• Les déboires actuelles de l'Union Européenne mettent en doute l'authenticité du "miracle" opéré par les pères fondateurs de la construction européenne, Jean Monet (juif-talmudiste) et Robert Schuman (crypto juif).
    Les deux "Nouvel-Ordre-Mondialistes"  ont été dévoilés (Lien)  comme agissant officiellement pour l'union de l'Europe, sous l'instigation secrète  et directement financés par les services américains de la subversion juive, services communément appelés "CIA".Le "Miracle" en question réfère à celui du procès initié par le Vatican pour béatifier "Saint Schuman". Oui en faire un saint ! Selon les prérogatives des autorités de  l'Église catholique siégeant au Vatican. Le lien «u-p-r.fr» offre en téléchargement l'E-book au format PDF dont la couverture est reproduite ci-dessus. L'affaire résume en fait l'état de débilité et le ridicule à son apogée, du coté Vatican, et le mépris arrosé d'arrogance envers les esclaves chrétiens, du coté des dictateurs juifs.
    On peut à distance entendre les ricanements des talmudes aux commandes de ce coup de propagande, en train de se féliciter de leur ingéniosité à manipuler les plus hautes sphères du catholicisme en leur proposant un de leurs agents, des plus efficaces, pour adoration.
    "Saint Schuman béatifié", est le symbole de l'humiliation que la vendetta juive (contre Jésus et ses adeptes)  perpétue contre l'Église. Sûrs de leur pouvoir de dictateurs, les prédateurs talmudistes ne cachent maintenant plus leur stratagème: imposer aux pays conquis et colonisés d'Europe l'adoration aveugle de ces coreligionnaires, agents promus par leurs bons soins en personnages historiques et transformés en vénérables figures religieuses !
    Là est le miracle !
    Pendant ce temps un regard discret dans les antichambres de réunions des suprémacistes kosher nous ferait découvrir les conspirateurs, renversés sur le dos et se marrant de la crédulité des goyim chrétiens. «On peut décidément tout leur faire, les piller en leur dérobant leur argent, les envoyer à la boucherie comme chair à canon, leur faire supporter les frais des guerres que nous déclarons, les accabler de notre corruption de leurs mœurs, déshonorer leurs filles dans nos circuits commerciaux pornographiques, leur faire endurer tous les maux que nous confectionnons dans nos laboratoires, ils finissent par nous adorer et nous dresser des statues en reconnaissance !!»
    N'oubliez surtout pas de remplir le formulaire de "prière" diffusé par le site "www.robert-schuman.com", dont copie ci-dessus:
    Notez le sarcasme juif en arrière-plan, concluant ce canular du miracle de Saint Schuman qualifié de «disciple de Christ en politique»!
    Également: «il est possible de demander l'intercession du Seigneur, par internet directement en cliquant sur....».
    N'oubliez pas de reporter toute guérison miraculeuse que cette intercession schumanesque vous aurait procurée, ça ajoutera des bons points pour activiter sa béafication !
    L'ironie à son apogée, ou mépris à son zénith ?

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  • -Chapitre 4-
    Introduction: Un Rappel pour qui souhaiterait s'éduquer. 
     Le "Pouvoir de l'ombre" réfère au groupe occulte des  banquiers juifs les plus puissants de la planète et des organisations regroupant leurs mercenaires sous différents sigles et dénominations, les loges franc- maçonniques en sont les plus représentatives. Par mercenaires il faut entendre tous les "idiots utiles" recrutés au sein des loges maçonniques par la technique classique du miroitement de privilèges matériels multiples, encensés de dogmes philosophiques, politiques, humanitaires et religieux. La littérature exhaustive sur le sujet étant disponible sur le Net, le PC le plus proche muni d'une connexion internet, vous fera découvrir l'étendu de ce paradigme du monde parallèle secret, dissimulé par la "vitrine officielle", celle de la vie publique des acteurs de cette nébuleuse, qui offrent en  spectacle leur mimique aux communs des mortels, à travers les rôles que leur assigne la "hiérarchie". La populace croit observer la réalité à travers ce théâtre planétaire, virtuel et irréel, dissimulé par une succession de réalités autres que celle qui est projetée et inculquée dans l'esprit (via éducation, endoctrinement, conditionnement).  La réalité  est subtilement enfouie sous plusieurs "strata" de paragdimes, et est accessible une fois "décryptée",  uniquement par les membres initiés au degré hermétique correspondant. La base de la "Fraternité" est recrutée par l'adhésion à un "dénominateur commun" de valeurs,  énoncées dans le Sermon, basé sur quelques principes utopiques qui sont érigés en règles inviolables, les trois utopies "Fraternité-Liberté-Égalité", l'entre-aide, la laïcité-tolérance, etc..( voir entre autres, Lien, Lien , Lien, ou téléchargez pdf ici). Les franc maçons, "instruments à corde" de leurs manieurs-musiciens juifs découvrent l'abondance des bienfaits terrestres par leur appartenance aux loges et associations: finance, gloire, statut social, opportunités, promotion professionnelle et académique, etc,.. (consultez les écrits des historiens "négationnistes", sites de l' AAARGH ou recherchez  Nouvel Ordre Mondial sur Google. La documentation volumineuse traitant des conspirations en général, permet d'ouvrir les yeux sur ce qui se trame dans les coulisses des organisations internationales secrètes à "visibilité" publique trompeuse, les ONG, les fonds, les regroupements régionaux, la hiérarchie religieuse, etc...
    Notons que ces franc-maçons occupent l'éventail de toutes les classes sociales et les activités de nature diverse, académique, religieuse (clergé), culturelle, médiatique, politique et économique.

    La franc-maçonnerie brasse dans toutes les professions sans distinction, avec seul critère le potentiel  des services pratiques que les adhérents peuvent rendre à l'organisation, à un moment opportun. Le coté occulte, obscure, satanique,  ne leur est jamais dévoilé. L'illusion de leur élitisme, les euphémismes, le mensonge et l'abus de confiance de la "populace", consolident leur "fraternité". Comme les vaux qu'on engraisse, il ne leur ait jamais fait mention du sort que leur gloutonneries diverses, matérielles ou "intellectuelles", leur réservent inexorablement, le couteau du boucher. Comment ? Par leur rôle d'animaux de trait qu'on motive par le "bâton et la carotte" respectivement :
    -le chantage résultant de leur compromission (inévitable) et leur sermon,
    -et les privilèges que leur accordent l'entraide fraternelle (le racket organisé et déguisé, des avantages
    illégitimes et honneurs préférentiels ). Coincés comme des rats, ils perdent en fait leur liberté et deviennent esclaves de leurs maîtres et ultimement de leur "architecte", Satan-Lucifer. Ceux d'entre eux qui découvrent leur perdition, sont tellement addictés aux privilèges qu'ils ne trouvent aucun remède à leur dépendance, préfèrent noyer leurs regrets dans l'ivresse de la gloire et les excès des jouissances. Élucider les implications d'une telle organisation sur les intérêts des pays où elle est présente et les exposer, est l'objet d'études exhaustives effectuées par des centaines d'historiens et de militants, dont le travail de recherche est disséminés sur le Web. Leurs publications-études sont généralement librement et gratuitement disponibles.
    L'origine de ce complot est située au niveau supérieur de la hiérarchie, les banquiers et certaines membres de la royauté européenne, tous réunis au sein des "
    Illuminati", le culte satanique œuvrant à l'établissement du Nouvel Ordre Mondial Juif, une tyrannie planétaire au pouvoir sans partage.

    (Remarque identique : tous les détails traitant du sujet sont disponibles sur le Web.)
    Les média tenus en laisse, perpétuent la déception en idéalisant l'image de cette élite corrompue,  leur perdition morale est convertie en illusion d'un gage de "réussite" et de promotion à une classe sociale supérieure.
