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    Les scandales qui défraient la chronique donne du pain sur la planche aux spécialistes de l'intox qui ont l'Algérie et ses institutions dans le collimateur. Ils ciblent plus précisément le président qui est le pilier qu'ils n'arrivent pas à démolir. Depuis dix ans, tous les moyens mobilisés à cette fin ont été utilisés, sans succès. La pression d'agents et organes internationaux et locaux ont harcelé l'état algérien pour différents motifs-prétextes.
    -Blâmant l'État pour sa faiblesse, et parfois de complicité, devant les crimes terroristes.Quand ? Lorsque les mercenaires "Islamistes" sévissaient et menaçaient de disparition la nation, par l'instauration du chaos et de l'anarchie.
    -dénigrant la lutte anti terroriste, accusée d'abus et de dépassement (torture, disparus, justice expéditive), de la militarisation du pays, de restriction des libertés, du maintien de l'état d'urgence. Quand ?  Lorsque l'état prit le dessus et commença à éradiquer les dernières poches de résistance des bandes armées qui rejetaient tout compromis ou repenti décrété par référendum "la Loi de la Concorde nationale", et tentaient de se revitaliser en rejoignant une "mythique Al Qaida", enfant illégitime des CIA-MI6.
    Les islamophobes d'hier se recyclent. Les uns s'auto-désignent d'office avocats du FIS (presse indépendante et ONG). Ali BelHadj le mégalomane en mal de publicité et de gloire découvre  l'hospitalité des plateaux de télévision et les interview des journalistes, à l'image d'Elisabeth Shemla, le fer de lance de la presse sioniste en France colonisée "hantée" par son amour pour l'Algérie, résume son entrevue avec Belhadj en prophétisant dans son article un retour du FIS (sic). "Wishful thinking", comme diraient les anglais, prendre ses désirs et ses souhaits pour des réalités. Le FIS ayant joué à sa manière, le rôle de cheval de Troie ou de Judas dans la crise qui avait secoué l'Algérie dans les années 90.
    Tous les prétextes sont bons pour harceler les états, selon la devise "si ce n'est pas toi, c'est ton frère!", ou "lorsqu'on veut noyer son chat...", donnant les
    stratégies criminelles génocidaires, alliées à l'injustice (la loi du plus fort) et à l'agression militaire. Suivent les sanctions et représailles  décrétées par les  pouvoirs judéo-talmudiens et leurs valets des tribunes onusiennes, 
    le venin du mensonge enrobé du chocolat de la défense des "droits et libertés", sélectifs bien sur.
    L'argument des "armes de destruction massive" ne trouvant pas champ d'application dans le cas de l'Algérie, il faudra inventer d'autre fable pour justifier l'ingérence étrangère.
    Peut être Al Qaida ? Les droits de l'homme ? Les partis dissouts ? Les droits des "gays" ? Dans tous les cas de figure, la presse nationale "indépendante"est vigilante et opérationelle pour lancer toute campagne d'harcelement contre le "système", lire l'Algérie tout court.
    La corruption ? Celle ci devenue endémique, fait l'objet de beaucoup d'attention médiatique et est l'occasion d'un vrai défoulement thérapeutique stigmatisé par la raillerie et le mépris. L'affaire SONATRACH par contre a déclenché une hystérie générale, qui tourne à la vindicte contre qui ?
