qu’ils le sachent, du crime contre l’humanité ».
    Notre ministre, prudent dans ses propos, ne précise pas que ces étudiants sont 
     ultérieurement embauchés comme cadres par les grandes banques de Londres et New York qui affinent leurs méthodes de racket financier et poursuivent leur rapine des richesses Goyim ! 

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