    ___________________________________________________
    Dans ce qui a précédé, la première étape à franchir a été de citer les agents présents sur la scène historique de ce début de colonisation, et la deuxième sera d'en donner quelques exemples.
    La Société de Geographie de Paris (SGP): véritable centre occulte de collecte d'information, d'intelligence diverse, et d'espionnage,  créé par les banquiers juifs recruteurs  de missionnaires.
    Le mythe du bon samaritain: Charles Eugène de Foucauld de Ponbriand.
    Un jésuite de confession catholique (voir biographie Lien Wiki), qui malgré une indépendance financière héritée de ses grands parents, sillonna l'Afrique du Nord et le Sahara en grand aventurier et "explorateur". Sa vie est remplie d'expériences personnelles vouées aux pratiques condamnables, les mauvaises mœurs, une jeunesse débauchée, une participation d'officier militaire aux guerres de génocide de l'occupant français en Algérie, à l'agnosticisme, et une confession-conversion religieuse douteuse et opportuniste. Il est recyclé  dans l'espionnage une fois initié par Oscar Mac Carthy de la SGP, qui le met en contact avec le Rabbin  Mardochée Aby Serour (personnage décrit au chap.5). Notez les ramifications et réseaux tissés autour de la SGP, le fief parisien de la franc-maçonnerie et du judaïsme. 
    Objectifs assignés à ces missionnaires: 
    -les relevés "géographiques", de toute l'étendue de l'Afrique du Nord et du Sahara. Survolons les détails de l'œuvre "foucauldienne", marquée par son ascétisme au service de l'Église, de son patriotisme envers la France et de son approche personnelle de la colonisation masquée de sa frauduleuse mission "civilisatrice". Il dissimule derrière ses spéculations métaphysiques et sa confusion religieuse, l'absence de remords pour sa participation aux génocides des militaires, et compromet sa "repentance" en abusant de la confiance et de l'hospitalité des naïfs et tolérants autochtones. Les indigènes par leur mœurs paisibles se prêtaient aux manigances, mais leur lucidité et leur conviction religieuse les protégeaient des missionnaires qu'ils les poursuivaient inlassablement de leur prosélytisme. Armé de ses connaissances, de son expérience et de sa culture, Foucauld s'obstine à vouloir convertir ses hôtes crédules et ingénus. Vaine et futile est la tentative de notre aventurier dans sa mission d'évangélisation. Allah le Tout Puissant ayant abrogé tous les dogmes corrompus par les interprétations et spéculations des hommes, il a dicté l'inaltérable Coran, le recueil final de tous Ses Commandements devant accompagner l'humanité jusqu'au Jugement Dernier.
    Extraits de la biographie de ce missionnaire. (après maintes traversées du désert découvre la source divine - l'Islam - mais est fatalement privé de son breuvage, les yeux voilés par une stérile et illusoire "quête spirituelle".)

      -«Au mois de juin(1902), devant l'impossibilité de se rendre au Maroc, il confie à l'abbé Huvelin, à Mgr Laperrine son projet d'évangéliser le pays touareg 
    -«À la fin de l'été, il va porter secours aux soldats blessés dans les combats de Taghit et d'El-Moungar. Il rédige une petite introduction au catéchisme qu'il intitule l'Évangile présenté aux pauvres nègres du Sahara.»
    -«Accompagnant des colonnes de militaires qui nomadisent à travers le désert, il prend contact avec les populations du sud ou du Sahara central. Son périple le mène de Béni-Abbès à Adrar, In Salah, Aoulef, el Goléa, et Ghardaïa. Durant les marches il apprend le tamachek (idiome des Touaregs) et entreprend une traduction de l'Évangile en cette langue.» 
    -«Lors de son retour de Béni-Abbès en septembre 1906, le général Lyautey vient lui rendre visite. Durant toute cette période d'ailleurs, il reçoit souvent des officiers français avec lesquels il a des échanges très fructueux 
    -«Il travaille jusqu'à onze heures par jour à des travaux linguistiques qui l'absorberont jusqu'à sa mort : rédaction d'un lexique, qui deviendra peu à peu un monumental dictionnaire touareg-français ; transcription, traduction et commentaire de poésies touarègues (six mille vers en tout), travail qu'il n'achèvera que le 28 novembre 1916, trois jours avant d'être assassiné.»
    -«En septembre 1914, à la nouvelle de la déclaration de guerre en Europe, il écrit à sa cousine Marie, après de multiples débats de conscience : « Vous sentez qu'il m'en coûte d'être si loin de nos soldats et de la frontière : mais mon devoir est, avec évidence, de rester ici pour aider à y tenir la population dans le calme ». 
    -En 1915, Laperrine le décrit ainsi :«  (...) Son influence personnelle est très grande. L'Amenokal des Touaregs Hoggar, Moussa ag Amastan, ne prend pas une décision importante sans le consulter, et il a ramené à nous par la persuasion beaucoup d'habitants. Les adolescents et les enfants touaregs en particulier ont absolument confiance en lui.»
    -«Charles de Foucauld est convaincu que l'évangélisation passe par le respect et la compréhension des cultures dans lesquelles il vit. De nombreuses fois il déplore la connaissance superficielles et l'irrespect tant de missionnaires que des membres de l'administration française. La principale difficulté à la connaissance des Touaregs est la langue. Charles qui espère sans doute voir venir des nouveaux frères dans sa fraternité, écrit alors un lexique, puis des éléments de grammaire, un dictionnaire des noms de lieux. Il recueille des textes et des poésies, véritable encyclopédie du Hoggar et des Touaregs et plus généralement des Berbères.» 
     «Reconnaissance du Maroc, journal de route du voyage entrepris par Charles de Foucauld au Maroc en 1883-1884.:«Écrit dans un style très sobre, ce journal est une mine d'informations ethnologiques, géographiques, linguistiques et historiques. Cet ouvrage vaudra à Charles de Foucauld la médaille d'or de la Société de géographie de Paris 
    -«Vision de la colonisation:  La colonisation française est portée principalement par les idéalistes laïcs, comme Léon Gambetta, Jules Ferry qui considèrent avoir le « devoir de civiliser les races inférieures », certains entrepreneurs, avec par exemple le Canal de Suez, et les missionnaires chrétiens. La colonisation est d'autant plus recherché qu'elle constitue un remède provisoire où « la génération de Charles de Foucauld trouvera un moyen d'exprimer son patriotisme.» 
    -«Charles est donc d'accord avec la colonisation française. Néanmoins il se distingue de la plupart des autres français par son intérêt profond pour le monde arabe et l'Islam (tant par son travail de géographe dans Reconnaissance au Maroc, que ses études et le dictionnaire Touareg-Français).» 
    Résumé: Il est clair même pour les plus naïfs, que les expériences mystiques de l'évangéliste Foucauld ne l'ont pas pour autant libéré de son engagement de colonialiste prédateur. Sauf que ses proies ne sont plus les indigènes prisonniers de la colonisation, mais leur âmes. La proliférations d'établissements religieux,  les "Petites Sœurs de Jésus" et les "Union des Frères et Sœurs du Sacré-Cœur" (Association de laïcs vivant dans le monde !), allait sournoisement permettre de capturer quelques démunis et les endoctriner. Le prosélytisme enrobé de service "humanitaire" (éducation et santé) tentera quelques victimes égarées, que les privations et l'oppression du colonisateur  livrera au purgatoire du paganisme chrétien. Quelle perte pour la religion de l'unicité de Dieu au profit du culte (satanique) de l'Église,  dogme stigmatisé par les innovations et manipulations historiques, œuvre d'inconscients serviteurs de Satan combattant Dieu et sa dernière révélation, l'Islam ( la religion de Jésus-Sidna Aissa  et des Prophètes).