    -"Par ricochet", contre Bouteflika.
    Le débat est détourné de l'objectif premier de dénoncer le mal, comprendre ses mécanismes, analyser les opérations frauduleuse et leurs auteurs, mobiliser l'opinion et la sphère politique, pour trouver des remèdes à cette calamité financière.
    Le tapage autour de SONATRACH occulte l'évidence: le controle de l'entreprise nationale et sa gestion ont été du ressort de la nomenklatura du socialisme spécifique, Mohamed Ben Ahmed Abdelghani, Abdelhamid Brahimi,  Belaid Abdessalam, Ahmed Ghozali, Mouloud Hamrouche, Redha Malek, Mokdad Sifi, Ahmed Benbitour (Ministre des finances pendant  5  ans !) pour ne citer que les plus en vue. Quand à Shakib Khellil, un "technocrate" dont le CV a peut être induit en erreur Bouteflika, il est fait l'objet d'enquête judiciaire et son sort sera connu. En quoi peut-on accuser Bouteflika de complicité ? Des rumeurs, seulement des rumeurs. Est-ce sa faute si la situation dont il a hérité est désastreuse,  et les hommes qu'il jugeait intègres s'avèrent corrompus ? Le tort revient à cette école du "Socialisme spécifique" qui a diffusé sa démagogie pendant 30 ans et a enfanté ces monstres, parmi lesquels beaucoup se métamorphosent en démocrates de circonstance et s'affublent de patriotisme douteux.
    Qu'en est-il de Boumedienne qui avait lui même signé le contrat gazier "El Paso", qu'il avait négocié et conclu au 1/6 du cours mondial, et que le gouvernement Chadli avait judicieusement résilié et obtenu par jugement 
    (du tribunal de La Haye), en reconnaissance d'irrégularités comptables et juridiques ?
    Qu'est devenu l'organisme Expansial, de Genève-Paris qui gérait les recettes des hydrocarbures comme une fondation philanthropique privée sous l'oeil bienveillant de Boumédienne-Abdessalam-Ghozali ?
    La Sonatrach, ce mastodonte harnaché par les stratèges économiques et financiers de l'école "industrie industrialisante", a marqué l'histoire  de l'Algérie de son pas pesant, qui a inévitablement  réveillé des convoitises et des infortunes au sein de l'entreprise. Que Bouteflika soit parvenu à dompter la bête, il n'y a aucun doute, et les réserves en devises sont là, pour l'attester et réfuter toutes accusations diffamatoires à son égard. Que la bête ait des sursauts  d'orgueil lorsque maltraitée par ses écuyers et garçons d'étable provoque des accidents et des dégâts. Ce personnel formé aux méthodes révolues de l'ancienne écurie est seul responsable de la catastrophe. Il doit être radié comme l'ont été leurs mauvais maîtres.
    Bouteflika, héritant de  40 ans de la gabegie de nos révolutionnaires de salon, est comme la  coutume le veut chez nos média "des droits de l'homme et de la femme", et les "forces subversives occultes", ciblé par la campagne.
    Le "tir par ricochet", une nouvelle arme de destruction massive à l'essai aux mains des militants "des libertés et de la société permissive décadente", montés sur leurs chevaux de Troie Rothschildien.(voir ci dessus la belle leçon de morale qu'on enseigne dans les écoles humanitaires kosher. Les Kissinger, Soros et Breijzensky en sont les majors de promo !)
    Entre-temps,.................. la caravane passe, toujours.

    Blog Sauve qui peut.
    «Lorsque j’ai lu cet article du 21 juillet sur l’arrestation de cinq rabbins orthodoxes de New York et du New Jersey, en compagnie d’une quantité de fonctionnaires du New Jersey, cela m’a fait penser à mon cousin Harry. A l’instar de Harry, une personne soignée, au visage rasé de près et laïc, ces dirigeants religieux, portant une longue barbe, un costume noir, et accompagnés d’un cercle de politiciens, étaient devenus des escrocs professionnels. Ils s’étaient engagés dans le blanchiment d’argent à grande échelle et les opérations illégales de commerce d’organes, en plus de la vente de faux sacs Gucci et Prada et toutes sortes de contrefaçons. Ce réseau de haute volée opérait avec des rabbins de Brooklyn et du New Jersey, qui blanchissaient des dizaines de millions de dollars par l’intermédiaire d’œuvres caritatives qu’ils contrôlaient.»
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    Etats-Unis-Samedi 25 juillet 2009.Corruption: le thriller du New Jersey.Une quarantaine de personnes dont de nombreuses personnalités ont déjà été arrêtées. (AFP)
    Maires, officiels, rabbins, un banquier suisse: le FBI vient de dévoiler une gigantesque affaire de corruption et de trafic d’organes.Echange d’enveloppes dans les parkings; maires corrompus; respectables synagogues servant à ­laver l’argent sale. Toutes les composantes d’un thriller politico-criminel sont réunies dans la gigantesque affaire de corruption que viennent de dévoiler les agents du FBI dans le New Jersey et à New York. Même un trafic d’organes s’étendant jusqu’en Israël. Et même l’intermédiaire d’un banquier suisse.Blog Sauve qui peut.
    Oubliez Chicago! Depuis des années, le formidable boom immobilier découlant de sa proximité avec New York a fait du New Jersey le royaume des corrompus. C’est de notoriété publique, et en dix ans le nombre d’arrestations se comptait déjà par dizaines. Mais pour attirer les gros poissons, il fallait aux agents fédéraux un appât plus conséquent.
    Jeudi, il a fallu apprêter des autobus, tant Dwek (36 ans) a montré de talent pour mettre ses interlocuteurs en confiance: 44 personnes arrêtées, dont des maires, des responsables municipaux, des inspecteurs publics et cinq rabbins. Plusieurs des hommes politiques épinglés, aussi bien démocrates que républicains, venaient à peine d’être élus. Et pratiquement tous avaient remporté leur course électorale avec un seul thème de campagne: la lutte contre la corruption.Blog Sauve qui peut.
    L’assurance d’obtenir un déclassement de zone pour construire un vaste projet immobilier? Acquise contre 5000 dollars offerts à Peter Cammarano, qui allait devenir maire de la petite ville de Hoboken, en face de Manhattan, en juillet dernier. «Vous pouvez avoir confiance en moi, lui a répondu l’officiel. Vous allez être traité comme un ami.» Besoin de «laver» des centaines de milliers de dollars provenant d’activités douteuses? Les rabbins de Brooklyn (un district de New York) ou de Deal, dans le New Jersey, ne posaient pas de questions: ils acceptaient le chèque au bénéfice de leurs œuvres de charité, puis ils rendaient l’argent cash, amputé de 10% de commission.
    Suivi pas à pas par une équipe d’enquêteurs, qui filmaient souvent la conclusion de ses marchés, Solomon Dwek a continué de pénétrer les méandres de cet Etat qui ont inspiré la fameuse série télévisée des Sopranos. Poussant plus loin sa mise en scène, le FBI a flanqué l’informateur d’une agente, censée être sa secrétaire. Son oncle était gravement malade, disait-elle, et avait besoin d’une transplantation de rein. Levy-Izhak Rosenbaum, un homme d’affaires de Brooklyn, s’est porté volontaire: il achèterait l’organe, a-t-il promis, pour 10 000 dollars à un Israélien nécessiteux. Et il était prêt à le revendre pour 160 000 dollars. Selon les documents des enquêteurs, l’homme a assuré qu’il procédait à ce genre de trafic d’organes «depuis des années».
    Il semble qu’une bonne partie du circuit mis en lumière par Solomon Dwek passait aussi par Israël. Le FBI a laissé également entendre qu’un «banquier suisse», dont l’identité n’a pas été révélée, se chargeait de faire transiter l’argent.
    «Tout cas de corruption est inacceptable, n’importe quand, n’importe où, et par n’importe qui», s’est exclamé le gouverneur démocrate du New Jersey Jon Corzine. Mais l’un de ses adjoints, également visé par l’enquête, s’est vu obligé de démissionner avec effet immédiat. Ironiquement, c’est l’ancien rival républicain du gouverneur, Chris Christie, qui avait mis sur les rails cette enquête au temps où il était encore procureur fédéral. Dépeignant un Etat corrompu jusqu’à la moelle, Christie n’avait pas réussi à convaincre les électeurs. Aujourd’hui, l’ampleur de cette affaire a, pour lui, comme un agréable goût de revanche.     