     Notez la bonté du musulman :
     -«Touaregs vouent rapidement une vénération au « Frère Charles de Jésus », encore qu'une femme confiera plus tard qu'elle et ses compagnes ne cessaient de prier Dieu pour que l'ermite se convertisse à l'islam, désolées qu'un homme si saint fût promis à la damnation éternelle.2»
    Preuve de leur mensonge et de leurs intentions frauduleuses, ces prosélytes sont insouciants face à la faillite de leur religion décadente au sein de leur société d'origine, société marquée par la dégénérescence humaine, morale et religieuse qui "dévore" ses citoyens !  Vains furent leurs efforts et les moyens mobilisés, devant la fermeté de la foi des Musulmans, foi nourrie de convictions inébranlables et d'arguments irréfutables, non de mythologie.
    Dans une correspondance à la fin de 1913, Foucauld écrit, mettant une fois encore ses convictions erronées à nu :
    «Nous entendons par infidèles, non pas les non-baptisés d'Europe et d'Amérique, ni les Israélites, mais les Musulmans, les idolâtres, les sectateurs des fausses religions de la Chine, du Japon, de l'Inde, etc.»
    Les adeptes de cette religion en faillite reviennent sans cesse, aujourd'hui encore, tenter une nouvelle offensive, ignorant leur expérience passée et les défaites multiples enregistrées durant les mésaventures des Croisades. Preuve de leur religiosité pervertie, ils gratifient les "Israélites" d'une promotion au rang de "fidèles"(Sic), pour toutes les insultes qu'ils professent dans le Talmud à l'encontre de Jésus et Marie. Paradoxalement, les Musulmans sont dénigrés "d'infidèles" malgré leur profond respect et leur dévotion à Sidna Aissa le Messager d'Allah, et à sa mère, la vierge Mériem !!  Ceci dévoile, au sein de la laïcité-fraternité maçonnique, la collusion de tous ses membres avec les banquiers juifs d'alors et par extrapolation objective, ceux d'aujourd'hui . Car ce sont les usuriers de l'ombre, experts des conflits "par proxy", qui mobilisent les hordes de mercenaires armés de leur Croix ("idiots utiles" du Nouvel Ordre Mondial Juif ) dans les campagnes d'évangélisation qui harcèlent notre région.  Nous verrons dans chap.5,  une autre méthode d'ingénierie sociale destinée à produire des zombies manœuvrables à volonté, mobilisés dans le cadre de stratégie subversive formulée par l'équation :
    "thèse-action"+"antithèse-réaction"=>   "synthèse-solution-ingérence". 
    Lisons l'analyse détaillée de Ken Adachi (au Lien ) dans laquelle il reprend le thème développé par les experts et les critiques de la subversion mondialiste, opérée par la dictature judéo-talmude et dirigée par les Illuminati :
    «La technique est la suivante: les stratèges Illuminati créent le problème par le financement, l'assemblage, et la formation d'une opposition «groupe de stimuler la tourmente dans un pouvoir politique en place (pays souverain, région, continent, etc) sue lequel ils souhaitent empiéter et donc de créer des factions opposées dans un conflit que les Illuminati ont eux mêmes fait surgir. Durant les dernières décennies, ce qu'on appelle groupes «d'opposition» sont habituellement identifiés dans les médias en tant que "combattants de la liberté" ou "libérateurs" (récemment, le KLA-Armée de libération du Kosovo). 
    «Dans le même temps, le chef du pouvoir politique en place, où le conflit est orchestré est diabolisé et au signal donné, dénommé "nouveau Hitler" (faites votre choix: Saddam Hussein, Milosevic, Kadaffi, etc.) Les "combattants de la liberté"sont souvent assemblés à partir d'élément criminels locaux (KLA, les trafiquants de drogue). Avec un vrai esprit de ruse machiavélique, les stratèges du NWO sont également, en secret impliqués dans l'armement,  et  les conseillers du chef du pouvoir en place; ainsi les Illuminati tirent tous les bénéfices provenant de tout conflit, par les crédits pour l'armement, et en fournissant toutes les parties impliquées dans la guerre).»
    «Le conflit est promu sur la scène mondiale grâce au contrôle des médias et par une marée de photos et de reportages audiovisuels sur les atrocités horribles et sanglantes subies par les civils innocents. Le cri monte "Quelque chose doit être fait!" Et c'est la réaction souhaitée (note: la même technique est actuellement utilisée pour imposer le contrôle des armes aux États-Unis).» 
    «Les sous-fifres du  NWO  fournissent ensuite la solution en envoyant des "soldats de la paix des Nations Unies" (Bosnie) ou des "troupes terrestres de la Coalition des Forces de l'ONU  (guerre du Golfe) ou les "bombardiers  de l'OTAN" (Kosovo). Une fois installés, les soldats de la paix ne quittent jamais les lieux (Bosnie, Kosovo). L'idée est d'avoir des troupes au sol du NWO contrôlant les principaux pays ou zones stratégiques, où une résistance importante à l'emprise du Nouvel Ordre Mondial est susceptible de surgir.»

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  • -Chapitre 3-
    Existe-il un antagonisme entre l'Arabe et le dialecte Amazigh ? 
    En complément du chapitre 2, la question énoncée dans le titre de ce chapitre  nous dirige vers l'étude de la nature et relation entre ces langues. Une fois l'Islam adopté en Afrique du Nord chaque idiome remplit une fonction particulière, l'Arabe comme langue du Coran (donc primordiale pour la religion) et du savoir, le Berbère-Amazigh celle de la communication orale et véhicule de la culture et des traditions populaires. Les deux langues s'appropriant des caractéristiques géographiques et des formes dialectales régionales multiples. Elles cohabitèrent harmonieusement et furent préservées dans le temps grâce à leur rôle respectif, collectivement accepté et n'engendrant ni conflit, ni animosité. Seuls des stéréotypes populaires se collèrent sous forme de surnoms ou sobriquets, la plus part du temps sans sous-entendu racial ou sectaire. L'islam étant le ciment consolidant la nation et stratifiant les valeurs et mêmes les classes sociales, dont le statut s'échelonnait selon l'appréciation collective de la vertue et du savoir, de l'intégrité morale et de probité religieuse. Les Saints étaient vénérés, indépendamment de leur origine régionale ou  ethnique, pour leur droiture, leur foi exemplaire et leur sagesse.  Les "Chorfas" ou "Sharifs" pour leur affiliation au Prophète (ASWS), paradoxalement, même des tribus entières de "chorfas" avaient pour idiome de comunication unique le Berbère, tout en gardant un sens de la citoyenneté musulmane inébranlable.  Harmonie et entente scellèrent le pacte d'alliance des membres de cette communauté et les unirent dans les grandes réalisations historiques qui marquèrent plusieurs siècles de l'humanité. Dans le besoin, cette unité s'exprimait dans la défense du pays et de le l'Islam. Les divisions existaient que dans le cadre de divergences politiques, économiques ou parfois religieuse (rites), jamais ethniques ou raciales. Comment d'ailleurs pouvait-il en être différent lorsqu'on observe le tissu ethnique de la société présente à l'arrivée de l'Islam et des Arabes, et le brassage des peuples qui s'était opéré durant des millénaires et qui s'amplifia avec l'expansion de la dernière religion révélée. L'islam prêchant impérativement l'adhésion sincère à la foi et au respect des lois, comme attributs nécessaires à l'individu qui aspirerait au privilège de noblesse récompensant ceux qui craignent Allah, indépendamment de la race ou de l'origine. C'est ce caractère universel de l'Islam qui a été, et demeure, la force motrice de son expansion.  Malgré la corruption de ce principe par les souverains dont la préoccupations étaient parfois trop mondaines, la majorité des nord africains reconnaissaient la prédominance du caractère religieux sur toutes autres considérations. Ceci jusqu'au 19em siècle et l'arrivée de la colonisation, qui allait initier ses projets de remodelage de la société, par les moyens qui seront revus dans la suite de l'article.