    Gilad Atzmon sur l'affaire des rabbins trafiquants d'organes

    «Certes sur les 44 personnes arrêtées, il n'y a que 5 rabbins, mais vantards, et pas le moins du monde gêné  si l'on pense aux propos de Rosenbaum. Intéressant d'avoir l'avis de Gilad Atzmon qui combat ce qu'il qualifie de pathologie israélienne depuis un bon moment, rejoignant en cela Avraham Burg lorsque celui-ci décrit les israéliens comme des brutes.»

    Gilad Atzmon - Time to Talk about the Rise of Jewish Crime?


    ISRAËL USA - UNE AFFAIRE DE CORRUPTION TOUCHE PLUS DE 40 PERSONNES, DONT DE NOMBREUX RABBINS, AUX NEW -JERSEY ET ISRAËL
    Une quarantaine  de personnes dont de nombreuses personnalités ont déjà été arrêtées.  (AFP)


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  • Commentaires

    1
    Chekfaftis
    Vendredi 28 Septembre 2012 à 17:05

    Avec tous les respects que je dois témoigner à des hommes comme S. Hessel, tous les S. Stéphane Hessel de la planète, y compris ceux d'Israël qui sont une réalité (ils n'y sont pas très nombreux et ils ne le seront jamais à en juger par les Décrets pris par Dieu à l'encontre des juifs banouqoraïdites ou pharisiens dans la Bible - Deutéronome, Psaume ou Evangile de Jean et bien évidemment dans le Livre qui les rappelle et les confirme sur ce point en particulier, le Coran), tout ce qui a été développé sur les agissements des juifs sur ce site est on ne peut plus vrai quand on considère leurs attitudes de traitres ignobles en Algérie et celles qu'ils adoptent partout où il se trouvent dans le monde à l'égard du drame de la Palestine. Ils n'ont d'ailleurs pas le Choix car ils sont tenus de dominer le monde ou de disparaitre parce que Dieu les a aveuglés et maudits jusqu'au Jugement dernier. Ils le sont et ils le savent. ils ne changeront jamais.  Sans prise sur les croyants musulmans véritables qui s'accrochent au Message malgré leurs déchirements souvent sanglants, ils se sont rabattus sur seul outil facile à maitriser pour atteindre leurs objectifs : les pays à majorité judéo-chrétiens où évoluent des êtres comme Alain Finkielkraut résolus à poursuivre leur rébellion contre leur Créateur.

    Mais vous vous méprisez sur Bouteflika. Ils n'est rien de ce que nous subissons aujourd'hui en Algérie et plus largement dans le monde arabe dont il ne soit la cause totale ou, quoique rarement, partielle.

    Relisez votre texte et vous ne manquerez pas de relever de monumentales contradictions quand vous savez qu'il est l'un des artisans de ce que vous appelez le "socialisme spécifique" et la gabégie de révolutionnaires de salon". Tous ceux que vous avez cités ne sont ni plus ni moins que ses émules et d'abord ses élèves. Je ne pense pas qu'il soit utile de rappeler que le 17.4.2006, à Constantine, il s'était explicitement désigné comme "l'un des concepteurs" du régime qui sévit en Algérie, affaiblissant du même coup les pays arabes et réduisant par conséquent l'immunité des peuples arabo-musulmans pour le grand bonheur du sionisme et d'Israël.

    Oui, le "désastre dont il "hérita" en 1999, et de sa responsabilité, plus en tout cas ne qu'il ne l'est de celle de Chadli qui passa sa carrière de Chef de la deuxième région militaire à jouer aux cartes dans les grands hôtels d'Oran.

    Allaoua Cherfi.

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