     
    A partir de 1789, débute la prise de pouvoir, par les juifs et leurs mercenaires franc-maçons, de la France royaliste, et parallèlement de l'Europe. De l'Espagne contrôlée par les Marrenos (crypto juifs feignant la conversion au Christianisme), de l'Angleterre subjuguée par les Rothschild, les changements historiques prennent une nouvelle tournure pour l'Afrique septentrionale pour laquelle sonne le glas de la colonisation. L'Afrique du Nord, obstacle à la domination juive en Méditerranée et province lointaine de l'Empire Ottoman (qui était la cible ultime, par le démantèlement du Khalifat musulman, sous l'instigation de l'éternel conspirateur et de leurs sous-fifres maçonniques), allait subir les méfaits des complots juifs.
    Comme le démontrent les historiens modernes non-conformistes (qualifiés de révisionnistes par les pouvoirs dominants juifs et leurs suppôts médiatiques), la colonisation est le fruit des ambitions démesurés des banquiers juifs, qui motivés par leur cupidité insatiable, allaient planifier cette entreprise criminelle en la fardant d'utopies et parfois de ferveur religieuse chrétienne. L'esclavagisme, les génocides et les spoliations territoriales devenaient dogme religieux servant la mission civilisatrice de l'Occident. Toutes menées au profit des banquiers juifs, ces nouveaux oligarques qui avaient soit détrôné la royauté européenne, l'avait infiltrée par des alliances diverses et  l'inter-mariage, ou avait corrompu ses vassaux. Instaurant des régimes "démocratiques" et laïques, monopolisant graduellement les média, ils prennent en main  les destinées de ces nations, rédigeant les lois et les votant dans les hémicycles parlementaires burlesques, vitrines de la démocratie-écho des décisions prises par les pouvoirs occultes.  
    Comment procéder et œuvrer, après la victoire militaire, à la consolidation de la domination et perpétuer l'exploitation de ces territoires nouvellement conquis ? C'est cette mission qu'entament les missionnaires mobilisés officiellement par le ministère de la guerre, et occultement par les membres des sociétés maçonniques sous les ordres de leur hiérarchie, l'oligarchie juive-talmude regroupant les banquiers et leurs alliés-coreligionnaires.  Le contrôle par la franc-maçonnerie de l'administration civile et militaire française en Algérie, dés 1831, a été relevé  dans "chap.1" et appuyé par l'extrait d'un texte publié au lien (loges), il prépare le terrain à la prédation juive. Illustrons les procédés utilisés à travers l'examen de Oscar Mac Carthy:
    «Oscar Mac Carthy (1825 - 1913) est un géographe et explorateur d'origine irlandaise. Il fut l'un des premiers explorateur de l'Algérie, allant presque jusqu'à Tombouctou. Il dirigea la Bibliothèque Nationale d'Alger de 1869 à 1890.»
    Dans une étude exhaustive "Géographie de l'Algérie", qu'il rédige «chargé par le ministère de la Guerre, d'une mission d'exploration des territoires algériens», ce «correspondant du ministère de l'Instruction Publique pour les travaux historiques, membre de la Société Historique d'Alger, de la Société Archéologique de Constantine, etc, etc, etc,..., de la Société de Géographie de Paris (1)..» 
      Au début le prétexte:
    « Il y a quinze ans que la France a accompli  une grande et  noble action de plus. Depuis trois siècles un ramas de forbans, sorti de l'écume de l'empire turk, osait faire la loi à l'Europe entière, aux premières nations du monde. Elle a mis un terme à ce honteux scandale; elle a, de plus, vengé l'humanité sans cesse violée dans ses principes les plus sacrés. Mais là ne devait pas s'arrêter l'œuvre qu'elle venait de commencer si glorieusement. Tout se tient dans la marche incessante de la civilisation; elle ne saurait rien entreprendre d'isolé, d'incomplet, sans manquer au plus impérieux des devoirs que lui impose sa mission.»
     Il nous dévoile enfin ses objectifs et sa mission, contractés au prés "des hommes dont la bienveillance nous honore, dont l'amitié nous est précieuse":
    «On ne marche hardiment aux destinées qui vous sont promises qu'alors qu'on s'est apprécié dignement. En occupant l'Algérie, cette région que Rome regardait jadis comme sa plus belle conquête, nous découvrîmes, non sans quelque étonnement, qu'elle nous était presque inconnue. On nous a vu alors faire ce que nous avions déjà exécuté tant de fois, on a vu la guerre servir à l'agrandissement de la science; quinze années de combats ont été aussi quinze années d'études, de recherches en tous genres qui se poursuivent encore sans relâche. La géographie a eu la plus large part dans cette investigation, et cela devait être le point de départ de toute appréciation d'un pays, c'est à elle que l'on rapporte tout, parce que c'est elle qui se lie le plus intimement à l'étude dés sociétés humaines. Depuis le moment où l'orgueilleuse ville des Barberousse nous ouvrit ses portes, chaque jour, chaque année ont été signalés par de nouvelles acquisitions, et actuellement l'Algérie nous est connue dans son ensemble, ici autant qu'elle peut l'être, là d'une manière satisfaisante sinon complète. Il est vrai que les matériaux par lesquels on peut arriver à cette connaissance sont ou trop volumineux ou sans liaison et presque toujours inaccessibles à ceux auxquels ils seraient le plus nécessaires. Il fallait les résumer pour leur donner toute leur utilité, toute leur valeur. Prenant un à un tous les ouvrages publiés jusqu'à ce jour sur l'Algérie; guidés, dans une étude qui nous ait devenue familière, par une critique consciencieuse, nous les avons analysés de manière à leur demander tout ce qu'ils pouvaient nous dire. De cette analyse approfondie est sorti une nomenclature aussi riche que variée, à laquelle sont venus se rattacher naturellement tous les détails géographiques, économiques et politiques qui pouvaient lui donner de l'intérêt; la description du pays et de ses grandes divisions physiques et administratives, celle des villes et de toutes les autres localités, marabouts, sources, routes, marchés, ports, montagnes. vallées, plaines, etc. des notices sur toutes tes tribus (au nombre d'environ 1200) et leurs fractions, leurs forces matérielles, leurs ressources; des études sur les diverses races; des recherches sur l'état ancien du pays, sur tous les points cités par les écrivains de l'antiquité, des notions étendues sur les moeurs, les coutumes, les langues, les religions, le gouvernement, l'administration, les lois, les monnaies, l'industrie de l'Algérie; ses relations commerciales avec les régions voisines, Maroc, Tunis, le Sahara, l'Afrique centrale l'Europe etc. Un lexique de tous les mots employés dans la géographie géographie algérienne, une introduction développée, des tables chrono logiques complètent ce vaste ensemble.».  «Dans ce long travail nous avons été puissamment secondé par des hommes dont la bienveillance nous honore, dont l'amitié nous est précieuse et auxquels nous avons témoigné tout ce que nous devons. En outre pas un mot dont l'origine soit cachée, pas un fait dont l'auteur ne soit cité. C'était le seul moyen de donner à notre œuvre ce caractère sérieux qu'elle devait avoir. Nous l'avons compris. C'est ainsi qu'a été fait ce livre qui sera, nous le pensons, utile à ceux dont le désir est de connaître l'Algérie, à ceux dont les destinés sont liées aux siennes de quelque manière que ce soit, soldats, administrateurs ou colons
    0. MACCARTY .              ( 5 Mai 1846).
    ___________________________________________________________
     (1) A propos de cette "Société" et tant d'autres européennes "scientifiques", dans «Geography and imperialism, 1820-1940», par Morag Bell, Robin Alan Butlin, Michael J. Heffernan, et au Chapitre 9 'The spoils of Wars: The Société de Géographie de Paris and the French Empire, 1914-1919", Michael Heffernan écrit dans son Introduction : « La géographie et l'impérialisme français étaient des sujets intellectuels et idéologiques liés. Durant le Premier Empire Napoléonien, relevés cartographique  et topographiques occupaient une place  significative dans le système éducatif réformé principalement pour leur importance stratégique et militaire.»
     ____________________________________________________________

    Résumé : 
    Le texte laborieux de ce chapitre n'a pas pour ambition de rendre son contenu rébarbatif  ou inutilement volumineux, mais de partager avec le lecteur la complexité du travail de recherche des missionnaires de la colonisation et des moyens mobilisés pour atteindre les objectifs fixés par les futurs bénéficiaires de l'occupation. Il est exclu qu'il ait été conçu par les "bidasses" ou les politiciens des assemblés de députés et des membres de gouvernement dont les préoccupations sont plus terre à terre, et la vue réduite par leurs préoccupations économiques, politiques et sociales du moment. Ce modèle stratégique élaboré dans le détail le plus minutieux ne peut être l'œuvre que de personnes à l'intelligence hors du commun et dotés d'une connaissance approfondie des sciences sociales et des évolutions historiques, savoir basé sur une base de données accumulées sur plusieurs siècles et vérifiée à travers des expériences à grandes échelles, de la nature de la Révolution Française, et de celles qui succédèrent lors des bouleversements historiques des 19em et 20em siècle.  
    Le détail et l'acuité des "relevés géographiques" de cette fin du 19em siècle nous esquissent un tableau de la nature des données utilisées et des méthodes employées par le "pouvoir" occulte  dans son travail de domination et de prédation, devant mener ultérieurement à son objectif de "globalisation". 
    Ce constat nous amène à réviser fondamentalement notre perception de la nature de la colonisation, qui ne se limite pas à son usage de la force physique, de la violence militaire brutale ou de l'exploitation économique, elle contient un volet important basé sur le recensement des données socio-économico-politiques obtenues de l'observation de toutes les caractéristiques d'une nation. La connaissance détaillée de ces paramètres permet à quiconque désirant s'en servir le pouvoir de les altérer à son avantage et de les manipuler pour orienter le cours de l'histoire, la nature et la composition d'une société. C'est ce phénomène de manipulation complexe qui a été opéré pendant 132 ans, avec les outils traditionnels que collectionnaient les missionnaires du 19em grâce aux travaux d'investigation ciblant diverses compartiments des sociétés (ethnique, langues, races, religions) ,  et avec ceux plus récents de l'ingénierie sociale et des mass-média. 
    Seuls les crédules et les ignorants, les mal intentionnés et les malhonnêtes, ou ceux servant des intérêts douteux, peuvent imaginer que les pays d'Afrique du nord, l'Algérie en particulier, est au 21em siècle identique à celle qui précédait le début de la colonisation. De grandes transformations ont été initiées par les destinataires-commanditaires des travaux de "géographie" effectués par de nombreux missionnaires. L'apparence de ces pays a changé dans le sens voulu par le pouvoir de l'ombre (pas l'officiel !) et les résultats observés aujourd'hui doivent être examinés judicieusement pour y déceler l'authenticité des apparences ou la corruption des réalités. Il est triste de constater combien naïfs
    sont beaucoup de citoyens de ces pays en engageant leur militantisme dans des voies tracées par les tenants du "diviser pour régner" qui n'ont jamais cesser d'agir dans leur intérêts et qui persistent à développer des syndromes qui ne servent que leurs objectifs de domination.
    Dans le chapitre 4, nous étudierons quelques travaux qui ont servi à manipuler les événements et à moduler les opinions dans le but de créer des symptômes conflictuels fictifs basés sur des appréciations frauduleuses de la réalité nord-africaine, ceci à travers l'examen de la situation particulière de l'Algérie.

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  • -Chapitre 2-
    Existe-il des différences religieuses ?
    Le "montage" et la promotion d'un syndrome séparatiste régional nécessite la présence de facteurs susceptibles d'être mis en évidence et développés pour préparer le terrain à la division. Essayons d'en recenser quelques uns, dans le contexte du début de la colonisation française de l'Algérie, en 1830,  :
    Différences religieuses ? Marginales, sinon globalement inexistantes pour la majorité de la population. A l'exception d'une minorité juive ancienne, numériquement faible (30 000) et économiquement puissante, socialement distincte de la  majorité Arabo-Berbère et dont le génie conspirateur prouva être fatal, jusqu'à causer des litiges entre la régence d'Alger et la France à propos des dettes impayées. Wikipédia: «Des commerçants juifs de Livourne, installés à Alger au milieu du XVIIIe siècle, les Bacri et les Busnach ont alors livré d'importantes quantités de grains pour nourrir les soldats participant avec Bonaparte (futur Napoléon Ier) à la campagne d'Italie. Bonaparte refuse de régler la facture qu'il juge excessive.» Un complot classique de la cupidité juive et de la malveillance de ces prédateurs à apparence d'agneaux. Jacob Isaac Crémieux fait publier le décret Crémieux, « Les Israélites indigènes des départements de l'Algérie sont déclarés citoyens français.»(wiki). Les Juifs Algériens deviennent Français, alors que les Amazighs qui avaient été les opposants les plus acharnés contre la colonisation, sont massacrés. Les tribus de Lala Fatma N'Soumer(1857), du cheikh El Mokrani (1871) subissent des pertes importantes et beaucoup d'entre eux s'exilent au Machrek. Des Syriens d'origine algérienne, utilisent toujours le dialecte berbère, aujourd'hui en 2010 ! Démontrant leur attachement à l'Islam, la langue Arabe et à l'amazighrité, sans trouvé d'incompatibilité entre ces différentes composantes culturelles ou religieuses ! Où sont les Amazigh juifs (ou chrétiens) ? Le décret Crémieux aurait fait surgir cette communauté du néant. Seuls les juifs-juifs (indigènes israélites), attachés à leur judaïsme depuis les exodes successifs de l'Antiquité, s'inscrivirent pour bénéficier des nouvelles dispositions du décret promulgué par leur coreligionnaire Crémieux. Aucuns ne se sont enfuis d'Algérie, encore moins vers d'autres pays musulmans !
    D'où ont donc surgi ces Juifs amazighs qui pronent (en 2010 !), l'autonomie-indépendance de la Kabylie ?
    -Réponse anticipée: ils sont, le fruit du travail de sape et de l'ingénierie sociale programmée et élaborée patiemment par les "experts de l'intrigue" et sont les enfants illicites d'une écriture de l'Histoire orientée et d'une manipulation émotionnelle. Ces "intellectuels" formés à l'école judéo-française, sont de mauvaise foi et dotés d'une cervelle d'oiseau dont le mérite se limite  à répéter fidèlement la propagande juive inculquée par leurs nouveaux maîtres, les prédateurs sionistes-talmudes !

    Un article «La Kabylie n’est qu’une mythologie coloniale française», réconfortant par sa pertinence, fut publié par El Watan (2004) ( surprenant de la part de ce quotidien chauvin du berbérisme), l'auteur (Abdesselam Kadi) réfute les avis non fondés d'un certain professeur de sociologie nommé Lahouari Addi.(1). Dont extrait: «La découverte d’un demi-millier de stèles du sanctuaire phénicien d’El Hofra à Constantine au printemps 1950 a bien prouvé que Massinissa et ses trois fils utilisaient le phénicien comme langue de travail et d’administration (documents archéologiques du gouvernement général de l’Algérie, service des antiquités n° 1506, publiés à Paris en 1955 par les Arts et Métiers graphiques). Massinissa qui a régné durant 50 ans environ n’a laissé aucune trace d’une langue avec un alphabet. Il avait pourtant la liberté de le faire par décret s’il le fallait, si elle existait. Scientifiquement on ne peut parler que de faits dialectaux. Une littérature abondante milite pour cette thèse.»
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     (1)Un expert-maître de la critique du "système" et de la diffamation des acteurs politiques, d'une arrogance douteuse qui n'épargne rien de l'Algérie, ni gouvernants ni institutions; il sillonne le champ médiatique avec une assurance provocatrice douteuse, car rappelons-le, le sociologue est appuyé et sponsorisé par les puissants de la planète. Modèle du collaborateur de la branche locale des organisations humanitaires new-yorkaises (des Zbignew Brejzinsky et Henry Kissinger), il est typiquement un "agent provocateur" de  l'Institut
    d' Etudes Politiques Université Lumière, Lyon2, et Professeur invité à UCLA, Californie, USA.  Tirant visiblement son assurance de sa position de protégé de la nébuleuse juive internationale, et opérant sous son aile sociale, entendre "ingénierie sociale". Effronterie n'est pas à confondre avec courage, une qualité qu'il lui attribuerait l'opinion crédule. Il montre généralement aucune miséricorde envers les acteurs politiques algériens qu'il charcute à la moindre occasion. Son indulgence et sa compassion, sont réservées à la Shoah fraude-historique et à l'ancienne puissance coloniale:  
    -Sa réponse, utopique et chimérique: «La valorisation du passé et la transmission de la mémoire à la jeunesse n'excluent pas d'établir des rapports amicaux avec la France dans l'intérêt mutuel des deux peuples. L'Algérie a besoin de la coopération avec la France, puissance économique, pour implanter des usines de fabrication de voitures, pour former une main-d'oeuvre capable de maîtriser la gestion des supermarchés (sarcasme envers les tubes digestifs), puisque les Algériens semblent adorer Carrefour et Auchan, pour renforcer le potentiel scientifique de ses universités, etc. L'Algérie a aussi besoin de la France, membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU, pour aider les Palestiniens à avoir un Etat.»
    -Ou : «Demander des excuses après avoir remporté une victoire, c'est prolonger la guerre pour un enjeu symbolique, et ce n'est pas dans l'intérêt de l'Algérie. A moins que le nif soit plus important que tout, même si les harraga, de plus en plus nombreux, essaient de trouver refuge dans le pays qui nous aura présenté des excuses. En nif oual khsara. Ercham ya Abdelaziz archam !»
    Notez la grandeur d'âme de cette plume empoisonnée dans son hymne à la gloire de la Puissante France Sionisée, et son revirement instantané avec "retour du naturel, au galop" dans le langage péjoratif réservé à "l'ennemi" Bouteflika (Lire interview de Addi par El Quds Al Arabi, le journal publié à ...Londres !)
    -«Aidez les Palestiniens » :  leurre classique juif dans ses œuvres; anesthésier l'Arabe avant de lui trancher la gorge !
    Le Professeur Addi devrait retourner au banc de l'école et recevoir des leçons d'Histoire de Louisette Ighil AHRIZ par exemple, une dame  qui déclara  au forum  d'El Moudjahid :« La France doit demander pardon aux millions d’Algériens, aux martyrs pour les crimes contre l’humanité commis contre un peuple qui n’espérait que retrouver sa dignité piétinée, massacrée par les tortionnaires durant la guerre de l’Indépendance.»  «Quarante-neuf ans après, cette moudjahida a eu gain de cause, la justice française vient de prononcer un jugement en sa faveur, dans le cadre du procès l’ayant opposé à son propre tortionnaire, le général Shmitt.»(Lien)
    -Quand à la vérité sur 130 ans de génocide français (consultez lien pour un avant-goût des crimes commis et des statistiques démographiques y réferrant ), elle est occultée par ce cobra sous contrôle de charmeurs juifs. Il y voit un négligeable "enjeu symbolique"; traduire "un jeu enfantin". Ce genre d'écrits indécents et sournois abonde dans notre presse et sur le Net, il est de notre devoir de les déceler, d'en découvrir le caractère subversif et de les dénoncer, notre avenir et notre dignité d'hommes libres en sont menacés.
    Moralité : Pour ceux qui souhaitent s'informer et s'instruire la prudence et la perspicacité sont de rigueur face à l'intox qui pollue les esprits et corrompt notre perception de la réalité. L'occupation du champ médiatique algérien par un nombre important de serpents venimeux devrait éveiller notre attention. Dans les coulisses, des charmeurs de serpents maîtrisent ces reptiles, au son de flûtes des "gratifications" de tous genres: les "prix internationaux", les rétributions matérielles, l'entre-aide maçonnique, tous visent à recruter de nouveaux "intellectuels" (qualifiés Outre-Atlantique de "media Whores"), qui gonflent les effectifs des mercenaires de la plume. L'outil est l'ingénierie sociale, destinée à "moduler" l'opinion (endoctrinement-conditionnement du public). C'est l'enjeu du pouvoir destructeur des média. Seuls les naïfs ou ceux déjà victimes de cette manipulation, refuseront de mettre en doute les théories des "ismes" ou les utopies sociales et historiques qui circulent localement en parfaite harmonie avec les plans du Nouvel Ordre Mondial Juif. 
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    Dans le chapitre-3, sera effectué un recensement  des facteurs qui pourraient justifier une divergence d'intérêt ou une division des communautés au sein de la nation algérienne, en particulier, et nord-africaine en général. 
    Il sera prouvé l'inexistence d'arguments fiables,  seule demeure l'hypothèse d'une invention orchestrée pendant 130 ans de colonialisme par les maîtres de l'intrigue siégeant  au conseil de l'Alliance Israélite Universelle.

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  • Chapitre1


    L'action politique est toujours soutenue par la propagande, dont le contenu est défini pour promouvoir une doctrine, une idéologie, créer une opinion publique et gagner le soutien d'un groupe ou d'une population de citoyens, à l'intérieur ou l'extérieur d'une nation.  Elle est initiée par des personnes, un parti ou un appareil d'état se réclamant d'un système de pensée, d'une idéologie. L'Histoire nous enseigne l'existence de nombreuses idéologies apparues au cours des temps, toutes centrées autour d'un concept central à caractère religieux, racial, économique, philosophique, nationaliste ou internationaliste. L'Histoire contemporaine est riche en exemples de ces mouvements de pensée ayant affecté positivement ou négativement les hommes. Une remarque s'impose, celle d'affirmer qu'ils ont été majoritairement négatifs car souvent source de conflits et d'affliction pour les hommes, pour ceux qui y ont adhéré ou ceux qui en ont subi les revers. La raison principale de cette malédiction est que les idéologies ont été réfléchies et conçues dans ce but: diviser les peuples et enflammer les passions génératrices de conflit et de destruction.
    Seuls bénéficiaires, ceux qui versant l'huile sur le brasier, offrent leurs conseils et leur "aide" pour financer les guerres, les banquiers juifs.
    Une idéologie singulière qui occupe les débats et les écrits des observateurs depuis plus de 50 ans, est celle du Sionisme. Quoiqu'en réalité initiée et programmée depuis des siècles, cette idéologie ne s'est imposée à l'opinion que depuis la création d'Israël et les conflits qui perdurent au Moyen-Orient.
    Elle est perçue à travers deux exposés:
    -1- celui insufflé et inoculé par les champions juifs du Sionisme, leurs puissants moyens de propagande et leurs alliés investis de la mission de justifier la création d'un état-refuge pour un peuple persécuté, lors de la Shoah (sous le régime nazi) et des pogroms infligés à la diaspora depuis l'exode entamé sous l'Empire Romain. Ses fondements sont religieux, politiques, raciaux et font appel aux arguments plaidoyant en faveur de la création d'Israël principalement sur la base:
    -de la rhétorique religieuse, la promesse divine faite au peuple juif d'un retour ré-unificateur à Jérusalem
    -de la solution politique, un refuge remède aux souffrances endurées lors des tentatives (européennes) de génocide et de la Shoah.

    -2- celui publié par les opposants à la doctrine sioniste qu'ils  condamnent pour divers raisons:
    -la violation des droits des Palestiniens et la réfutation -des mythes "ethnocentristes" et religieux, leurs justificatifs archéologiques, bibliques et politiques menant à une injustice, la spoliation d'un pays et l'expulsion de son peuple,
    -le mythe de la Shoah, fraude historique canonisée, promulguée mondialement, et défendue par une législation abusive et répressive,
    -la présence funeste des Juifs en tant qu'acteurs occultes, subversifs et nocifs dans les événements marquants de l'Histoire ancienne et contemporaine de la planète (guerres mondiales, crises économiques majeures, esclavagisme et génocides) et,
    -la xénophobie et le racisme caractérisant les lois religieuses du Judaïsme-Talmudisme, lois écrites (Talmud) mais pratiquement inédites et secrètes,  qui conditionnent cette idéologie  et la cautionnent.
     Les deux thèses du Sionisme sont extensivement discutées par les protagonistes respectifs dans une multitude de publications qui inondent les média et déferlent sur le web en particulier.  Car le web est seul champ ouvert  au militantisme des activistes et aux débats de chercheurs indépendants qui s'y réfugient pour effectuer librement leurs travaux, tout en demeurant constamment sous la menace de l'accusation «d'antisémitisme», délit collé aux contestataires des théories officielles du Sionisme. 
    Le but de cet article n'est pas d'exposer l'une ou l'autre thèse, ou de les confondre car les documents y réferrant sont largement disponibles.  Il est d'aborder dans une étude comparative, la doctrine qui a fait son apparition dernièrement (quatre décennies) et qui prêche le particularisme ethnique, ethnographique (culture, mœurs et coutumes), religieux (juif-chrétien), et historique des peuples Amazigh, ou Berbères, d'Afrique du Nord et du Sahel. Doctrine véhiculée par une minorité d'activistes, militants de l'autonomie de la Kabylie, ou comme récemment déclaré,  de son indépendance! 
    L'objectif de cette modeste étude historique est  de démontrer la similitude des techniques de manipulation et d'endoctrinement utilisées par le Sionisme, et celles adoptées par ce mouvement marginal amazigh.

    Introduction:
    L'offensive lancée contre l'Islam et la culture Arabe, principalement sur le Net, par des partis "politiques" se réclamant de l'amazighrité,  mobilise des ressources humaines et matérielles conséquentes qui dévoilent le soutien dont ils bénéficient de la part des maîtres des média, les éternels conspirateurs, les ennemis des Musulmans et des Arabes. Ceux que le Coran qualifie de «semeurs de discorde de part le Monde», ou « qui travestissent la vérité en mensonge»: les Juifs. Ils agissent directement par l'intervention d'Israël ou par leurs proxies interposés. Leur contrôle sans partage des gouvernements occidentaux et de leurs armées (OTAN), autorise leur offensive au delà du moyen Orient, en Irak, en Afghanistan, au Pakistan, au Soudan, au Yémen et dans les pays musulmans de l'ex-URSS. L'Islam et les Musulmans sont la cible de l'idéologie du "Clash des Civilisations" initié par les néo-conservateurs juifs de New York. L'alibi de la lutte contre le terrorisme a été fabriqué grâce à Ben Laden et El Qaida, qui ont été enfantés et supervisés par  la CIA et son clone le MOSSAD, avec le patronage de Brejzinsky. Le Monde Musulman, dernier écueil à l'hégémonie planétaire juive est harcelé de toutes parts. Tacitement, les  associations amazigh qui sèment la dissension et prêchent la division, entrent (volontairement ou  inconsciemment) dans la logique de participation à cette machination. Les faits marquants démontrant cette collaboration résident dans:
    -la couverture médiatique massive  (juive-sioniste) généreusement accordée à ce groupe minoritaire,  non-représentative et sans base populaire, qui revêt l'apparence de «La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Bœuf»,
    -la reconnaissance officielle par les officines internationales et ONG's sionistes,
    -la reconnaissance tacite et cynique , par des gouvernants occidentaux, Français, Canadiens, Allemands, lors d'entrevues officielles accordées au "président" auto proclamé. Ceci,  à contre- courant de la défense des intérêts nationaux que ces responsables  assument dans les accords divers gouvernementaux contractés avec l'Algérie, cible principale de ces manœuvres subversives,
    -la légitimation, en contradiction des lois internationales, d'activités subversives et d'incitation à distance de trouble et de conflit social, exposant des innocents, inconscients des vrais enjeux de cette campagne futile et des risques de confrontation avec les autorités locales.
    Notons que pour leurs actions légitimes de soutien aux luttes des peuples Palestinien et Libanais contre les monstruosités et les crimes de génocide d'Israël, des pays musulmans (Iran, Syrie, Yémen, Lybie, Soudan), subissent la vindicte occidentale, l'embargo, les menaces militaires, et les sanctions. 
    Hier, refuge du terrorisme islamiste et de ces commanditaires, lorsque les victimes étaient musulmanes, certaines capitales occidentales affichent aujourd'hui beaucoup de complaisance envers les incitateurs à la haine raciale et aux fauteurs de trouble, soient-ils Kurdes, Darfouriens, Amazighs ou Coptes. Amour de la démocratie et de la liberté des minorités ? Les idiots utiles qui embrassent ces utopies sélectives, distillées par le nouveau impérialisme juif, répondront affirmativement.
    Il est important de préciser que de nombreuses associations à caractère culturel et scientifique concentrent leurs efforts dans la renaissance de l'identité berbère sans escalader les marches de la discorde et semer la haine de l'Islam et de la culture Arabe. Elles contribuent par leur modération et esprit de tolérance, à enrichir l'héritage arabo-berbère commun et indissociable, qui règne en Afrique du Nord, depuis 15 siècles. Ces associations ne sont pas ciblées par cette étude car participant à l'activité académique universelle de recherche scientifique objective et libre de toute utopie dogmatique sectaire.  
    Celles que je souhaite démasquer et dénoncer sont visibles à travers l'exposé des complots qui se trament dans les coulisses des organisations culturelles, politiques, ethniques ou religieuses qui font de leur cheval de bataille, l'insulte abjecte de tous les concepts et valeurs associés à l'Islam et nourrissent une haine extrême envers, les Musulmans et leur civilisation,  les Arabes et leur culture. 
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     Chapitre 1: 
    Ibn Khaldoun, l'illustre historien et encyclopédiste, est la référence universelle du sujet traitant de la généalogie des peuples, dont ceux du Moyen Orient et d'Afrique septentrionale. Son «Histoire des Berbères et des Dynasties de l'Afrique Septentrionale» (traduction disponible rédigée par Le Baron De Slane, Lien 1, Lien 2, Lien 3, Lien 4) est la source incontournable de tout chercheur ou étudiant souhaitant s'immerger dans cet océan de savoir que seul le génie Arabe a su léguer à l'humanité.  L'encyclopédique «Histoire des Berbères» présente la preuve irréfutable de la malversation fabriquée par certains courants politiques minoritaires amazigh qui propagent des théories raciales frauduleuses pour vernir leurs ambitions personnels ou leurs plans subversifs inavoués. Les mythes ethniques ou religieux énoncés en vue d'un "retour aux sources", chrétiennes ou juives, est un appel à l'inconnu, et l'acheminement vers l'irréparable. Aucuns arguments scientifiques, saufs ceux relatifs aux caractéristiques culturelles propres à l'Afrique Du Nord (caractéristiques qui s'imbriquent avec celles prédominantes, héritées de l'Islam), ne justifient ou n'appuient les revendications de ces groupes fanatiques sectaires, qui embaument la doctrine du «retour aux origines», d'absurdités, de mensonges et de contre vérités historiques. Il est évident qu'ils font le jeu de l'ingérence de forces subversives judéo-chrétiennes dont les visées sur les pays musulmans ne datent pas d'aujourd'hui, visées ayant fait l'objet de stratagèmes engageant d'énormes ressources et nécessitant de patientes manœuvres étalées sur des siècles. La dimension de cette «bulle» civilisationnelle amazigh ne trouve de comparable que les fraudes historiques initiées par les juifs sionistes qui depuis des siècles promotionnent le tourment de leur oppression par les goyim, et occultent ses causes : la réaction défensive des peuples goyim contre le dynamisme destructeur que le dogme du Talmud enseigne sous forme de lois de la prédation licite et de l'extermination du non-juif (gentil). La Shoah est l'exemple, dernier en date, de ces manipulations frauduleuse de l'Histoire autorisant les  Juifs a développer un dogme pour décevoir la communauté internationale, dissimuler leurs crimes et génocides (voir site de l'AAARGH),  et asseoir la dictature planétaire du "peuple élu".
    Ibn Khaldoun, dans son encyclopédie,  relate les moindres détails des événements marquants de cette région du Monde, et trace la généalogie de tous les peuples, dont ceux d'Afrique du Nord  et ceux ayant transité par, ou envahi la région. Avant et après l'avènement de l'Islam et de la civilisation musulmane d'occident la région était perpétuellement déchirée par les conflits et guerres. Après le démembrement des khalifat Ommeyade et Abbasside, de l'Andalousie aux frontières orientales de l'Égypte, les conflits confessionnels (rites musulmans) ou militaires, illustrés par les vendettas opposant princes et émirs,  jaillissaient de toutes parts et leur méfaits retentissaient  le  long de la courbe de  décadence de cette civilisation illustre. Contrairement à la période de l'antiquité, les Berbères œuvraient dans l'espace Nord Africain et Andalusien  sans jamais se distancer, même instinctivement, des Arabes et agissaient au sein de la communauté musulmane avec leur conviction de croyants, réservant leurs griefs à des différences confessionnelles (rites sunni, chiâa, kharedjite, etc..), politiques ou d'intérêt matériel, jamais ethniques. 
    D'où surgit donc ce revirement, qui est marginal, mais bénéficie d'un vacarme médiatique amplifié ? La réponse se révélera d'elle-même au cours du cheminement suivi par le recensement et l'analyse des événements parfois anciens (début-fin de la colonisation française), souvent récents (post indépendance) qui dévoilera le paradigme de ce mouvement et la naissance du berbérisme sectaire.
    Le Début de l'Offensive:
    Confrontés à la puissance de l'empire Ottoman et de ses provinces autonomes, les banquiers juifs devaient surmonter cet obstacle pour prendre le contrôle des pays sous l'autorité du Khalifat d'Istanbul. Un plan était dressé pour le démantèlement de cette forteresse de l'Islam afin d'en faciliter la pénétration et 
    asseoir une main mise sur ses richesses. L'ouverture de nouvelles routes pour le commerce vers l'Europe, à travers la route stratégique des Indes et les bifurcations reliant l'Afrique, l'Asie et  la Méditerranée. Pays après pays, les régions à caractéristiques ethniques ou religieuses furent ciblées par des missionnaires et des espions chargés de réunir des données significatives et les informations devant permettre aux cercles occulte des banquiers Juifs, les Rothschild de Londres et de Paris, d'affiner leur connaissance de l'empire et aiguiser les sabres qui devaient le tailler en  pièces. Les études détaillées cernant les événements et recensant les acteurs impliqués dans cette campagne sont accessibles sur le Net. Le lecteur averti découvrira les intrigues que la version "officielle" des historiens confectionnant les manuels scolaires, ne dévoilent pas. Le mercenariat des banquiers juifs,  la franc-maçonnerie, est le bras brandissant la massue de démolition de l'empire Ottoman. 
    La franc-maçonnerie fut introduite en Égypte par Napoléon Bonaparte, plus tard relayé par El Afghani et ses élèves Abdou et le Syrien Rida, les "réformistes" dont la "formation" avait été complértée sur les bords de la Seine. De  manière générale certaines sectes condamnée par l'orthodoxie musulmane avaient été réanimées et revitalisées ainsi que, le nationalisme local, l'hérésie Bahai et le Wahabisme, au Liban, dans la péninsule Arabique et partout où les espions français et anglais des loges maçonniques de Paris et Londres avaient relevé des divergences de rites ou de confession. Sans trop se perdre dans les détails, soulignons le fait que le mouvement des "frères musulmans" est une ex-croissance des réformistes, et tout le monde sait combien leur idéologie a "servi" à la promotion d'un de leurs adeptes, Ben Laden, pour dénigrer l'Islam et préparer la voie à l'actuelle colonisation juive de l'Irak-Afghanistan.
    Les études académiques détaillées de ces mouvements et de leurs commanditaires-promoteurs sont disponibles en accès libre sur le Net. Pour revenir au sujet nous concernant, l'Afrique du Nord, remarquons  que la particularité de la région est l'inexistence de sectes permettant de développer la stratégie utilisée ailleurs. Le colonialisme français à l'instigation des cercles occultes juifs qui l'ont pensé, programmé et financé en Algérie,  adopta une approche différente : le foyer potentiel de division et dissension serait la disparité linguistique et culturelle qui fictivement et artificiellement séparait deux communautés.  L'impossibilité de les distinguer globalement, selon l'ethnologie, la géographie, la généalogie, l'ethnographie,  n'était pas un obstacle dans l'esprit des coreligionnaires d' Issac-Jacob Crémieux (plus connu sous le nom d'Adolphe Crémieux, ministre de la justice et membre fondateur de "l'Alliance Israélite Universelle"(Lien).(Lien Gallica: pdf  à télécharger pour une rétrospective des méfaits juifs lors de la colonisation et comment fut promulguer le décret Crémieux, et ses objectifs).
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    «La brochure 2010 des Célébrations nationales vient de paraître. L’anniversaire de l’AIU y trouve naturellement sa place, grâce à un article signé Simone Veil.» Très révélateur pour reconnaître le stade avancé de la main-mise juive sur la France sionisée ).         
    Photo: Jeunes Marocaines dansant à Mogador (futur Essaouira), le 16 juin 1935 pour le 75e anniversaire de l’Alliance © Alliance israélite universelle
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    Le "diviser pour régner" et le plan de ralliement des communautés juives
    d 'Afrique du Nord, pouvaient se passer de ces considérations méthodologiques.   Pour préparer le terrain : (Lien): «En ce qui concerne l'Algérie dont la conquête débute en 1830, la première loge, «Cimus», loge militaire du 10° régiment d’infanterie légère, s'installe fin 1831. En mai 1833 est créée la loge «Bélisaire» à Alger. En juin 1833 est créée la loge «Ismaël» à Bône, puis en juin 1836 «l’Union Africaine» à Oran. La loge d’Alger joue le rôle de loge-mère par essaimages successifs : à Blida en 1844 «les Frères de l’Atlas», à Cherchell en 1845 «Julia Caesarea». A Mostaganem en 1844 «les Trinosophes Africains» sont installés sous l’égide de la loge d’Oran. Le nombre de francs-maçons va régulièrement progresser, de 80 frères en 1833 à 850 frères en 1851.»
    La franc-maçonnerie, cheval de Troie du judaïsme, fut donc dés 1831 sellée pour ouvrir la porte en Algérie (tout comme dans le reste de l'Afrique du Nord), aux "prédateurs". Soulignons l'importance de l'Algérie dans le plan de l'Alliance Israélite, puisque le décret Crémieux fut voté uniquement pour faire bénéficier les juifs algériens du statut civil de Français naturalisé, officialisant leur collaboration à la colonisation. Collaboration dont ils allaient remplir le contrat avec enthousiasme et beaucoup de zèle en fournissant les plus grands criminels de guerre civils et militaires, durant 130 ans. Les chroniques révélant l'implication des juifs, originaires de la métropole et les "pieds noirs", dans le génocide des populations autochtones musulmanes, sont dissimulées par "l'Histoire officielle", mais facilement accessibles sur le Web, il suffit de chercher pour découvrir la malveillance juive envers les musulmans avant 1830 (nombreux incidents) et jusqu'à 1962 (OAS et les essais nucléaires du Sahara).  La vindicte n'est pas terminée.

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